La Banque mondiale n’est pas insensible à la situation que vivent les populations et localités bordant le fleuve Sénégal suite à la crue suivie d’inondations dévastatrices.
En réponse aux besoins urgents identifiés, en collaboration avec les parties prenantes locales à travers le Projet de développement et de résilience de la vallée du fleuve Sénégal qu’elle finance, la Banque mondiale a mobilisé des équipements et des matériaux essentiels d'une valeur totale de 1,149 milliard de FCfa.
L’annonce a été faite, hier, dans un communiqué daté du 1er novembre. Les ressources qu’elle a dégagées comprennent notamment des pompes motorisées pour évacuer l'eau et renforcer les zones touchées et des intrants agricoles pour soutenir les agriculteurs affectés par les inondations...«Le projet est également disposé à fournir une assistance pour réhabiliter les infrastructures publiques endommagées, telles que les écoles et les établissements de santé», précise-t-elle dans la note.
Cette initiative s'inscrit dans un effort plus large, lequel vise à fournir une assistance immédiate et à long terme aux communautés locales. «Une réponse efficiente aux catastrophes peut non seulement atténuer les impacts immédiats, mais aussi revitaliser des communautés entières», a déclaré Chakib Jenane, directeur à la Banque mondiale pour le Développement durable en Afrique de l’Ouest et du Centre, cité dans le document. Il ajoute que la «la Banque mondiale s'engage à soutenir les efforts en cours du gouvernement du Sénégal pour assister les populations sinistrées».
Quant à Keiko Miwa, directrice des Opérations de la Banque mondiale pour le Cabo Verde, la Gambie, la Guinée-Bissau, la Mauritanie et le Sénégal, elle estime «qu’investir dans la résilience des communautés de la vallée du fleuve Sénégal, c'est investir dans un avenir durable et prospère pour toute la région».
Financé par la Banque mondiale à hauteur de 195 millions de dollars et ciblant 2,9 millions de riverains en Mauritanie et au Sénégal, le Projet de développement et de résilience de la vallée du fleuve Sénégal vise à renforcer l'accès à des infrastructures et services inclusifs et résilients.
LeSoleil_Digital
En réponse aux besoins urgents identifiés, en collaboration avec les parties prenantes locales à travers le Projet de développement et de résilience de la vallée du fleuve Sénégal qu’elle finance, la Banque mondiale a mobilisé des équipements et des matériaux essentiels d'une valeur totale de 1,149 milliard de FCfa.
L’annonce a été faite, hier, dans un communiqué daté du 1er novembre. Les ressources qu’elle a dégagées comprennent notamment des pompes motorisées pour évacuer l'eau et renforcer les zones touchées et des intrants agricoles pour soutenir les agriculteurs affectés par les inondations...«Le projet est également disposé à fournir une assistance pour réhabiliter les infrastructures publiques endommagées, telles que les écoles et les établissements de santé», précise-t-elle dans la note.
Cette initiative s'inscrit dans un effort plus large, lequel vise à fournir une assistance immédiate et à long terme aux communautés locales. «Une réponse efficiente aux catastrophes peut non seulement atténuer les impacts immédiats, mais aussi revitaliser des communautés entières», a déclaré Chakib Jenane, directeur à la Banque mondiale pour le Développement durable en Afrique de l’Ouest et du Centre, cité dans le document. Il ajoute que la «la Banque mondiale s'engage à soutenir les efforts en cours du gouvernement du Sénégal pour assister les populations sinistrées».
Quant à Keiko Miwa, directrice des Opérations de la Banque mondiale pour le Cabo Verde, la Gambie, la Guinée-Bissau, la Mauritanie et le Sénégal, elle estime «qu’investir dans la résilience des communautés de la vallée du fleuve Sénégal, c'est investir dans un avenir durable et prospère pour toute la région».
Financé par la Banque mondiale à hauteur de 195 millions de dollars et ciblant 2,9 millions de riverains en Mauritanie et au Sénégal, le Projet de développement et de résilience de la vallée du fleuve Sénégal vise à renforcer l'accès à des infrastructures et services inclusifs et résilients.
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