Le patron de l'Observatoire évoquait le putsch ayant déposé l'ex président mauritanien Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, le 6 août dernier.
Dans une déclaration faite à la presse à sa sortie d'une entrevue avec le président du Haut conseil d'État, au pouvoir à Nouakchott, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, il a déclaré, « On nous a fait croire que les droits de l'homme sont bafoués ici, on nous a fait croire qu'il y a eu un coup d'État en Mauritanie, alors que nous venons de constater que c'est archi faux, il n'y a pas eu de coup d'État en Mauritanie », a martelé M. Moustafa.
Il a précisé que « quand il y a des coups d'État, il y a des morts, on entend des coups de feux, il n'y a rien de tout cela", ajoutant avoir constaté que « les institutions fonctionnent normalement et qu'il n'y a pas de prisonniers politiques ».
« Alors nous disons à la Communauté internationale, nous disons à l'Union africaine (UA) d'aller à la source, de demander au peuple mauritanien », a aussi dit le président de l'Observatoire, reçu en compagnie de son secrétaire général, Elie Hallassou.
Il a souligné que « sur les 95 députés, il y a 73 qui soutiennent le président actuel » et qu'il « s'agit ici simplement d'une décision du peuple mauritanien qui n'avait plus confiance en l'ancien président ».
« Je pense que nous sommes satisfaits de notre visite en Mauritanie, où chacun vaque à ses occupations, où il n'y a aucun problème, où les droits de l'homme sont entièrement respectés », a conclu M. Moustafa.
Pour sa part, M. Hallassou a considéré que « les droits de l'homme, c'est aussi le respect de la souveraineté, le respect des institutions, c'est laisser au minimum, les Mauritaniens régler leurs problèmes internes ».
Il a exprimé son opposition à une « internationalisation de ce qui se passe en Mauritanie », appelant à ce « qu'on laisse au peuple mauritanien, le soin de déterminer son avenir ».
« C'est là un des axes fondamentaux des droits de l'homme sur la liberté et la souveraineté, l'indépendance et l'autonomie », a rappelé le secrétaire général de l'Observatoire.
Dans une déclaration faite à la presse à sa sortie d'une entrevue avec le président du Haut conseil d'État, au pouvoir à Nouakchott, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, il a déclaré, « On nous a fait croire que les droits de l'homme sont bafoués ici, on nous a fait croire qu'il y a eu un coup d'État en Mauritanie, alors que nous venons de constater que c'est archi faux, il n'y a pas eu de coup d'État en Mauritanie », a martelé M. Moustafa.
Il a précisé que « quand il y a des coups d'État, il y a des morts, on entend des coups de feux, il n'y a rien de tout cela", ajoutant avoir constaté que « les institutions fonctionnent normalement et qu'il n'y a pas de prisonniers politiques ».
« Alors nous disons à la Communauté internationale, nous disons à l'Union africaine (UA) d'aller à la source, de demander au peuple mauritanien », a aussi dit le président de l'Observatoire, reçu en compagnie de son secrétaire général, Elie Hallassou.
Il a souligné que « sur les 95 députés, il y a 73 qui soutiennent le président actuel » et qu'il « s'agit ici simplement d'une décision du peuple mauritanien qui n'avait plus confiance en l'ancien président ».
« Je pense que nous sommes satisfaits de notre visite en Mauritanie, où chacun vaque à ses occupations, où il n'y a aucun problème, où les droits de l'homme sont entièrement respectés », a conclu M. Moustafa.
Pour sa part, M. Hallassou a considéré que « les droits de l'homme, c'est aussi le respect de la souveraineté, le respect des institutions, c'est laisser au minimum, les Mauritaniens régler leurs problèmes internes ».
Il a exprimé son opposition à une « internationalisation de ce qui se passe en Mauritanie », appelant à ce « qu'on laisse au peuple mauritanien, le soin de déterminer son avenir ».
« C'est là un des axes fondamentaux des droits de l'homme sur la liberté et la souveraineté, l'indépendance et l'autonomie », a rappelé le secrétaire général de l'Observatoire.