Voulez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
Voilà, je me nomme Valdiodio Diouf, chargé de mission à la présidence de la République sous Wade et coordonnateur national des mouvements de soutien des Fal 2012.
Monsieur Diouf, on voudrait vous interpelez à propos des mouvements de soutien sur lesquels un soupçon d’opacité a semblé peser quant à la distribution des fonds de campagne. Que répondez-vous à ces allégations ?
Cela s’est passé dans la plus grande transparence. Mais à ce propos, le fait de parler de fonds attribués aux mouvements de soutien me dérange à plus d’un titre. D’abord, parce que tout simplement un mouvement de soutien ne doit pas s’attendre à recevoir de fonds venant du candidat qu’il appuie. Ensuite, l’esprit d’un mouvement de soutien se limite au soutien et ne doit être subordonné à aucune exigence d’ordre financier. Je reconnais toutefois que le Président Wade nous a soutenu et j’admets que ce n’est pas du tout normal parce que c’est nous qui devions le soutenir politiquement et financièrement. Je pense que c’est le contraire qui s’est passé. Mais de toute façon, il n’y a rien à cacher, on nous a donné de l’argent qu’on a distribué dans les règles de l’art et, in fine, on a rendu compte à qui de droit.
Pensez-vous que les mouvements de soutien ont été honnêtes avec Wade ?
Il est vrai que certains mouvements de soutien ne l’ont pas été. On a noté des défections dans nos rangs entre les deux tours, en l’occurrence, monsieur Ousmane Ndoye qui fut vice-coordonnateur. Et à ce propos, je ne suis pas d’accord lorsqu’il dit qu’il est parti avec 400 mouvements de soutien. C’est tout simplement faux. Ousmane Ndoye ne représente rien pour la simple raison que lui-même n’a pas de mouvement de soutien. Il ne pourrait donc pas, de ce point de vue, convaincre 400 mouvements de soutien d’aller soutenir Macky Sall. Je pense qu’il aurait dû organiser un grand meeting de ralliement pour montrer aux tiers que voilà, ces 400 mouvements de soutien ont rallié Macky Sall. Mais cela n’a pas été le cas. Ce ne sont que de simples déclarations sans fondement.
Quelle est selon vous la part de responsabilité des mouvements de soutien dans la défaite de Wade ?
Les responsabilités sont partagées et de toute façon, j’estime qu’on a joué notre rôle de mouvements de soutien.
Mais qu’est-ce qui n’a pas réellement marché ?
Avant de voter pour Wade, on a essayé d’expliquer aux militants et aux souteneurs le processus électoral. Parce que ce qu’on avait noté lors du premier tour, c’est qu’il y a eu beaucoup de rétentions, des bulletins nuls et beaucoup d’autres choses. On a du corriger beaucoup d’anomalie.
Quelles sont ces anomalies ?
Voilà, par exemple, beaucoup de gens ne savaient pas comment voter.
Wade, vous-a-t-il fait des reproches après sa défaite ?
Non, il nous a félicités et encouragés au contraire. Il est vraiment très content.
Content de quoi puisqu’il a perdu les élections ?
Mais de notre mission, parce qu’on a pleinement joué notre partition.
Mais en politique tout se mesure aux résultats obtenus. Pensez-vous réellement que Wade a une quelconque raison de vous féliciter ?
Oui, mais c’est juste qu’une partie des Sénégalais avaient besoin de changement. On a fait ce qu’on devait faire et on s’en tient là. Le président nous a remerciés et félicités malgré tout. Et nous sommes toujours derrière lui.
Pouvez-vous nous dire quelle somme d’argent Wade vous a-t-il donné globalement ?
On a reçu de l’argent mais je préfère taire cette somme. Je ne vais pas révéler de montant. Je suis très frileux en matière d’argent. Je suis financier et je travaille depuis 17 ans dans une institution financière de renommée internationale dont je préfère taire le nom. Mais je vous assure vraiment que nous ne sommes pas mus par l’argent.
Que pensez-vous qu’il en sera de l’avenir du Pds ?
Bon, nous sommes là et attendons les directives du frère secrétaire général national du Pds. Et nous allons l’accompagner quoi qu’il soit. Mais ce que nous souhaiterions, nous mouvements de soutien, c’est vraiment d’avoir une équipe jeune.
Quelle est la recommandation que vous formulez à propos de la confection des listes qui seront déposer en vue des législatives ?
Simplement de penser aux mouvements de soutien qui représente tout de même un grand potentiel électoral. Nous étions 1035 mouvements de soutien soit 168 833 électeurs. Donc, c’est quelque chose qu’il faut prendre en charge et qu’il ne faut pas laisser en rade.
Avez-vous des exigences précises ?
Vous savez, nous ne sommes pas des décideurs et on n’a pas non plus d’exigences pratiques par rapport à une décision quelconque du Pds. On attend, et si ça nous arrange, on soutient. Nous sommes des affidés, en quelque sorte.
Soutenez-vous la décision de Wade de rester à la tête du parti ?
Bien-sûr. Les wolofs disent que « mak matna bayi ci rew». Ce n’est pas qu’il va continuer à diriger mais il va seulement continuer à nous donner des conseils, à nous guider et nous sommes preneurs.
A qui pensez-vous pour diriger la liste du Pds aux législatives ?
Au meilleur
Qui serait le meilleur selon vous ?
Mais tout le monde l’est. Même moi. Dans une république, lorsque quelqu’un comme Youssou Ndour devient ministre, n’importe qui peut à juste titre devenir un leader.
Il semble que Karim Wade ne fait pas parti des investis et beaucoup de militants pensent que Pape Diop devrait diriger la liste du Pds. Quel est votre avis ?
En ce qui me concerne, si les gens me consultaient avant de faire quoi que ce soit, j’aurais souhaité que le nom de Karim figure sur la liste. C’est un Sénégalais et il a droit à cela. De toute façon, on ne peut plus parler à ce jour de dévolution monarchique du pouvoir. Il peut être candidat et peut même porter la liste du Pds. Mais il n’est pas le seul, il y a Pape Diop, Oumar Sarr, Souleymane Ndéné, Valdiodio Diouf, etc.
Wade lui-même a recommandé lors du congrès que seuls les responsables qui ont une base crédible doivent figurer sur la liste. Pensez-vous que Karim ait cette base ?
Karim a une base, il a un capital électoral.
Où se situent cette base si on sait qu’il a toujours été battu au point E ?
Moi je connais Karim depuis 2001. On a créé la génération du concret ensemble. Je suis son frère, son conseiller politique et son ami de surcroît. Je connais très bien le potentiel électoral dont il dispose d’autant plus que beaucoup de gens l’aiment. Il y a des gens qui voteront pour lui. En plus, personne ne peut nier tout ce qu’il a fait pour le Sénégal. On ne peut pas faire table rase de tout cela.
Que regrettez-vous dans cette défaite ?
Je dis toujours qu’on a perdu une bataille mais pas la guerre. On va se préparer pour mieux affronter les élections législatives. Les Sénégalais sont conscients maintenant et sont prêts à voter pour l’opposition, car ils veulent la cohabitation. Il n’est pas question de donner à Macky Sall les pleins pouvoirs.
Vous êtes un proche de Karim et vous avez aussi été à la présidence en qualité de chargé de mission. Que pensez-vous des accusations de pillage et de la menace des audits qui pèse sur le régime de Wade et ses alliés ?
Je pense sincèrement que personne n’est au-dessus de la loi. Mais je veux juste que ces audits ne soient pas orientés, qu’ils ne portent pas seulement sur certaines personnes. S’il est vrai qu’on veut bien faire, il faut remonter jusqu’en 2000. Wade a fait 2 mandats. On ne peut pas cibler les 4 dernières années pour les auditer. Ce que je souhaite, c’est qu’on remonte jusqu’en 2000 pour arriver à 2012. Il faut inclure la gestion de Macky Sall qui a fait l’Energie, l’Intérieur, la Primature et l’Assemblée nationale. Il ne faut non plus oublier ses propres collaborateurs qui ont joué leur partition dans le régime de Wade. En l’occurrence Alioune Badara Cissé, Mamour Saleh, etc. Tous ces gens-là ont eu à gérer. Il faut auditer tout le monde et ne laissez personne. On aurait aussi souhaité que tout un chacun fasse une déclaration de patrimoine pour éviter des confusions entre le patrimoine de l’Etat et les avoirs personnels.
On l’a dit tout à l-heure, vous avez été chargé de mission à la présidence sous l’ère Wade. Que savez-vous du pillage présumé du parc automobile de la présidence ?
Il n’y a pas eu de vol de voiture et je pense que c’est un peu irresponsable de dire qu’il y a 600 véhicules qui étaient là-bas. C’est impossible. Si vous répartissez 600 véhicules entre les 40 ministères, ça va faire 30 véhicules par ministère. Ce sont des véhicules du Parti démocratique sénégalais. Les véhicules de la présidence sont là-bas au parc automobile du palais et sont gérés par le major qui est là-bas. Ils n’ont qu’à aller lui demander. Ils n’ont qu’à se mettre au travail. Les Sénégalais ont voté pour une alternative à l’alternance et voilà, Macky Sall n’a qu’à remplir son rôle de messie. Il n’a qu’à éradiquer complètement la pauvreté, faire face à ces prochaines inondations qui vont venir dans deux ou trois mois maximum. C’est ce qu’on attend de lui. De toute façon, je pense que la tâche lui sera très facile parce que le président Abdoulaye Wade a déjà fait les fondamentaux.
Le mot de la fin
Peut-être pour dire que je remercie tous les mouvements de soutien qui ont voté pour le candidat des Fal 2012 et leur demander de remobiliser les troupes pour les prochaines échéances.
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Voilà, je me nomme Valdiodio Diouf, chargé de mission à la présidence de la République sous Wade et coordonnateur national des mouvements de soutien des Fal 2012.
Monsieur Diouf, on voudrait vous interpelez à propos des mouvements de soutien sur lesquels un soupçon d’opacité a semblé peser quant à la distribution des fonds de campagne. Que répondez-vous à ces allégations ?
Cela s’est passé dans la plus grande transparence. Mais à ce propos, le fait de parler de fonds attribués aux mouvements de soutien me dérange à plus d’un titre. D’abord, parce que tout simplement un mouvement de soutien ne doit pas s’attendre à recevoir de fonds venant du candidat qu’il appuie. Ensuite, l’esprit d’un mouvement de soutien se limite au soutien et ne doit être subordonné à aucune exigence d’ordre financier. Je reconnais toutefois que le Président Wade nous a soutenu et j’admets que ce n’est pas du tout normal parce que c’est nous qui devions le soutenir politiquement et financièrement. Je pense que c’est le contraire qui s’est passé. Mais de toute façon, il n’y a rien à cacher, on nous a donné de l’argent qu’on a distribué dans les règles de l’art et, in fine, on a rendu compte à qui de droit.
Pensez-vous que les mouvements de soutien ont été honnêtes avec Wade ?
Il est vrai que certains mouvements de soutien ne l’ont pas été. On a noté des défections dans nos rangs entre les deux tours, en l’occurrence, monsieur Ousmane Ndoye qui fut vice-coordonnateur. Et à ce propos, je ne suis pas d’accord lorsqu’il dit qu’il est parti avec 400 mouvements de soutien. C’est tout simplement faux. Ousmane Ndoye ne représente rien pour la simple raison que lui-même n’a pas de mouvement de soutien. Il ne pourrait donc pas, de ce point de vue, convaincre 400 mouvements de soutien d’aller soutenir Macky Sall. Je pense qu’il aurait dû organiser un grand meeting de ralliement pour montrer aux tiers que voilà, ces 400 mouvements de soutien ont rallié Macky Sall. Mais cela n’a pas été le cas. Ce ne sont que de simples déclarations sans fondement.
Quelle est selon vous la part de responsabilité des mouvements de soutien dans la défaite de Wade ?
Les responsabilités sont partagées et de toute façon, j’estime qu’on a joué notre rôle de mouvements de soutien.
Mais qu’est-ce qui n’a pas réellement marché ?
Avant de voter pour Wade, on a essayé d’expliquer aux militants et aux souteneurs le processus électoral. Parce que ce qu’on avait noté lors du premier tour, c’est qu’il y a eu beaucoup de rétentions, des bulletins nuls et beaucoup d’autres choses. On a du corriger beaucoup d’anomalie.
Quelles sont ces anomalies ?
Voilà, par exemple, beaucoup de gens ne savaient pas comment voter.
Wade, vous-a-t-il fait des reproches après sa défaite ?
Non, il nous a félicités et encouragés au contraire. Il est vraiment très content.
Content de quoi puisqu’il a perdu les élections ?
Mais de notre mission, parce qu’on a pleinement joué notre partition.
Mais en politique tout se mesure aux résultats obtenus. Pensez-vous réellement que Wade a une quelconque raison de vous féliciter ?
Oui, mais c’est juste qu’une partie des Sénégalais avaient besoin de changement. On a fait ce qu’on devait faire et on s’en tient là. Le président nous a remerciés et félicités malgré tout. Et nous sommes toujours derrière lui.
Pouvez-vous nous dire quelle somme d’argent Wade vous a-t-il donné globalement ?
On a reçu de l’argent mais je préfère taire cette somme. Je ne vais pas révéler de montant. Je suis très frileux en matière d’argent. Je suis financier et je travaille depuis 17 ans dans une institution financière de renommée internationale dont je préfère taire le nom. Mais je vous assure vraiment que nous ne sommes pas mus par l’argent.
Que pensez-vous qu’il en sera de l’avenir du Pds ?
Bon, nous sommes là et attendons les directives du frère secrétaire général national du Pds. Et nous allons l’accompagner quoi qu’il soit. Mais ce que nous souhaiterions, nous mouvements de soutien, c’est vraiment d’avoir une équipe jeune.
Quelle est la recommandation que vous formulez à propos de la confection des listes qui seront déposer en vue des législatives ?
Simplement de penser aux mouvements de soutien qui représente tout de même un grand potentiel électoral. Nous étions 1035 mouvements de soutien soit 168 833 électeurs. Donc, c’est quelque chose qu’il faut prendre en charge et qu’il ne faut pas laisser en rade.
Avez-vous des exigences précises ?
Vous savez, nous ne sommes pas des décideurs et on n’a pas non plus d’exigences pratiques par rapport à une décision quelconque du Pds. On attend, et si ça nous arrange, on soutient. Nous sommes des affidés, en quelque sorte.
Soutenez-vous la décision de Wade de rester à la tête du parti ?
Bien-sûr. Les wolofs disent que « mak matna bayi ci rew». Ce n’est pas qu’il va continuer à diriger mais il va seulement continuer à nous donner des conseils, à nous guider et nous sommes preneurs.
A qui pensez-vous pour diriger la liste du Pds aux législatives ?
Au meilleur
Qui serait le meilleur selon vous ?
Mais tout le monde l’est. Même moi. Dans une république, lorsque quelqu’un comme Youssou Ndour devient ministre, n’importe qui peut à juste titre devenir un leader.
Il semble que Karim Wade ne fait pas parti des investis et beaucoup de militants pensent que Pape Diop devrait diriger la liste du Pds. Quel est votre avis ?
En ce qui me concerne, si les gens me consultaient avant de faire quoi que ce soit, j’aurais souhaité que le nom de Karim figure sur la liste. C’est un Sénégalais et il a droit à cela. De toute façon, on ne peut plus parler à ce jour de dévolution monarchique du pouvoir. Il peut être candidat et peut même porter la liste du Pds. Mais il n’est pas le seul, il y a Pape Diop, Oumar Sarr, Souleymane Ndéné, Valdiodio Diouf, etc.
Wade lui-même a recommandé lors du congrès que seuls les responsables qui ont une base crédible doivent figurer sur la liste. Pensez-vous que Karim ait cette base ?
Karim a une base, il a un capital électoral.
Où se situent cette base si on sait qu’il a toujours été battu au point E ?
Moi je connais Karim depuis 2001. On a créé la génération du concret ensemble. Je suis son frère, son conseiller politique et son ami de surcroît. Je connais très bien le potentiel électoral dont il dispose d’autant plus que beaucoup de gens l’aiment. Il y a des gens qui voteront pour lui. En plus, personne ne peut nier tout ce qu’il a fait pour le Sénégal. On ne peut pas faire table rase de tout cela.
Que regrettez-vous dans cette défaite ?
Je dis toujours qu’on a perdu une bataille mais pas la guerre. On va se préparer pour mieux affronter les élections législatives. Les Sénégalais sont conscients maintenant et sont prêts à voter pour l’opposition, car ils veulent la cohabitation. Il n’est pas question de donner à Macky Sall les pleins pouvoirs.
Vous êtes un proche de Karim et vous avez aussi été à la présidence en qualité de chargé de mission. Que pensez-vous des accusations de pillage et de la menace des audits qui pèse sur le régime de Wade et ses alliés ?
Je pense sincèrement que personne n’est au-dessus de la loi. Mais je veux juste que ces audits ne soient pas orientés, qu’ils ne portent pas seulement sur certaines personnes. S’il est vrai qu’on veut bien faire, il faut remonter jusqu’en 2000. Wade a fait 2 mandats. On ne peut pas cibler les 4 dernières années pour les auditer. Ce que je souhaite, c’est qu’on remonte jusqu’en 2000 pour arriver à 2012. Il faut inclure la gestion de Macky Sall qui a fait l’Energie, l’Intérieur, la Primature et l’Assemblée nationale. Il ne faut non plus oublier ses propres collaborateurs qui ont joué leur partition dans le régime de Wade. En l’occurrence Alioune Badara Cissé, Mamour Saleh, etc. Tous ces gens-là ont eu à gérer. Il faut auditer tout le monde et ne laissez personne. On aurait aussi souhaité que tout un chacun fasse une déclaration de patrimoine pour éviter des confusions entre le patrimoine de l’Etat et les avoirs personnels.
On l’a dit tout à l-heure, vous avez été chargé de mission à la présidence sous l’ère Wade. Que savez-vous du pillage présumé du parc automobile de la présidence ?
Il n’y a pas eu de vol de voiture et je pense que c’est un peu irresponsable de dire qu’il y a 600 véhicules qui étaient là-bas. C’est impossible. Si vous répartissez 600 véhicules entre les 40 ministères, ça va faire 30 véhicules par ministère. Ce sont des véhicules du Parti démocratique sénégalais. Les véhicules de la présidence sont là-bas au parc automobile du palais et sont gérés par le major qui est là-bas. Ils n’ont qu’à aller lui demander. Ils n’ont qu’à se mettre au travail. Les Sénégalais ont voté pour une alternative à l’alternance et voilà, Macky Sall n’a qu’à remplir son rôle de messie. Il n’a qu’à éradiquer complètement la pauvreté, faire face à ces prochaines inondations qui vont venir dans deux ou trois mois maximum. C’est ce qu’on attend de lui. De toute façon, je pense que la tâche lui sera très facile parce que le président Abdoulaye Wade a déjà fait les fondamentaux.
Le mot de la fin
Peut-être pour dire que je remercie tous les mouvements de soutien qui ont voté pour le candidat des Fal 2012 et leur demander de remobiliser les troupes pour les prochaines échéances.
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