El Hadji Mouhamad ou Mouhamad Aminata ou le nom le plus familier de tous, Mame Khalifa Niass, est venu au monde en l’an 1879 à Selik près de Nioro du Rip (Saloum-Sénégal). Certains de ces biographes avancent aussi les dates 1880 et 1881. Cependant tous s’accordent à dire que ce fut un deuxième jour du mois béni de ramadan correspondant à un 29 juillet. Fils de la vertueuse femme au regard clairvoyant Sayyida Aminata Thiam, fille elle-même du savant de renommé Cheikh Ibrahima Thiam Serigne Kélléle. Le père de Mame Khalifa fut la Couronne des Savants, le grand Khalife de la Tarikha Tidjani, le Pôle Cheikh El Hadji Abdoulaye Niass lui même fils du Connaissant en Allah Seyyidi Mouhamad Niass. Notre personnage apparaît dès lors comme un pur produit de valeurs spirituelles et de sainteté.
A un très jeune âge, Mouhamad fit ses études sous la direction de son père qui lui a enseigné toutes les disciplines: Coran, l’Exégèse, la Science des Hadith, Orthoépie, Théologie, Mysticisme, la Jurisprudence, la Logique, la Rhétorique, la Philologie, la Prosodie, l’Arithmétique, la Géométrie, la Médecine, la Pharmacopée etc. En 1910, tous les deux se rendirent à Fez d’où le fils partit pour les lieux saints de l’Islam en s’embarquant dans un bateau en partance pour la ville de Marseille en France, de là il prit l’Orient Express jusqu’à Istanbul en Turquie où il transite par un autre train le HedjazRailways qui le mènera jusqu’à la ville de Médine où il put commencer son Haaj. En 1922, après le rappel à Dieu d’El Hadji Abdoulaye, Mouhamad Niass devint Khalife. Il retourna à Fez en 1924 où il reçut une Ijaza de la part de Seyyidi Mahmoud petit-fils du fondateur de la Tariqa Tidjani qu’il avait rencontré à Casablanca.
Mame Khalifa fut une personne simple, fort modeste, sobre, dénuée d’intérêts pour ce bas monde. Sa vie, il l’a édifié sur des principes, guidé par son gout exacerbé pour la recherche de la Connaissance. Mais son trait le plus caractéristique demeure son Amour vis-à-vis du Meilleur des êtres Seydina Mouhamad (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui)et de son maître Seydi Ahmad Tidjani (qu’Allah sanctifie son précieux secret), un Penchant qu’il a éprouvé très tôt en atteste son ami Ahmed ibn Dahah dans la préface d’un des Diwan de Mame Khalifa : «Le Khalife Mouhamad fils d’Abdallâh fils de Mouhamad m’a raconté : «Je me suis pris d’une vive affection pour le prophète Mouhamad. Ma mère s’appelle aussi Aminata comme celle de l’Apôtre. Quand j’avais sept mois, mon père avait vu le prophète: celui-ci, dit-il en me désignant, est mon fils je lui ai donné ton nom.- Passe-le moi, lui dit le Prophète, il me tendit à l’Apôtre qui me prit, qui me mit sur ses genoux, me serra contre lui un bon moment et me rendit à mon père.»
Voilà surement une des raisons pour lesquelles il fut et demeure un des plus grands Hagiographes du Prophète et un des plus merveilleux panégyristes de Seydi Ahmad Tidjani de tous les temps. La Poésie était surtout son domaine de prédilection. Il aura consacré en tout plus de 15 ouvrages sur la vie du Messager et Il demeure incontestable que Mame Khalifa Niass ait apporté des éléments nouveaux dans l’hagiographie du Prophète nonobstant ces grands prédécesseurs en la matière comme Ka’ab ibn Zubair, Hassan ibn Thabit, et surtout Mouhamad El-Bussairy d’après l’avis du Professeur émérite Amar Samb. Il consacra aussi un recueil de plus de 3246 vers dénommé «le Souffre Rouge ou Panégyrique sur le plus grand Pôle» au fondateur de la Tariqa Tidjani qui sera édité pour la première fois au Caire en 1955 par Abdallah ibn Abdel Karim al Qadiri et c’est un des premiers ouvrages d’un ressortissant de l’Afrique noire à être édité dans ce prestigieux sanctuaire.
Ses œuvres de hautes fractures portent les marques d’un très grand poète dont la célébrité déborde largement dans le cadre de son pays, ainsi toute la gente religieuse du Sénégal et du monde Islamique ont fini de le reconnaître, de Sidi Ahmad Skiridj à Sidi Ahmed ibn Mukhtar al Alawi en passant par ses paires Sidi El hadji Malick Sy et Cheikh Ahmad Bamba Mbacké jusqu’à son frère El Hadji Ibrahima Niass Baye.
Mame Khalifa Niass était surtout un éducateur accompli tant sur le plan temporel que le côté spirituel. Ainsi sous sa tente à l’université populaire de Leona-Niassène s’est formé un nombre incalculables d’érudits qui ont réussi à se hisser au sommet, des hommes qui sont parvenus à la cime de la gloire islamique par l’étendue de la science qu’ils y ont appris. Et ce processus de formation suit son cours jusque de nos jours représentant ainsi une forte contribution au développement de l’enseignement islamique au Sénégal.
Du côté spirituel, Combien d’âmes sa grâce dispensatrice de joie et de bonheur, a attirées jusqu’à Allah ? Combien de gens voués à l’égarement et à la damnation a-t-il guidé sans dévier vers la vérité ?
L’éducation spirituelle de Mame Khalifa Niass est le cheminement dans la Voie Tidjani de la manière la plus orthodoxe possible conformément à la manière des enseignements de son fondateur Seydi Ahmad Tidjani, sans manquements et sans rajouts. Ainsi Mame Khalifa prépare l’homme en lui enseignant et lui insufflant les rudiments du bon caractère, à prendre le chemin droit, le chemin de la rectitude, ce chemin que nous demandons sans cesse à Allah (qu’Il soit Glorifié et Exalté) dans nos prières dans la sourate Fatiha : «Guide-nous dans le droit chemin», de n’adorer Allah que pour sa noble face, le tout enraciné dans le Coran le Livre du Très-Haut et la pure Tradition du Messager d’Allah (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui). Khalifa El Hadji Mouhamad demeure cependant convaincu que c’est grâce à l’Amour profond que le disciple engagé dans la Voie doit vouer au Prophète et à Cheikh Tidjani que se produit l’Alchimie Spirituelle le processus qui change du tout au tout, en or et vif argent les cœurs qui n’était que caillou. C’est à travers cet amour profond en plus du fait de se conformer aux exigences de la servitude que l’on voyage vers les stations élevées de la connaissance divine. C’est cela même qu’il a imprégné à sa famille et à ses disciples et tous connaissent les gens de Leona-Niassène pour leur légendaire crainte révérencielle en Allah le Très-Haut. C’est suffisant pour demeurer en Islam.
Khalifa El Hadji Mouhamad entretenait d’excellentes relations avec ses confrères des autres familles religieuses du Sénégal mais aussi des autres personnalités du monde en attestent les visites et les nombreuses correspondances qui existent entre eux comme : Sheikh Muhammad Val ibn Baba al Alaoui, Muhammad El Bachir ibn Rachid, Abd Rahman ibn Zaydan’, Sidi Ahmad Skiridj, Muhammad Said al Malikiat Tidjani etc.
De nombreuses autorités se sont relayées chez lui pour recevoir des prières du fait de sa renommée d’homme de Dieu aux prières toujours exaucées, nous pouvons citer entre autres, Mamadou Dia,
Sékou Touré, également Modibo Keïta, Horma Ould Babana, député de Mauritanie, Felix Houphouët Boigny, Maître Lamine Guèye, Djim Momar Guèye, Abass Guèye, ainsi que l’ancien maire de la commune de Kaolack et fondateur du BDS, Ibrahima Seydou Ndao, sans oublier Léopold Sédar Senghor premier président de la république du Sénégal.
Le plus grand de ces Prodiges a été certes: la Rectitude, toute sa vie durant ne se cramponnant scrupuleusement qu’au Coran et à la Sounna sans innovation ni manquement n’est pas une chose donnée à tout le monde. Apportant son témoignage à propos de Khalifa El Hadji Mouhamad Niass, le grand Connaissant Serigne Aliou Sakho dixit: «Ma Misslouho fil Arifin / il n’a de pareil parmi les Connaissants» et ceci est perceptible à travers ses écrits et sa méthode d’éducation spirituelle/temporelle qui a fini de poser les jalons pour le développement de l’humanité surtout en ces heures plus que sombres. Car de sa personnalité et de ses enseignements se dégagent des solutions qui auront vite fait de mettre notre pays sur les rails de l’émergence, entre autres, la recherche et la préservation de la science toutes sortes de sciences, promouvoir la moralité et de la bonne conduite et surtout le travail qui doit permettre à l’homme de s’habituer à la patience, à l’endurance et à la persévérance.
139 années n’auront pas suffi à l’ôter du cœur de millions de gens qui le vénèrent encore plus vivement aujourd’hui plus qu’hier.
Mouhamad ibn Abdallah Niass quitta ce monde terrestre pour la demeure lumineuse à Kaolack le 1er mars 1959 à l’âge de 80 ans, il fût inhumé à côté de son père, d’Aboubakr al Awal et de Omar dans la Zawiya bénite à Leona Niassène, Sa tombe ne cesse d’être irriguée de miséricorde, à tout instant les visiteurs y affluent.
Qu’ALLAH (qu’Il soit Glorifié et Exalté) dans sa Mansuétude, soit Satisfait de lui, le Rétribue largement chaque fois que, dans un bosquet, chante une verte tourterelle ou que la brise dérobe son parfum au verdoyant jardin fleuri… Amine.
« Seigneur accorde la bénédiction et la paix au Prophète tant que se fera entendre le roucoulement d’une colombe !».
«Ô mon Dieu ! Prie sur notre seigneur Mohammad qui a ouvert ce qui était clos, et qui a clos ce qui a précédé, le soutien de la Vérité par la Vérité et le guide sur Ton droit chemin, ainsi qu’à sa famille, selon sa valeur et à la mesure de son immense dignité».
Ecrit par le serviteur de Cheikh al Khalifa Hadji Mouhamad (ra), le très Pauvre en Allah (swt) :
El Hadji Idrissa DIOUM
Co-fondateur du Nayloul Maram Project
Qu’Allah lui accorde Sa Douceur.
A un très jeune âge, Mouhamad fit ses études sous la direction de son père qui lui a enseigné toutes les disciplines: Coran, l’Exégèse, la Science des Hadith, Orthoépie, Théologie, Mysticisme, la Jurisprudence, la Logique, la Rhétorique, la Philologie, la Prosodie, l’Arithmétique, la Géométrie, la Médecine, la Pharmacopée etc. En 1910, tous les deux se rendirent à Fez d’où le fils partit pour les lieux saints de l’Islam en s’embarquant dans un bateau en partance pour la ville de Marseille en France, de là il prit l’Orient Express jusqu’à Istanbul en Turquie où il transite par un autre train le HedjazRailways qui le mènera jusqu’à la ville de Médine où il put commencer son Haaj. En 1922, après le rappel à Dieu d’El Hadji Abdoulaye, Mouhamad Niass devint Khalife. Il retourna à Fez en 1924 où il reçut une Ijaza de la part de Seyyidi Mahmoud petit-fils du fondateur de la Tariqa Tidjani qu’il avait rencontré à Casablanca.
Mame Khalifa fut une personne simple, fort modeste, sobre, dénuée d’intérêts pour ce bas monde. Sa vie, il l’a édifié sur des principes, guidé par son gout exacerbé pour la recherche de la Connaissance. Mais son trait le plus caractéristique demeure son Amour vis-à-vis du Meilleur des êtres Seydina Mouhamad (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui)et de son maître Seydi Ahmad Tidjani (qu’Allah sanctifie son précieux secret), un Penchant qu’il a éprouvé très tôt en atteste son ami Ahmed ibn Dahah dans la préface d’un des Diwan de Mame Khalifa : «Le Khalife Mouhamad fils d’Abdallâh fils de Mouhamad m’a raconté : «Je me suis pris d’une vive affection pour le prophète Mouhamad. Ma mère s’appelle aussi Aminata comme celle de l’Apôtre. Quand j’avais sept mois, mon père avait vu le prophète: celui-ci, dit-il en me désignant, est mon fils je lui ai donné ton nom.- Passe-le moi, lui dit le Prophète, il me tendit à l’Apôtre qui me prit, qui me mit sur ses genoux, me serra contre lui un bon moment et me rendit à mon père.»
Voilà surement une des raisons pour lesquelles il fut et demeure un des plus grands Hagiographes du Prophète et un des plus merveilleux panégyristes de Seydi Ahmad Tidjani de tous les temps. La Poésie était surtout son domaine de prédilection. Il aura consacré en tout plus de 15 ouvrages sur la vie du Messager et Il demeure incontestable que Mame Khalifa Niass ait apporté des éléments nouveaux dans l’hagiographie du Prophète nonobstant ces grands prédécesseurs en la matière comme Ka’ab ibn Zubair, Hassan ibn Thabit, et surtout Mouhamad El-Bussairy d’après l’avis du Professeur émérite Amar Samb. Il consacra aussi un recueil de plus de 3246 vers dénommé «le Souffre Rouge ou Panégyrique sur le plus grand Pôle» au fondateur de la Tariqa Tidjani qui sera édité pour la première fois au Caire en 1955 par Abdallah ibn Abdel Karim al Qadiri et c’est un des premiers ouvrages d’un ressortissant de l’Afrique noire à être édité dans ce prestigieux sanctuaire.
Ses œuvres de hautes fractures portent les marques d’un très grand poète dont la célébrité déborde largement dans le cadre de son pays, ainsi toute la gente religieuse du Sénégal et du monde Islamique ont fini de le reconnaître, de Sidi Ahmad Skiridj à Sidi Ahmed ibn Mukhtar al Alawi en passant par ses paires Sidi El hadji Malick Sy et Cheikh Ahmad Bamba Mbacké jusqu’à son frère El Hadji Ibrahima Niass Baye.
Mame Khalifa Niass était surtout un éducateur accompli tant sur le plan temporel que le côté spirituel. Ainsi sous sa tente à l’université populaire de Leona-Niassène s’est formé un nombre incalculables d’érudits qui ont réussi à se hisser au sommet, des hommes qui sont parvenus à la cime de la gloire islamique par l’étendue de la science qu’ils y ont appris. Et ce processus de formation suit son cours jusque de nos jours représentant ainsi une forte contribution au développement de l’enseignement islamique au Sénégal.
Du côté spirituel, Combien d’âmes sa grâce dispensatrice de joie et de bonheur, a attirées jusqu’à Allah ? Combien de gens voués à l’égarement et à la damnation a-t-il guidé sans dévier vers la vérité ?
L’éducation spirituelle de Mame Khalifa Niass est le cheminement dans la Voie Tidjani de la manière la plus orthodoxe possible conformément à la manière des enseignements de son fondateur Seydi Ahmad Tidjani, sans manquements et sans rajouts. Ainsi Mame Khalifa prépare l’homme en lui enseignant et lui insufflant les rudiments du bon caractère, à prendre le chemin droit, le chemin de la rectitude, ce chemin que nous demandons sans cesse à Allah (qu’Il soit Glorifié et Exalté) dans nos prières dans la sourate Fatiha : «Guide-nous dans le droit chemin», de n’adorer Allah que pour sa noble face, le tout enraciné dans le Coran le Livre du Très-Haut et la pure Tradition du Messager d’Allah (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui). Khalifa El Hadji Mouhamad demeure cependant convaincu que c’est grâce à l’Amour profond que le disciple engagé dans la Voie doit vouer au Prophète et à Cheikh Tidjani que se produit l’Alchimie Spirituelle le processus qui change du tout au tout, en or et vif argent les cœurs qui n’était que caillou. C’est à travers cet amour profond en plus du fait de se conformer aux exigences de la servitude que l’on voyage vers les stations élevées de la connaissance divine. C’est cela même qu’il a imprégné à sa famille et à ses disciples et tous connaissent les gens de Leona-Niassène pour leur légendaire crainte révérencielle en Allah le Très-Haut. C’est suffisant pour demeurer en Islam.
Khalifa El Hadji Mouhamad entretenait d’excellentes relations avec ses confrères des autres familles religieuses du Sénégal mais aussi des autres personnalités du monde en attestent les visites et les nombreuses correspondances qui existent entre eux comme : Sheikh Muhammad Val ibn Baba al Alaoui, Muhammad El Bachir ibn Rachid, Abd Rahman ibn Zaydan’, Sidi Ahmad Skiridj, Muhammad Said al Malikiat Tidjani etc.
De nombreuses autorités se sont relayées chez lui pour recevoir des prières du fait de sa renommée d’homme de Dieu aux prières toujours exaucées, nous pouvons citer entre autres, Mamadou Dia,
Sékou Touré, également Modibo Keïta, Horma Ould Babana, député de Mauritanie, Felix Houphouët Boigny, Maître Lamine Guèye, Djim Momar Guèye, Abass Guèye, ainsi que l’ancien maire de la commune de Kaolack et fondateur du BDS, Ibrahima Seydou Ndao, sans oublier Léopold Sédar Senghor premier président de la république du Sénégal.
Le plus grand de ces Prodiges a été certes: la Rectitude, toute sa vie durant ne se cramponnant scrupuleusement qu’au Coran et à la Sounna sans innovation ni manquement n’est pas une chose donnée à tout le monde. Apportant son témoignage à propos de Khalifa El Hadji Mouhamad Niass, le grand Connaissant Serigne Aliou Sakho dixit: «Ma Misslouho fil Arifin / il n’a de pareil parmi les Connaissants» et ceci est perceptible à travers ses écrits et sa méthode d’éducation spirituelle/temporelle qui a fini de poser les jalons pour le développement de l’humanité surtout en ces heures plus que sombres. Car de sa personnalité et de ses enseignements se dégagent des solutions qui auront vite fait de mettre notre pays sur les rails de l’émergence, entre autres, la recherche et la préservation de la science toutes sortes de sciences, promouvoir la moralité et de la bonne conduite et surtout le travail qui doit permettre à l’homme de s’habituer à la patience, à l’endurance et à la persévérance.
139 années n’auront pas suffi à l’ôter du cœur de millions de gens qui le vénèrent encore plus vivement aujourd’hui plus qu’hier.
Mouhamad ibn Abdallah Niass quitta ce monde terrestre pour la demeure lumineuse à Kaolack le 1er mars 1959 à l’âge de 80 ans, il fût inhumé à côté de son père, d’Aboubakr al Awal et de Omar dans la Zawiya bénite à Leona Niassène, Sa tombe ne cesse d’être irriguée de miséricorde, à tout instant les visiteurs y affluent.
Qu’ALLAH (qu’Il soit Glorifié et Exalté) dans sa Mansuétude, soit Satisfait de lui, le Rétribue largement chaque fois que, dans un bosquet, chante une verte tourterelle ou que la brise dérobe son parfum au verdoyant jardin fleuri… Amine.
« Seigneur accorde la bénédiction et la paix au Prophète tant que se fera entendre le roucoulement d’une colombe !».
«Ô mon Dieu ! Prie sur notre seigneur Mohammad qui a ouvert ce qui était clos, et qui a clos ce qui a précédé, le soutien de la Vérité par la Vérité et le guide sur Ton droit chemin, ainsi qu’à sa famille, selon sa valeur et à la mesure de son immense dignité».
Ecrit par le serviteur de Cheikh al Khalifa Hadji Mouhamad (ra), le très Pauvre en Allah (swt) :
El Hadji Idrissa DIOUM
Co-fondateur du Nayloul Maram Project
Qu’Allah lui accorde Sa Douceur.