Etant monté à bord du car rapide à Guédiawaye, le gus s’engouffre aux premières loges, c’est-à-dire devant. A côté du chauffeur. C’est bien calculé, il veut se faire discret. Quand l’apprenti-chauffeur lui demande la paie, il lui file une pièce de 100 francs CFA en lui disant qu’il descendrait du car à « Case Bi ».
Arrivé à bon port, l’apprenti-chauffeur lui rappelle qu’il est arrivé à destination. Mais le quidam feint de ne rien entendre et ne descend pas du car rapide. A l’apprenti de lui rappeler que son ticket est arrivé à terme. « Sawaay wathial yeksinga ! », lui assène-t-il sous les nez et sous la barbe de votre serviteur. Comme l’apprenti est très jeune et svelte, le gus ne l’écoute même pas et continue son voyage jusqu’à l’arrêt de cars qui se trouve après la Police des Parcelles Assainies.
Ayant vu l’apprenti-chauffeur se démener comme un beau diable pour rentrer dans ses fonds, un autre passager prend à bras le corps son combat et va trouver le passer indésirable pour l’extirper dehors. Avec force biceps. Le temps que d’autres gros bras retiennent notre « oignon pourri », le car démarre en trombe. Laissant derrière lui le tohu-bohu qu’il a occasionné.
Arrivé à bon port, l’apprenti-chauffeur lui rappelle qu’il est arrivé à destination. Mais le quidam feint de ne rien entendre et ne descend pas du car rapide. A l’apprenti de lui rappeler que son ticket est arrivé à terme. « Sawaay wathial yeksinga ! », lui assène-t-il sous les nez et sous la barbe de votre serviteur. Comme l’apprenti est très jeune et svelte, le gus ne l’écoute même pas et continue son voyage jusqu’à l’arrêt de cars qui se trouve après la Police des Parcelles Assainies.
Ayant vu l’apprenti-chauffeur se démener comme un beau diable pour rentrer dans ses fonds, un autre passager prend à bras le corps son combat et va trouver le passer indésirable pour l’extirper dehors. Avec force biceps. Le temps que d’autres gros bras retiennent notre « oignon pourri », le car démarre en trombe. Laissant derrière lui le tohu-bohu qu’il a occasionné.