Quand l’ovulation est absente ou irrégulière
Ça y est, vous avez décidé d’avoir un bébé. Mais depuis que vous avez arrêté la pilule, vous avez l’impression que quelque chose cloche. Vos règles ne reviennent pas. Et après réflexion, vous vous souvenez que plus jeune déjà, vous aviez des petits soucis avec vos cycles. Si ces troubles se poursuivent sans grossesse à la clé, il est possible que vous ayez une anomalie de l’ovulation. Ce problème est la cause la plus fréquente d’infertilité chez la femme. Cela se traduit en général par des cycles irréguliers, très longs, voire pas de cycles du tout. Mais pas de conclusions hâtives ! Première chose, consultez votre gynécologue afin qu’il fasse un état des lieux. Il procédera à une échographie pour voir l’état de vos ovaires et, à partir de là, pourra décider quels examens complémentaire vous prescrire. Pour détecter s’il existe bien une ovulation, vous devrez faire des dosages hormonaux (prises de sang) et également analyser votre courbe de température.
Anomalies de l’ovulation : quelles sont les causes ?
L’ovaire fonctionne mal
Certaines anomalies sont dues à un dysfonctionnement de l’ovaire lui-même. Cette situation aboutit à des cycles menstruels irréguliers ou courts, ou à l’absence d’ovulation. Le dysfonctionnement ovarien peut être total si les ovaires sont absents ou atrophiés suite à un traitement lourd (chimiothérapie, radiothérapie). Parfois, il peut s’agir d’une anomalie chromosomique (le syndrome de Turner) ou encore d’une ménopause précoce (lorsque les réserves ovariennes s’épuisent avant l’âge de 40 ans). Dans ces situations extrêmes, l’ovulation ne peut pas être rétablie et la seule solution pour tomber enceinte est de se tourner vers le don d'ovocytes.
Ça y est, vous avez décidé d’avoir un bébé. Mais depuis que vous avez arrêté la pilule, vous avez l’impression que quelque chose cloche. Vos règles ne reviennent pas. Et après réflexion, vous vous souvenez que plus jeune déjà, vous aviez des petits soucis avec vos cycles. Si ces troubles se poursuivent sans grossesse à la clé, il est possible que vous ayez une anomalie de l’ovulation. Ce problème est la cause la plus fréquente d’infertilité chez la femme. Cela se traduit en général par des cycles irréguliers, très longs, voire pas de cycles du tout. Mais pas de conclusions hâtives ! Première chose, consultez votre gynécologue afin qu’il fasse un état des lieux. Il procédera à une échographie pour voir l’état de vos ovaires et, à partir de là, pourra décider quels examens complémentaire vous prescrire. Pour détecter s’il existe bien une ovulation, vous devrez faire des dosages hormonaux (prises de sang) et également analyser votre courbe de température.
Anomalies de l’ovulation : quelles sont les causes ?
L’ovaire fonctionne mal
Certaines anomalies sont dues à un dysfonctionnement de l’ovaire lui-même. Cette situation aboutit à des cycles menstruels irréguliers ou courts, ou à l’absence d’ovulation. Le dysfonctionnement ovarien peut être total si les ovaires sont absents ou atrophiés suite à un traitement lourd (chimiothérapie, radiothérapie). Parfois, il peut s’agir d’une anomalie chromosomique (le syndrome de Turner) ou encore d’une ménopause précoce (lorsque les réserves ovariennes s’épuisent avant l’âge de 40 ans). Dans ces situations extrêmes, l’ovulation ne peut pas être rétablie et la seule solution pour tomber enceinte est de se tourner vers le don d'ovocytes.
Un dysfonctionnement de la thyroïde
Parfois, il faut regarder du côté de la thyroïde ou de la glande surrénale, lorsqu’on ne parvient pas à concevoir. Le dysfonctionnement de la thyroïde, qui se manifeste par une hyper ou une hypothyroïdie, peut perturber l’équilibre hormonal et par conséquent l’ovulation. Les problèmes thyroïdiens sont sous-estimés actuellement, alors qu’ils sont en constante augmentation. D’où l’importance de se voir prescrire un bilan complet incluant un bilan thyroïdien.
Un dérèglement hormonal
C’est la situation la plus fréquente : les hormones manquent ou au contraire sont trop abondantes. Résultat : l’ovulation est altérée ou bien inexistante et les règles, de la même manière, sont perturbées.
Pour ce type d’anomalies, on observe principalement des déséquilibres hormonaux de l'hypothalamus et de l'hypophyse. Ces glandes du cerveau produisent des hormones qui régulent une grande partie de notre organisme. Parfois, elles ne sécrètent pas ou pas suffisamment les hormones indispensables au déroulement de l’ovulation. C’est le cas par exemple, lorsqu’il y a une production insuffisante de FSH (stimule le développement des follicules) et de LH (provoque l’ovulation), ou lorsque les taux de LH sont supérieurs aux taux de FSH (alors que c’est normalement le contraire). Dans ces cas, on constate souvent une production plus élevée que la normale d’hormones masculines (testostérone, DHA). Ce trouble peut notamment se manifester par des problèmes d’hyperpilosité. C'est souvent le cas dans le cadre du syndrome des ovaires polykystiques, où la LH est trop élevée.
Les ovaires polykystiques ou multi-folliculaires
C'est à la fois la cause et la conséquence des dérèglements hormonaux évoqués ci-dessus. La femme présente un nombre trop élevé de follicules (plus de 10 à 15 à un stade avancé, sur chaque ovaire) par rapport à la moyenne. Il n’y en a aucun qui arrive à maturité au cours d’un cycle menstruel. Ce qui se traduit par une absence d’ovulation.
Source: parents.fr
Parfois, il faut regarder du côté de la thyroïde ou de la glande surrénale, lorsqu’on ne parvient pas à concevoir. Le dysfonctionnement de la thyroïde, qui se manifeste par une hyper ou une hypothyroïdie, peut perturber l’équilibre hormonal et par conséquent l’ovulation. Les problèmes thyroïdiens sont sous-estimés actuellement, alors qu’ils sont en constante augmentation. D’où l’importance de se voir prescrire un bilan complet incluant un bilan thyroïdien.
Un dérèglement hormonal
C’est la situation la plus fréquente : les hormones manquent ou au contraire sont trop abondantes. Résultat : l’ovulation est altérée ou bien inexistante et les règles, de la même manière, sont perturbées.
Pour ce type d’anomalies, on observe principalement des déséquilibres hormonaux de l'hypothalamus et de l'hypophyse. Ces glandes du cerveau produisent des hormones qui régulent une grande partie de notre organisme. Parfois, elles ne sécrètent pas ou pas suffisamment les hormones indispensables au déroulement de l’ovulation. C’est le cas par exemple, lorsqu’il y a une production insuffisante de FSH (stimule le développement des follicules) et de LH (provoque l’ovulation), ou lorsque les taux de LH sont supérieurs aux taux de FSH (alors que c’est normalement le contraire). Dans ces cas, on constate souvent une production plus élevée que la normale d’hormones masculines (testostérone, DHA). Ce trouble peut notamment se manifester par des problèmes d’hyperpilosité. C'est souvent le cas dans le cadre du syndrome des ovaires polykystiques, où la LH est trop élevée.
Les ovaires polykystiques ou multi-folliculaires
C'est à la fois la cause et la conséquence des dérèglements hormonaux évoqués ci-dessus. La femme présente un nombre trop élevé de follicules (plus de 10 à 15 à un stade avancé, sur chaque ovaire) par rapport à la moyenne. Il n’y en a aucun qui arrive à maturité au cours d’un cycle menstruel. Ce qui se traduit par une absence d’ovulation.
Source: parents.fr