M. Diagne, ancien employé à l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD) de Diass promettait des visas à des candidats à l’immigration irrégulière. Mal lui en a pris puisque, rapporte Source A, il a été envoyé en prison. La même source précise que l’informaticien, poursuivi pour escroquerie, a été attrait à la barre du Tribunal des flagrants délits de Dakar suite à la plainte du nommé M. M. Niang.
« Domicilié au Saloum, le jeune homme a pu réunir 4 millions de francs CFA grâce au soutien de ses parents. Il remet l’argent à Diagne dans l’espoir de rejoindre l’Italie dans les plus brefs délais», détaille le quotidien d’information, qui s’est empressé d’ajouter que son rêve ne se réalisera pas. « Au lieu de recevoir son visa à temps, [Niang] n’a fait qu’essuyer mensonge sur mensonge de l’escroc », rapporte le journal, repris par Seneweb.
Las de courir après M. Diagne, le plaignant a finalement actionné la justice. Le mis en cause, né en 2000, admet avoir reçu les 4 millions mais conteste avoir roulé M. M. Niang dans la farine. À l’en croire, le coupable se nomme M. Diop. Il affirme : « Un ancien collègue qui travaillait avec moi à l’aéroport m’a contacté. Il m’a proposé ce business en disant que c’est très rentable. C’est à lui que j’ai remis l’argent. Il m’a dit qu’il a des relations dans les ambassades des USA, du Canada et celles de l’espace Schengen. Depuis que je lui ai donné l’argent, il est resté injoignable. »
Pourtant, signale Source A, l’informaticien révèle avoir « désintéressé la partie civile à hauteur de 500 000 F CFA » et que « sa famille est en train de s’activer pour rendre au plaignant la totalité de son argent ».
S’il reconnaît avoir reçu une avance de 500 000, Niang réclame l’intégralité du reliquat. Le plaignant obtient gain de cause car suivant le réquisitoire du Procureur, le prévenu écope d’une peine d’emprisonnement ferme de deux mois, assortie de l’obligation de s’acquitter des 3,5 millions restants.
« Domicilié au Saloum, le jeune homme a pu réunir 4 millions de francs CFA grâce au soutien de ses parents. Il remet l’argent à Diagne dans l’espoir de rejoindre l’Italie dans les plus brefs délais», détaille le quotidien d’information, qui s’est empressé d’ajouter que son rêve ne se réalisera pas. « Au lieu de recevoir son visa à temps, [Niang] n’a fait qu’essuyer mensonge sur mensonge de l’escroc », rapporte le journal, repris par Seneweb.
Las de courir après M. Diagne, le plaignant a finalement actionné la justice. Le mis en cause, né en 2000, admet avoir reçu les 4 millions mais conteste avoir roulé M. M. Niang dans la farine. À l’en croire, le coupable se nomme M. Diop. Il affirme : « Un ancien collègue qui travaillait avec moi à l’aéroport m’a contacté. Il m’a proposé ce business en disant que c’est très rentable. C’est à lui que j’ai remis l’argent. Il m’a dit qu’il a des relations dans les ambassades des USA, du Canada et celles de l’espace Schengen. Depuis que je lui ai donné l’argent, il est resté injoignable. »
Pourtant, signale Source A, l’informaticien révèle avoir « désintéressé la partie civile à hauteur de 500 000 F CFA » et que « sa famille est en train de s’activer pour rendre au plaignant la totalité de son argent ».
S’il reconnaît avoir reçu une avance de 500 000, Niang réclame l’intégralité du reliquat. Le plaignant obtient gain de cause car suivant le réquisitoire du Procureur, le prévenu écope d’une peine d’emprisonnement ferme de deux mois, assortie de l’obligation de s’acquitter des 3,5 millions restants.