Qu'est ce qui vous a poussé donc vers le basket?
A l'âge de 18 ans je me suis rendu compte que je pouvais être un bon joueur c'est ainsi que j'ai commencé. C'est par la suite que j'ai eu la possibilité d'aller en Allemagne grâce à Amadou Fall, un sénégalais qui travaille pour le compte des Dallas Mavericks. J'ai débarqué en Allemagne à l'âge de 19 ans. Auparavant je n'étais jamais sorti du continent Africain. J’ai eu beaucoup de mal à m'adapter avec le froid et la langue.
Vous êtes donc polyglotte vous parlez combien de langues?
Ma langue maternelle est le sérère. Je parle également le wolof, la langue nationale au Sénégal le français, l'anglais. Le Russe je n'ai pas pu l'apprendre, je parviens seulement à lire quelques phrases.
Qu'est ce que vous aimez en Espagne?
Le paysage m'enchante et le climat aussi. Málaga et Barcelone sont des villes impressionnantes.
Le train de vie des sportifs est souvent "glamour", est-ce un privilège?
C'est vrai que nous sommes mieux lotis financièrement que les autres.
Mais le plus important se passe dans la tête. Depuis que je suis sorti pour la première fois pour aller en Allemagne, jusqu'ici rien n'a changé en moi. Je suis resté la même personne. Je garde encore les mêmes amis et je fréquente les mêmes restaurants qu'auparavant.
Et la religion dans tout cela?
Avant les matchs, je me sanctifie. Avec ou sans argent, je suis le même. Pour rien au monde, je n’abandonnerai ma religion.
Vous allez toujours à la messe les dimanches?
Non, je ne pars pas souvent à la messe pour des contraintes de temps. Tous les dimanches pratiquement nous avons des matchs.
Vous suivez le football?
Beaucoup. A plusieurs reprises je me suis rendu au Camp Nou suivre le Fc Barcelone. J’aime bien Eto'o, mais celui que je préfère par dessus tout, c'est Drogba. Cela me ferait très plaisir de le rencontrer.
D’aucuns disent que après 30 ans, la carrière d’un sportif est en chute libre....
Non pas dans tous les cas. Quand j’évoluais en France, j’avais un coéquipier qui était impressionnant par son savoir-faire. Pourtant il avait 31 ans. Actuellement, j’ai 32 ans et je me sens meilleur que je ne l’ai jamais été auparavant. Je suis à mon meilleur niveau.
Leral.net
A l'âge de 18 ans je me suis rendu compte que je pouvais être un bon joueur c'est ainsi que j'ai commencé. C'est par la suite que j'ai eu la possibilité d'aller en Allemagne grâce à Amadou Fall, un sénégalais qui travaille pour le compte des Dallas Mavericks. J'ai débarqué en Allemagne à l'âge de 19 ans. Auparavant je n'étais jamais sorti du continent Africain. J’ai eu beaucoup de mal à m'adapter avec le froid et la langue.
Vous êtes donc polyglotte vous parlez combien de langues?
Ma langue maternelle est le sérère. Je parle également le wolof, la langue nationale au Sénégal le français, l'anglais. Le Russe je n'ai pas pu l'apprendre, je parviens seulement à lire quelques phrases.
Qu'est ce que vous aimez en Espagne?
Le paysage m'enchante et le climat aussi. Málaga et Barcelone sont des villes impressionnantes.
Le train de vie des sportifs est souvent "glamour", est-ce un privilège?
C'est vrai que nous sommes mieux lotis financièrement que les autres.
Mais le plus important se passe dans la tête. Depuis que je suis sorti pour la première fois pour aller en Allemagne, jusqu'ici rien n'a changé en moi. Je suis resté la même personne. Je garde encore les mêmes amis et je fréquente les mêmes restaurants qu'auparavant.
Et la religion dans tout cela?
Avant les matchs, je me sanctifie. Avec ou sans argent, je suis le même. Pour rien au monde, je n’abandonnerai ma religion.
Vous allez toujours à la messe les dimanches?
Non, je ne pars pas souvent à la messe pour des contraintes de temps. Tous les dimanches pratiquement nous avons des matchs.
Vous suivez le football?
Beaucoup. A plusieurs reprises je me suis rendu au Camp Nou suivre le Fc Barcelone. J’aime bien Eto'o, mais celui que je préfère par dessus tout, c'est Drogba. Cela me ferait très plaisir de le rencontrer.
D’aucuns disent que après 30 ans, la carrière d’un sportif est en chute libre....
Non pas dans tous les cas. Quand j’évoluais en France, j’avais un coéquipier qui était impressionnant par son savoir-faire. Pourtant il avait 31 ans. Actuellement, j’ai 32 ans et je me sens meilleur que je ne l’ai jamais été auparavant. Je suis à mon meilleur niveau.
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