Contexte : Un gel de 9 mois pour assainir le secteur
En avril 2024, les autorités suspendaient toutes les transactions dans *16 zones sensibles, de Dakar à Saint-Louis, pour permettre un audit des pratiques foncières. Parmi les zones concernées, figuraient des lotissements emblématiques comme BOA, Hangars des Pèlerins (Dakar) ou encore, le littoral de la Corniche. Un comité technique, mis en place en juin 2024, a identifié les dossiers réguliers via des quitus (attestations de conformité), délivrés par la Direction générale de la Surveillance et du Contrôle de l’Occupation du Sol.
Ce qui change dès maintenant
- Levée partielle : Les propriétaires et investisseurs disposant d’un quitus, peuvent reprendre leurs démarches dans des zones comme :
- Le littoral dakarois (hors Corniche-Ouest et Est),
- Diamalaye et EGBOS (Dakar),
- Pointe Sarène à Mbour (hors SAPCO),
- Ndiébène Gandiol à Saint-Louis.
- Mainlevée automatique : Les conservateurs fonciers sont réautorisés à valider les actes, conformément à la loi de 2011.
Zones toujours sous embargo
Cinq secteurs restent gelés, jugés trop sensibles ou frappés d’annulation par les autorités :
1. Lotissements EOGEN 1 et 2 (Dakar),
2. Cité Batterie (Dakar),
3. Zones Taxis, ASECNA et ANACIM des Hangars des Pèlerins,
4. Nouvelle Ville de Thiès,
5. Parties des PUD de Guédiawaye et Malika (entre l’océan et la VDN).
Réactions et impacts
Pour Amadou Ndiaye, géomètre-expert à Dakar, "cette clarification était urgente. Des milliers de familles et d’entreprises étaient bloquées. Le marché va retrouver un souffle, mais sous contrôle". Du côté des notaires, on salue la fin du blocage pour les dossiers "propres", tout en appelant à une vigilance accrue contre la spéculation.
À retenir, cette mesure équilibre relance économique et lutte contre la corruption foncière, une priorité du gouvernement.
En avril 2024, les autorités suspendaient toutes les transactions dans *16 zones sensibles, de Dakar à Saint-Louis, pour permettre un audit des pratiques foncières. Parmi les zones concernées, figuraient des lotissements emblématiques comme BOA, Hangars des Pèlerins (Dakar) ou encore, le littoral de la Corniche. Un comité technique, mis en place en juin 2024, a identifié les dossiers réguliers via des quitus (attestations de conformité), délivrés par la Direction générale de la Surveillance et du Contrôle de l’Occupation du Sol.
Ce qui change dès maintenant
- Levée partielle : Les propriétaires et investisseurs disposant d’un quitus, peuvent reprendre leurs démarches dans des zones comme :
- Le littoral dakarois (hors Corniche-Ouest et Est),
- Diamalaye et EGBOS (Dakar),
- Pointe Sarène à Mbour (hors SAPCO),
- Ndiébène Gandiol à Saint-Louis.
- Mainlevée automatique : Les conservateurs fonciers sont réautorisés à valider les actes, conformément à la loi de 2011.
Zones toujours sous embargo
Cinq secteurs restent gelés, jugés trop sensibles ou frappés d’annulation par les autorités :
1. Lotissements EOGEN 1 et 2 (Dakar),
2. Cité Batterie (Dakar),
3. Zones Taxis, ASECNA et ANACIM des Hangars des Pèlerins,
4. Nouvelle Ville de Thiès,
5. Parties des PUD de Guédiawaye et Malika (entre l’océan et la VDN).
Réactions et impacts
Pour Amadou Ndiaye, géomètre-expert à Dakar, "cette clarification était urgente. Des milliers de familles et d’entreprises étaient bloquées. Le marché va retrouver un souffle, mais sous contrôle". Du côté des notaires, on salue la fin du blocage pour les dossiers "propres", tout en appelant à une vigilance accrue contre la spéculation.
À retenir, cette mesure équilibre relance économique et lutte contre la corruption foncière, une priorité du gouvernement.