Si nous modou-modous on est gifle par notre propre gouvernement ,qu’en sera-t-il de la population de nos pays d’accueil ? Dans nos pays d’accueil ,particulièrement en Italie le modou est maltraité partout, dans les rues ,dans les établissements publics ,dans les lieux de travail etc..
En Italie le modou-modou est celui à qui on ne fait recours dans la majeure partie des cas que pour exécuter des besognes peu valorisants. Les marchands ambulants subissent des humiliations à longueur de journée ,l’italien voit en eux des mendiants et les chassent d’une façon qui brave toutes les règles de l' hospitalité et de la bienséance.comme si cela ne suffisait un jeune d’origine sénégalais appréhendé par la police est envoyé en prison car rattrapé par la loi Bossi-Fini qui retire le permis de séjour à tout étranger qui perd son boulot ,ce dernier mourut dans sa cellule après une crise d’asthme et la vidéo qui a fait le tour du monde montre que Gadiaga a demandé de l’aide aux policiers qui l’ont laissé mourir sans daigner lui apporter secours.
Cette mort défraie encore la chronique et en octobre dernier la communauté sénégalaise ont battu le macadam pour demander à ce que le dossier soit rouvert car classé sans suite par le procureur de la république.
Le mauvais des modou-modous a atteint son paroxysme quand, un italien militant de l'extrême droite a abattu sauvagement deux sénégalais dont le seul crime est la volonté améliorer leur situation et celle de leurs parents laissés au pays. Donc Modou Samb et Mor Diop perdirent ainsi la vie alors que trois autres de leurs camarades sont entrain de lutter contre la mort dans les hôpitaux italiens.
Mais il faut se l’avouer ce qui étonne tout le monde c’est moins le mauvais traitement dont sont victimes les modou-modous que la timidité avec laquelle nos dirigeants sont en train d’aborder ce qui désormais est devenue une problématique.En effet les conditions de vie des sénégalais de l’extérieur méritent en notre sens tellement une étude sérieuse que c’est même devenu une problématique.
Ce qui en ressort est et reste que les modou-modous sont contraints à faire bloc ,à s’unir car ils sont abandonnés à leur propre sort et dans ces conditions ils doivent s’armer de force morale et matérielle pour faire face aux agressions extérieures qu’elles viennent des gouvernants sénégalais ou des populations de nos pays d’accueil respectifs.
Il est temps pour les sénégalais des différentes diasporas de taire leurs querelles internes et de s’unir autour de l’essentiel car comme on dit en wolof « bougnou keen bougoul gnou beug sougnou boop »car maintenant non contents de nous déshonorer à longueur de journée on noue tue et telle un troupeau perdu dans la savane, on court dans toutes les directions à la recherche d’une protection qui hélas risque d’être illusion .
MALICK SAKHO (Italie).
En Italie le modou-modou est celui à qui on ne fait recours dans la majeure partie des cas que pour exécuter des besognes peu valorisants. Les marchands ambulants subissent des humiliations à longueur de journée ,l’italien voit en eux des mendiants et les chassent d’une façon qui brave toutes les règles de l' hospitalité et de la bienséance.comme si cela ne suffisait un jeune d’origine sénégalais appréhendé par la police est envoyé en prison car rattrapé par la loi Bossi-Fini qui retire le permis de séjour à tout étranger qui perd son boulot ,ce dernier mourut dans sa cellule après une crise d’asthme et la vidéo qui a fait le tour du monde montre que Gadiaga a demandé de l’aide aux policiers qui l’ont laissé mourir sans daigner lui apporter secours.
Cette mort défraie encore la chronique et en octobre dernier la communauté sénégalaise ont battu le macadam pour demander à ce que le dossier soit rouvert car classé sans suite par le procureur de la république.
Le mauvais des modou-modous a atteint son paroxysme quand, un italien militant de l'extrême droite a abattu sauvagement deux sénégalais dont le seul crime est la volonté améliorer leur situation et celle de leurs parents laissés au pays. Donc Modou Samb et Mor Diop perdirent ainsi la vie alors que trois autres de leurs camarades sont entrain de lutter contre la mort dans les hôpitaux italiens.
Mais il faut se l’avouer ce qui étonne tout le monde c’est moins le mauvais traitement dont sont victimes les modou-modous que la timidité avec laquelle nos dirigeants sont en train d’aborder ce qui désormais est devenue une problématique.En effet les conditions de vie des sénégalais de l’extérieur méritent en notre sens tellement une étude sérieuse que c’est même devenu une problématique.
Ce qui en ressort est et reste que les modou-modous sont contraints à faire bloc ,à s’unir car ils sont abandonnés à leur propre sort et dans ces conditions ils doivent s’armer de force morale et matérielle pour faire face aux agressions extérieures qu’elles viennent des gouvernants sénégalais ou des populations de nos pays d’accueil respectifs.
Il est temps pour les sénégalais des différentes diasporas de taire leurs querelles internes et de s’unir autour de l’essentiel car comme on dit en wolof « bougnou keen bougoul gnou beug sougnou boop »car maintenant non contents de nous déshonorer à longueur de journée on noue tue et telle un troupeau perdu dans la savane, on court dans toutes les directions à la recherche d’une protection qui hélas risque d’être illusion .
MALICK SAKHO (Italie).