C’est arrivé le 27 octobre dernier, à quelques en encablures des logements sociaux de N’Tabacoro, sur la route de Ségou au Mali. Un homme, de nationalité étrangère, a été surpris, en train de s’accoupler avec une chèvre.
La dépravation des mœurs est sans limite dans notre pays Elle vient de franchir le seuil du tolérable. Sans que nos autorités daignent lever le petit doigt. Et les exemples ne manquent pas. Il y a deux ans, une dame sa voiture au milieu du pont des martyrs. Toute nue, elle descend de la voiture avec une calebasse de lait. Sous les yeux ahuris des passants, elle se lave avec ce lait, bloquant ainsi la circulation dans deux côtés du pont. C’était en pleine journée.
Aussi, Il y a trois mois, un homme en poils avait fait la même chose, aux environs du crépuscule, sur la route qui relie ATT-bougou à la route de Ségou. Debout sur un canari, il s’asperge, au milieu de la route, avec une décoction contenant des cauris et de colas.
Deux jours avant la fête de tabaski, un taximan et une jeune dame sont surpris en pleins ébats sexuels au marché de Medina-Coura ou « soukoucourani », au moment où, tout monde était occupé à faire des emplètes pour la fête de tabaski.
La semaine dernière, on apprend que les professionnels du sexe se sont réunis au Centre International de Conférence de Bamako pour réclamer leurs droits. D’aucuns diront que c’est du déjà-vu. Ils auront peut-être raison. Car, dans notre pays, on assiste de plus en plus, à d’autres types de dépravations, jusque –là inconnues. C’est, le cas de cet homme qui a osé s’accoupler avec une chèvre.
En effet, un homme de nationalité étrangère a été surpris, par un gardien en train de s’accoupler, avec une chèvre. C’était le 27 octobre dernier, à quelques encablures des logements sociaux de N’Tabacoro. C’est dans cette zone, en chantier, que Marc Dou, c’est le nom de cet homme, a choisi pour accomplir cet acte ignoble. Selon les témoins, ce monsieur est arrivé sur les lieux, quelques minutes avant le crépuscule, à bord d’une Mercedes. Il s’éclipse derrière sa voiture. Quelques instants après, on entend le bêlement incessant d’une chèvre. Issouf Guindo, le gardien d’un chantier, s’empresse d’aller voir ce qui se passe derrière la voiture. La scène est indescriptible. Il croyait à faire à un djin et faillit joindre ses jambes au cou. Mais il arrive a garder son sang-froid et s’approche davantage de la voiture pour voir clair. Il finit par comprendre que c’était un humain et une chèvre. Il court chercher d’autres témoins. A son retour, le monsieur s’apprêtait à se rhabiller. Mais Issouf Guindo et ses camarades, l’encerclent et le contraignent à reprendre la scène. Avant de lui demander d’expliquer l’acte qu’il venait d’accomplir. La communication n’a pas été facile. Car le Marc Dou ne parle que la langue de Sheakspeare. Une langue que ses interlocuteurs ne comprennent pas. Mais sous la menace, il finit par lâcher, les mots « Nigeria » et « argent ». Des mots qui n’ont pas échappé à Issouf et à ses camarades. Ce qui fait dire à ces derniers, qu’il venait du Nigeria et qu’il a posé cet acte, sur les conseils de son charlatan, pour gagner fortune. Les jeunes avaient voulu alerter les agents de sécurité au poste de Nyamina. Mais ils décident, finalement, de le lâcher après une longue prière de Marc Dou.
A noter que les jeunes ont pu filmer la scène avec leurs téléphones.
Selon le jeune Guindo, Marc Dou n’était pas à son premier coup. Il partait, fréquemment sur les lieux et à la même heure pour s’adonner à son sport favori. Mais personne ne le soupçonnait. « Je pensais qu’il venait sur les lieux, pour superviser son chantier», indique Issa Guindo.
On aura tout, tout vu, dans ce pays.
La dépravation des mœurs est sans limite dans notre pays Elle vient de franchir le seuil du tolérable. Sans que nos autorités daignent lever le petit doigt. Et les exemples ne manquent pas. Il y a deux ans, une dame sa voiture au milieu du pont des martyrs. Toute nue, elle descend de la voiture avec une calebasse de lait. Sous les yeux ahuris des passants, elle se lave avec ce lait, bloquant ainsi la circulation dans deux côtés du pont. C’était en pleine journée.
Aussi, Il y a trois mois, un homme en poils avait fait la même chose, aux environs du crépuscule, sur la route qui relie ATT-bougou à la route de Ségou. Debout sur un canari, il s’asperge, au milieu de la route, avec une décoction contenant des cauris et de colas.
Deux jours avant la fête de tabaski, un taximan et une jeune dame sont surpris en pleins ébats sexuels au marché de Medina-Coura ou « soukoucourani », au moment où, tout monde était occupé à faire des emplètes pour la fête de tabaski.
La semaine dernière, on apprend que les professionnels du sexe se sont réunis au Centre International de Conférence de Bamako pour réclamer leurs droits. D’aucuns diront que c’est du déjà-vu. Ils auront peut-être raison. Car, dans notre pays, on assiste de plus en plus, à d’autres types de dépravations, jusque –là inconnues. C’est, le cas de cet homme qui a osé s’accoupler avec une chèvre.
En effet, un homme de nationalité étrangère a été surpris, par un gardien en train de s’accoupler, avec une chèvre. C’était le 27 octobre dernier, à quelques encablures des logements sociaux de N’Tabacoro. C’est dans cette zone, en chantier, que Marc Dou, c’est le nom de cet homme, a choisi pour accomplir cet acte ignoble. Selon les témoins, ce monsieur est arrivé sur les lieux, quelques minutes avant le crépuscule, à bord d’une Mercedes. Il s’éclipse derrière sa voiture. Quelques instants après, on entend le bêlement incessant d’une chèvre. Issouf Guindo, le gardien d’un chantier, s’empresse d’aller voir ce qui se passe derrière la voiture. La scène est indescriptible. Il croyait à faire à un djin et faillit joindre ses jambes au cou. Mais il arrive a garder son sang-froid et s’approche davantage de la voiture pour voir clair. Il finit par comprendre que c’était un humain et une chèvre. Il court chercher d’autres témoins. A son retour, le monsieur s’apprêtait à se rhabiller. Mais Issouf Guindo et ses camarades, l’encerclent et le contraignent à reprendre la scène. Avant de lui demander d’expliquer l’acte qu’il venait d’accomplir. La communication n’a pas été facile. Car le Marc Dou ne parle que la langue de Sheakspeare. Une langue que ses interlocuteurs ne comprennent pas. Mais sous la menace, il finit par lâcher, les mots « Nigeria » et « argent ». Des mots qui n’ont pas échappé à Issouf et à ses camarades. Ce qui fait dire à ces derniers, qu’il venait du Nigeria et qu’il a posé cet acte, sur les conseils de son charlatan, pour gagner fortune. Les jeunes avaient voulu alerter les agents de sécurité au poste de Nyamina. Mais ils décident, finalement, de le lâcher après une longue prière de Marc Dou.
A noter que les jeunes ont pu filmer la scène avec leurs téléphones.
Selon le jeune Guindo, Marc Dou n’était pas à son premier coup. Il partait, fréquemment sur les lieux et à la même heure pour s’adonner à son sport favori. Mais personne ne le soupçonnait. « Je pensais qu’il venait sur les lieux, pour superviser son chantier», indique Issa Guindo.
On aura tout, tout vu, dans ce pays.