Souleymane Ndéné Ndiaye, toujours égal à lui-même a traité la société civile – qui a initié le slogan Touche pas à ma Constitution - de tous les noms. Pour le premier ministre, les membres de la société civile sont des encagoulés qui n’ont pas le courage d’investir le champ politique. Ce qui fait dire à « Sa Nguinguineo » « ce sont des politiciens voilés, des hypocrites qui ont peur de s’affirmer ». Très remonté contre Alioune Tine et compagnie, Ndéné dira que « la société civile est composée d’activistes qui font des effets de manche, mais les effets de manque ne nous font pas peur ».
Comme pour remonter les bretelles à Souleymane Ndéné Ndiaye, le président de la Rencontre Africaine des droits de l’homme (Raddho) rétorque : « Souleymane Ndéné Ndiaye est inconsistant, léger, un miraculé. Donc, je ne suis pas surpris, mais je ne suis pas son égal ».
L’Observateur révèle dans son édition du mercredi 22 juin que l’Etat est entré en bataille contre les organisations non gouvernementales qui sont montés au créneau pour dénoncer le projet de loi devant doter le Sénégal d’un ticket présidentiel. A cet effet, il sera mis fin aux exonérations fiscales accordées aux Ong.
Comme pour remonter les bretelles à Souleymane Ndéné Ndiaye, le président de la Rencontre Africaine des droits de l’homme (Raddho) rétorque : « Souleymane Ndéné Ndiaye est inconsistant, léger, un miraculé. Donc, je ne suis pas surpris, mais je ne suis pas son égal ».
L’Observateur révèle dans son édition du mercredi 22 juin que l’Etat est entré en bataille contre les organisations non gouvernementales qui sont montés au créneau pour dénoncer le projet de loi devant doter le Sénégal d’un ticket présidentiel. A cet effet, il sera mis fin aux exonérations fiscales accordées aux Ong.