Le Sénégal s’est pointé à la 99ème place sur 180 pays lors de l’évaluation de l’Indice de Perception de la Corruption que Transparency International publie chaque année. En effet, selon le document reçu à la rédaction de Pressafrik.com, l’IPC évalue la perception du niveau de corruption affectant l’administration publique et la classe politique dans un pays donné. Il s’agit d’un indice composite, fondé sur 13 enquêtes différentes, réalisées auprès d'entreprises ou d'experts.
Ainsi, avec un score de 3.0, un écart type de 1.0 sur un nombre d’enquêtes de 7, le Sénégal partage cette place avec des pays comme la Bosnie Herzégovine, la République dominicaine, le Jamaïque, le Madagascar et le Tongan.
Le rapport d’indiquer: «la grande majorité des pays évalués dans l’indice 2009 ont obtenu une note inférieure à cinq sur une échelle de 0 (haut degré de corruption perçu) à 10 (faible degré de corruption perçu). Les notes les plus élevées sont attribuées à la Nouvelle-Zélande avec 9,4, au Danemark avec 9,3, à Singapour, à la Suède avec 9,2 et à la Suisse avec 9,0. Ces pays bénéficient d’une grande stabilité politique, d’une législation bien établie sur les conflits d’intérêt et d’institutions publiques solides et efficaces». La Somalie, avec un score de 1.1, a pris la dernière place.
La même source a fait savoir que «les pots-de-vin, les cartels et les autres pratiques de corruption sapent la concurrence et provoquent une déperdition massive des ressources destinées au développement dans tous les pays, particulièrement dans les pays les plus pauvres. Comme l’a démontré un rapport récent de TI, entre 1990 et 2005, plus de 283 cartels internationaux privés ont été à l’origine d’un surcoût, pour les consommateurs du monde entier, d'environ 300 milliards de dollars.
Papa Mamadou Diéry Diallo
Ainsi, avec un score de 3.0, un écart type de 1.0 sur un nombre d’enquêtes de 7, le Sénégal partage cette place avec des pays comme la Bosnie Herzégovine, la République dominicaine, le Jamaïque, le Madagascar et le Tongan.
Le rapport d’indiquer: «la grande majorité des pays évalués dans l’indice 2009 ont obtenu une note inférieure à cinq sur une échelle de 0 (haut degré de corruption perçu) à 10 (faible degré de corruption perçu). Les notes les plus élevées sont attribuées à la Nouvelle-Zélande avec 9,4, au Danemark avec 9,3, à Singapour, à la Suède avec 9,2 et à la Suisse avec 9,0. Ces pays bénéficient d’une grande stabilité politique, d’une législation bien établie sur les conflits d’intérêt et d’institutions publiques solides et efficaces». La Somalie, avec un score de 1.1, a pris la dernière place.
La même source a fait savoir que «les pots-de-vin, les cartels et les autres pratiques de corruption sapent la concurrence et provoquent une déperdition massive des ressources destinées au développement dans tous les pays, particulièrement dans les pays les plus pauvres. Comme l’a démontré un rapport récent de TI, entre 1990 et 2005, plus de 283 cartels internationaux privés ont été à l’origine d’un surcoût, pour les consommateurs du monde entier, d'environ 300 milliards de dollars.
Papa Mamadou Diéry Diallo