Madame Aminata Mbengue Ndiaye, ministre de l’Elevage et des Productions animales, a procédé hier mardi, à Dakar, à l’installation officielle du bureau de l’Interprofession de la filière avicole du Sénégal (IPAS). Une manifestation sobre et riche d’un secteur pourvoyeur d’emplois qui en dépit des difficultés, tente d’assurer au mieux le marché de la consommation locale.
Pour Babacar Ngom, tout nouveau président de l’IPAS, à dire: «Nous avons travaillé à mettre en place l’interprofession de la filière avicole aux fins d’unir les synergies et d’assurer l’approvisionnement régulier en qualité et en quantité de tous les produits avicoles sur le marché local et à l’export».
Au sujet de la redynamisation de la filière, M. Ngom dit tendre la main au gouvernement et ceci «dans le cadre d’une concertation et d’un partenariat public/privé où chacun se doit de jouer son rôle pour faire avancer les choses». «Nous allons travailler à la mise à niveau de la filière, la formation des acteurs, et également mettre en place d’un zoo pole au niveau du Sénégal qui sera un centre d’excellence pour la formation et d’spécialisation en aviculture». Toutefois, il s’empresse d’admettre «Le chemin est long et complexe parce que lié aux contraintes foncier, d’un manque de formation, d’un financement, et des matières premières. » Et s’empresse d’ajouter « mais nous sommes engagé à renverser la tendance puisque nous en avons la volonté et l’engagement».
Cependant, le tout nouveau président a marqué son désaccord par rapport à la volonté politique du chef de l’Etat d’investir 80 milliards dans la région de Fatick. Pour lui «il faut donner la chance aux acteurs locaux de mettre en œuvre leur savoir faire et contribuer à la création d’emplois». En installant le tout nouveau président de l’IPAS, madame le ministre s’est d’abord réjoui du cadre de concertation qui a permis aux acteurs d’aboutir à ce jour.
Toujours selon la ministre, «votre choix porté en la personne de Babacar Ngom comme président du bureau de l’interprofession me rassure car il est l’un des meilleurs du secteur et sur ce, le gouvernement ne ménagera aucun effort pour apporter soutien et encadrement technique et financier nécessaire en vue d’accroître la productivité et ainsi participer à l’employabilité».
Sud Quotidien
Pour Babacar Ngom, tout nouveau président de l’IPAS, à dire: «Nous avons travaillé à mettre en place l’interprofession de la filière avicole aux fins d’unir les synergies et d’assurer l’approvisionnement régulier en qualité et en quantité de tous les produits avicoles sur le marché local et à l’export».
Au sujet de la redynamisation de la filière, M. Ngom dit tendre la main au gouvernement et ceci «dans le cadre d’une concertation et d’un partenariat public/privé où chacun se doit de jouer son rôle pour faire avancer les choses». «Nous allons travailler à la mise à niveau de la filière, la formation des acteurs, et également mettre en place d’un zoo pole au niveau du Sénégal qui sera un centre d’excellence pour la formation et d’spécialisation en aviculture». Toutefois, il s’empresse d’admettre «Le chemin est long et complexe parce que lié aux contraintes foncier, d’un manque de formation, d’un financement, et des matières premières. » Et s’empresse d’ajouter « mais nous sommes engagé à renverser la tendance puisque nous en avons la volonté et l’engagement».
Cependant, le tout nouveau président a marqué son désaccord par rapport à la volonté politique du chef de l’Etat d’investir 80 milliards dans la région de Fatick. Pour lui «il faut donner la chance aux acteurs locaux de mettre en œuvre leur savoir faire et contribuer à la création d’emplois». En installant le tout nouveau président de l’IPAS, madame le ministre s’est d’abord réjoui du cadre de concertation qui a permis aux acteurs d’aboutir à ce jour.
Toujours selon la ministre, «votre choix porté en la personne de Babacar Ngom comme président du bureau de l’interprofession me rassure car il est l’un des meilleurs du secteur et sur ce, le gouvernement ne ménagera aucun effort pour apporter soutien et encadrement technique et financier nécessaire en vue d’accroître la productivité et ainsi participer à l’employabilité».
Sud Quotidien