Monsieur Mamadou Sy Tounkara,
A la lecture de votre texte, deux pensées me viennent à l’esprit. La première venant du monde occidental, et où il y’est souvent dit que « si la parole est d’argent, le silence est d’or ». La deuxième pensée me venant de notre culture « populaire Sénégalaise » qui assène : « Xaana dâ nga togne waliyu ?».
Ouvrez grand vos Six Sens Monsieur ! En vous lisant, j’ai compris cet adage bien de chez nous « Yalla Du Djûmm ». A vous lire, on peut aisément comprendre pourquoi Vous, Mamadou Sy Tounkara, êtes un petit animateur et chroniqueur et pourquoi lui, Youssou Ndour, est une star planétaire.
Que vous n’aimiez pas une de ses œuvres, cela se conçoit car les goûts et les couleurs ne se discutent point. Cependant, que vous cherchiez à analyser les contours techniques d’une production musicale, je vous pose la question suivante: « Qui êtes-vous, qu’est-ce qu’un vulgaire chroniqueur de deuxième heure d’antenne de votre trempe sait de lignes de basse et de solo ? ».
Plus grave encore, en quoi vous, Mamadou Sy Tounkara, pouvez-vous vous permettre de parler de haute ou basse administration ? Il existe tout simplement une administration qui est régie par des textes écrits par des humains et pour le bon fonctionnement de notre Etat.
Il est quand même épatant de voir un profane, comme vous, oser disserter sur une institution que vous n’avez jamais servie. Vous êtes l’exemple patent du mal de ce pays. « Ceux qui savent, ne parlent pas ou peu ; et ceux qui ne savent pas susurrent et plastronnent dans les salons de la condescendance ». Comme chantait Akim « Ratatati Rek ! ».
Je ne m’attarderai pas sur votre texte. Cependant, votre cas m’a tellement intrigué que je me suis permis de faire une petite analyse croisée de vous et Youssou Ndour. Des conclusions fort intéressantes en ressortent et vous pousseront, je l’espère, à méditer sur votre avenir :
A 42 ans, votre âge, Youssou Ndour avait un disque d’or et employait de valeureux concitoyens.
A 42 ans, votre âge, Youssou Ndour « FAISAIT » en créant son groupe de presse.
Vous, à pareil âge, vous « PARLEZ » et tentez grossièrement de jeter l’opprobre sur une fierté nationale et Africaine. Réécoutez sa chanson « Gorgui » Monsieur !
Je ne continuerai pas car il peut se dire Taaannnnnnt de Youssou Ndour et, hélas, Peeuuuu de vous Mamadou Sy Tounkara !
N’oubliez juste pas que dans la vie, il y a, d’un côté, ceux qui écrivent l’histoire et, d’un autre côté, ceux qui racontent des histoires. Vous savez déjà, Monsieur, le camp et le rang qui sied à votre petite personne.
Je ne saurai terminer sans vous laisser avec ce passage d’une chanson d’un grand chanteur Sénégalais du nom de Youssou Ndour ; et qui disait « Xaam sa bopp gueune niou wo leu naane leu li nga dôôné ».
Monsieur, je ne cherche point à vous rabaisser, vos écrits s’en emploient formidablement bien !
En ce jour symbolique de 1er octobre, souhaitez-lui plutôt un Joyeux Anniversaire !
Dewenaty très cher !
Albert kKhoulé NDIAYE
Votre Confrère, petit chroniqueur
A la lecture de votre texte, deux pensées me viennent à l’esprit. La première venant du monde occidental, et où il y’est souvent dit que « si la parole est d’argent, le silence est d’or ». La deuxième pensée me venant de notre culture « populaire Sénégalaise » qui assène : « Xaana dâ nga togne waliyu ?».
Ouvrez grand vos Six Sens Monsieur ! En vous lisant, j’ai compris cet adage bien de chez nous « Yalla Du Djûmm ». A vous lire, on peut aisément comprendre pourquoi Vous, Mamadou Sy Tounkara, êtes un petit animateur et chroniqueur et pourquoi lui, Youssou Ndour, est une star planétaire.
Que vous n’aimiez pas une de ses œuvres, cela se conçoit car les goûts et les couleurs ne se discutent point. Cependant, que vous cherchiez à analyser les contours techniques d’une production musicale, je vous pose la question suivante: « Qui êtes-vous, qu’est-ce qu’un vulgaire chroniqueur de deuxième heure d’antenne de votre trempe sait de lignes de basse et de solo ? ».
Plus grave encore, en quoi vous, Mamadou Sy Tounkara, pouvez-vous vous permettre de parler de haute ou basse administration ? Il existe tout simplement une administration qui est régie par des textes écrits par des humains et pour le bon fonctionnement de notre Etat.
Il est quand même épatant de voir un profane, comme vous, oser disserter sur une institution que vous n’avez jamais servie. Vous êtes l’exemple patent du mal de ce pays. « Ceux qui savent, ne parlent pas ou peu ; et ceux qui ne savent pas susurrent et plastronnent dans les salons de la condescendance ». Comme chantait Akim « Ratatati Rek ! ».
Je ne m’attarderai pas sur votre texte. Cependant, votre cas m’a tellement intrigué que je me suis permis de faire une petite analyse croisée de vous et Youssou Ndour. Des conclusions fort intéressantes en ressortent et vous pousseront, je l’espère, à méditer sur votre avenir :
A 42 ans, votre âge, Youssou Ndour avait un disque d’or et employait de valeureux concitoyens.
A 42 ans, votre âge, Youssou Ndour « FAISAIT » en créant son groupe de presse.
Vous, à pareil âge, vous « PARLEZ » et tentez grossièrement de jeter l’opprobre sur une fierté nationale et Africaine. Réécoutez sa chanson « Gorgui » Monsieur !
Je ne continuerai pas car il peut se dire Taaannnnnnt de Youssou Ndour et, hélas, Peeuuuu de vous Mamadou Sy Tounkara !
N’oubliez juste pas que dans la vie, il y a, d’un côté, ceux qui écrivent l’histoire et, d’un autre côté, ceux qui racontent des histoires. Vous savez déjà, Monsieur, le camp et le rang qui sied à votre petite personne.
Je ne saurai terminer sans vous laisser avec ce passage d’une chanson d’un grand chanteur Sénégalais du nom de Youssou Ndour ; et qui disait « Xaam sa bopp gueune niou wo leu naane leu li nga dôôné ».
Monsieur, je ne cherche point à vous rabaisser, vos écrits s’en emploient formidablement bien !
En ce jour symbolique de 1er octobre, souhaitez-lui plutôt un Joyeux Anniversaire !
Dewenaty très cher !
Albert kKhoulé NDIAYE
Votre Confrère, petit chroniqueur