Quel fut l’évènement de ce vendredi 28 mars 2014 à Tanger ? Tout simplement le prêche assuré par un ex-théoricien de la Salafia Jihadia, en l’occurrence Mohamed El Fizazi, à la Mosquée Tarik Ibn Zyad où Sa Majesté Le Roi Mohammed VI, en sa qualité d’Amir Al Mouminine «Prince des Croyants», y a accompli la Grande Prière hebdomadaire.
Un acte du Roi du Maroc qui confirme que les institutions religieuses marocaines ont pu, sous la conduite éclairée du Souverain marocain, absorber les phénomènes de société et rationaliser la pensée dans un cadre global et normé.
Une démarche qui a vu l’adhésion des leaders salafistes aux réformes politiques, économiques et religieuses initiées par le Maroc et qui conforte l’efficacité, la pertinence de la démarche marocaine de déradicalisation, d’intégration et d’inclusion des leaders de la Salafia Jihadia et qui démontre le caractère singulier du modèle religieux marocain, authentique et modéré.
A la différence de nombreux pays, au Royaume du Maroc, c’est le prédicateur qui se conforme à l’Institution et non le contraire, c’est pourquoi Sa Majesté le Roi Mohammed VI, rejetant les eléments secondaires, a accompli la Grande Prière du Vendredi dans une Mosquée de la ville du détroit sans se soucier du prêcheur qui y officie.
Il est vrai que Mohamed Fizazi, considéré comme un des prêcheurs les plus radicaux du Maroc, a été condamné après les attentats du 16 mais 2003 à Casablanca à 30 ans de prison pour son influence idéologique sur les responsables des attentats. Il bénéficia d’une grâce Royale et fut libéré en avril 2011.
Depuis juillet 2013 Mohamed Fizazi assure le prêche de cette Mosquée et dans celui de ce vendredi 28 mars 2014 il a souligné que la politique menée par Sa Majesté Mohammed VI est «source de sécurité et de stabilité» au sens large».
En conclusion, en assistant au prêche d’un ex-détenu salafiste condamné pour apologie au terrorisme Sa Majesté le Roi Mohammed VI envoie un message fort à la société marocaine et au monde entier à savoir qu’en sa qualité d’«Amir Al Mouminine» il ne pourra être tolérer aucun déviationnisme de l’Islam et toute remise en cause de l'obédience sunnite de rite Malikite en vigueur au Maroc.
Un acte du Roi du Maroc qui confirme que les institutions religieuses marocaines ont pu, sous la conduite éclairée du Souverain marocain, absorber les phénomènes de société et rationaliser la pensée dans un cadre global et normé.
Une démarche qui a vu l’adhésion des leaders salafistes aux réformes politiques, économiques et religieuses initiées par le Maroc et qui conforte l’efficacité, la pertinence de la démarche marocaine de déradicalisation, d’intégration et d’inclusion des leaders de la Salafia Jihadia et qui démontre le caractère singulier du modèle religieux marocain, authentique et modéré.
A la différence de nombreux pays, au Royaume du Maroc, c’est le prédicateur qui se conforme à l’Institution et non le contraire, c’est pourquoi Sa Majesté le Roi Mohammed VI, rejetant les eléments secondaires, a accompli la Grande Prière du Vendredi dans une Mosquée de la ville du détroit sans se soucier du prêcheur qui y officie.
Il est vrai que Mohamed Fizazi, considéré comme un des prêcheurs les plus radicaux du Maroc, a été condamné après les attentats du 16 mais 2003 à Casablanca à 30 ans de prison pour son influence idéologique sur les responsables des attentats. Il bénéficia d’une grâce Royale et fut libéré en avril 2011.
Depuis juillet 2013 Mohamed Fizazi assure le prêche de cette Mosquée et dans celui de ce vendredi 28 mars 2014 il a souligné que la politique menée par Sa Majesté Mohammed VI est «source de sécurité et de stabilité» au sens large».
En conclusion, en assistant au prêche d’un ex-détenu salafiste condamné pour apologie au terrorisme Sa Majesté le Roi Mohammed VI envoie un message fort à la société marocaine et au monde entier à savoir qu’en sa qualité d’«Amir Al Mouminine» il ne pourra être tolérer aucun déviationnisme de l’Islam et toute remise en cause de l'obédience sunnite de rite Malikite en vigueur au Maroc.