L’infertilité est devenue un problème de ménage. Au Sénégal beaucoup de couples peinent à donner naissance à un enfant. Pour le président de l’Association sénégalaise des gynécologues-obstétriciens (Asgo), le problème est lié, en grande partie, aux infections sexuellement transmises et qui ne sont pas bien prises en charge. C’est-à-dire qui ne sont pas diagnostiquées et traitées tôt, et de manière efficace et qui, au finish, vont laisser des séquelles.
La deuxième contrainte, selon le professeur Alassane Diouf, est le mode de vie, aussi bien chez les femmes que chez les hommes, avec l’obésité, le diabète, l’hypertension, l’exposition à la pollution du tabagisme qui entraîne la baisse de la fécondité. « En plus, il y a des baisses naturelles de la fécondité en rapport avec des pathologies qui révèlent d’une prise en charge particulière qui peut aller jusqu’à la procréation médicalement assistée. Cela interpelle les pouvoirs publics à mettre des moyens afin que ces personnes puissent avoir accès aux traitements qui sont parfois coûteux », a soutenu hier à Dakar, le Pr Diouf, au cours du 10e Congrès des gynécologues-obstétriciens, axé sous le thème l’infidélité et la procréation médicalement assistée.
Enquête
La deuxième contrainte, selon le professeur Alassane Diouf, est le mode de vie, aussi bien chez les femmes que chez les hommes, avec l’obésité, le diabète, l’hypertension, l’exposition à la pollution du tabagisme qui entraîne la baisse de la fécondité. « En plus, il y a des baisses naturelles de la fécondité en rapport avec des pathologies qui révèlent d’une prise en charge particulière qui peut aller jusqu’à la procréation médicalement assistée. Cela interpelle les pouvoirs publics à mettre des moyens afin que ces personnes puissent avoir accès aux traitements qui sont parfois coûteux », a soutenu hier à Dakar, le Pr Diouf, au cours du 10e Congrès des gynécologues-obstétriciens, axé sous le thème l’infidélité et la procréation médicalement assistée.
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