L’ETAT ACTUEL DU SENEGAL
Le Sénégal actuel est moribond, désagrégé et flasque. La crise est concave et sans issue et ne cesse de prendre une proportion discongrue, multiforme et multidimensionnelle. Tous les secteurs et segments de la vie ont mis la clef sur le paillasson. Les deniers publics sont pillés, des institutions budgétivores et inutiles ont été créés pour caser des militants du PDS, sans oublier les emploies fictifs, la justice est en panne, la corruption est légalisée. Sans oublier la pauvreté, la précarité et la paupérisation des populations qui sont dans une situation sociale très dégradante pour l’être humain que nous sommes. La jeunesse est désemparée, et n’hésite plus à emprunter des pirogues de fortune pour atteindre les côtes européennes. Grosso modo la situation est catastrophiquement délabrée ou bien même j’emprunterai les mots de ce grand Homme politique et diplomate sénégalais qui me disait Monsieur DIOP ce qui se passe actuellement au Sénégal c’est que TAILLERAND De PERRIGORG appelait en langage diplomatique Chaos Général.
LES ALTERNATIVES : PLAN DE RELANCE
1/ Le Retour de la démocratie et de l’Etat de droit
Remise à niveau des institutions de la république qui sont dévoyées. En commençant par la fonction de Chef de l’Etat en le déchargeant de certaines prérogatives et dans certaines procédures. Par exemple le Conseil Supérieur de la Magistrature mais aussi la nomination de recteurs d’université etc…
Stabilisation de notre constitution qui a été papotée plus de 15 fois. D’ailleurs les éminents constitutionalistes avec lesquels j’ai largement échangé, me disent autant de retouches signifient simplement qu’elle n’est pas bonne ou plutôt n’est pas adaptée à notre réalité, même si elle a été adopté par referendum en 2001.
L’organisation d’élections claires, régulières et transparentes. Avec un fichier corrigé et exact. Grosso modo apporter une réponse fiable aux aspects techniques.
Une justice fonctionnelle basée sur le droit mais pas sur l’arbitraire et la corruption.
Renforcer l’unité nationale, la défense nationale, la sécurité publique, la sureté de l’Etat, la cohésion sociale l’intégrité territoriale et enfin la stabilité politique.
2/ remettre de l’ordre dans nos comptes publiques.
Arrêter les pillages, vols et détournements par un control et ferme de l’utilisation de nos finances publiques.
Réduire la masses salariale de notre fonction publique, d’abord pas l’annulation pure et simple du sénat, du Conseil Economique et Sociale, de la Mediature, des conseils régionaux, des conseillers, des fonds secrets, et des emplois fictifs dans les sociétés publiques et parapubliques, la réduction du nombre de député de 150 à 100.
Limiter le train de vie dispendieux du chef de l’Etat et de sa famille
Rationnaliser la carte du Sénégal, c'est-à-dire la carte diplomatique par la fermeture de certaines ambassades et consulats, ensuite la carte administrative par une réorganisation géographique du pays, ensuite la carte judiciaire par une réorganisation du champ judicaire, la carte scolaire par l’implantation dialectique de l’école etc…
Le rééquilibrage de notre budget
CANDIDATURE UNIQUE ? CANDIDATURE PLURIELLE, POSITION DU PARTI
La configuration actuelle du Sénégal est extrêmement complexe. En politique, il faut être prudent et avoir une lecture sereine des donnes. Il ya une réalité, que heureusement tout le monde a su décrypter, actuellement aucun parti ne peut a lui tout seul gagner les élections qui viendront quelles soient anticipées ou à date échue. Pour notre part, nous allons choisir la bonne formule, qui est de former une grande coalition autour d’un homme, le conduire au second tour et mener des tractations comme ce qui s’est passé en 2000. Je le répète encore seule une coalition fore et unie pourrait battre Monsieur Abdoulaye WADE. Pour en revenir à la candidature, la ligue des masses et moi avons sa préférence parceque il faut regrouper les voix pour maximiser nos chances, et, d’ailleurs le 22 mars a prouvé clairement que Benno en tant que cadre unitaire est la seule issue pouvant déboulonner le régime de Monsieur Abdoulaye WADE. Maintenant au cas où il ne peut pas y avoir un consensus, nous nous proposons des primaires au sein de Benno, des primaires que les leaders politiques ne trancheront pas mais les militants de Benno évidemment. Ce qui serait plus équitable et juste, les militants choisiront leur candidat. Je rappelle aussi que le contexte actuel est différent de celui de 2000 où il fallait des candidatures plurielles pour battre Abdou DIOUF, tels ont été l’apport de Moustapha NIASSE et de Djibo KA, réduisant les chances d’un Parti Socialiste disloqué. Mais en 2012 la candidature unique est plus efficiente parce que c’est la seule issue certaine. C’est pour cela je pense aussi qu’il serait plus stratégique pour nous d’encourager Macky SALL à se présenter pour achever l’implosion du PDS et puiser sur les voix de Monsieur Abdoulaye WADE. Ces voix se reporteront au candidat unique de Benno qui gagnera Monsieur Abdoulaye WADE au second tour. C’est çà la politique, c’est une réflexion fine, c’est un fait majoritaire…
LES ASSISES NATIONALES
La ligue des Masses était partie prenante et a participé massivement et activement aux assises nationales. Moi-même j’ai fait le tour de la France et de l’Europe avec le Président Amadou Mahtar MBOW que je rends hommage au passage. Sinon j’ai animé deux ateliers et faisais partie de deux commissions thématiques. Pour en revenir aux assises nationales qui sont un haut lieu d’échange et de réflexion à la grave crise multiforme et multidimensionnelle que traverse le pays. Elles ont été largement inclusives parce qu’associant pour la première fois toutes les organisations sociales et politiques du pays, tous les segments et secteurs de la nation, tous les citoyens épris de paix, d'esprit de fraternité et de concorde nationale ainsi que tous les amis sincères de notre pays. Ces assises contrairement aux concertations nationales qui se passaient en Afrique dans les années 90 où la plus part de ses pays n’avaient plus d’Etat et d’institutions, sont réussies et bonnes parce qu’elles ont été un cadre idéal de réflexion, de concertation, de pourparler mais également de propositions pertinentes. Les experts chacun dans son champ de compétence est venu livrer un diagnostic sans complaisance de tous les aspects de la vie nationale et ont aussi formulé diverses recommandations rigoureuses contenues dans les rapports globaux et sectoriels. Sur cette base, des mesures réalistes ont été offertes pour relancer l’économie nationale, améliorer l’emploi, consolider le dialogue politique et social, développer les infrastructures de base afin de réduire la pauvreté en induisant un développement humain durable. A titre personnel je regrette amèrement l’attitude irresponsable de Monsieur Abdoulaye WADE, qui au lieu d’incarner le premier citoyen du Sénégal parce que symbolisant le Père de la nation, et de venir participer à ces assises nationales a préféré jouer au Ping pong politique en variant constamment sur ses propos. Elles sont bonnes, donnez moi les conclusions, vous ne m’avez pas invité etc. Il n’a pas été d’ailleurs le seul, des leaders politiques qui avaient condamnés ses assises se sont rétractés ou ont fait participer massivement les militants de leur parti politique à titre individuel. Même des ministres, des acteurs de la mouvance présidentielle ont fait participer leurs enfants, leurs femmes etc.
Le Sénégal actuel est moribond, désagrégé et flasque. La crise est concave et sans issue et ne cesse de prendre une proportion discongrue, multiforme et multidimensionnelle. Tous les secteurs et segments de la vie ont mis la clef sur le paillasson. Les deniers publics sont pillés, des institutions budgétivores et inutiles ont été créés pour caser des militants du PDS, sans oublier les emploies fictifs, la justice est en panne, la corruption est légalisée. Sans oublier la pauvreté, la précarité et la paupérisation des populations qui sont dans une situation sociale très dégradante pour l’être humain que nous sommes. La jeunesse est désemparée, et n’hésite plus à emprunter des pirogues de fortune pour atteindre les côtes européennes. Grosso modo la situation est catastrophiquement délabrée ou bien même j’emprunterai les mots de ce grand Homme politique et diplomate sénégalais qui me disait Monsieur DIOP ce qui se passe actuellement au Sénégal c’est que TAILLERAND De PERRIGORG appelait en langage diplomatique Chaos Général.
LES ALTERNATIVES : PLAN DE RELANCE
1/ Le Retour de la démocratie et de l’Etat de droit
Remise à niveau des institutions de la république qui sont dévoyées. En commençant par la fonction de Chef de l’Etat en le déchargeant de certaines prérogatives et dans certaines procédures. Par exemple le Conseil Supérieur de la Magistrature mais aussi la nomination de recteurs d’université etc…
Stabilisation de notre constitution qui a été papotée plus de 15 fois. D’ailleurs les éminents constitutionalistes avec lesquels j’ai largement échangé, me disent autant de retouches signifient simplement qu’elle n’est pas bonne ou plutôt n’est pas adaptée à notre réalité, même si elle a été adopté par referendum en 2001.
L’organisation d’élections claires, régulières et transparentes. Avec un fichier corrigé et exact. Grosso modo apporter une réponse fiable aux aspects techniques.
Une justice fonctionnelle basée sur le droit mais pas sur l’arbitraire et la corruption.
Renforcer l’unité nationale, la défense nationale, la sécurité publique, la sureté de l’Etat, la cohésion sociale l’intégrité territoriale et enfin la stabilité politique.
2/ remettre de l’ordre dans nos comptes publiques.
Arrêter les pillages, vols et détournements par un control et ferme de l’utilisation de nos finances publiques.
Réduire la masses salariale de notre fonction publique, d’abord pas l’annulation pure et simple du sénat, du Conseil Economique et Sociale, de la Mediature, des conseils régionaux, des conseillers, des fonds secrets, et des emplois fictifs dans les sociétés publiques et parapubliques, la réduction du nombre de député de 150 à 100.
Limiter le train de vie dispendieux du chef de l’Etat et de sa famille
Rationnaliser la carte du Sénégal, c'est-à-dire la carte diplomatique par la fermeture de certaines ambassades et consulats, ensuite la carte administrative par une réorganisation géographique du pays, ensuite la carte judiciaire par une réorganisation du champ judicaire, la carte scolaire par l’implantation dialectique de l’école etc…
Le rééquilibrage de notre budget
CANDIDATURE UNIQUE ? CANDIDATURE PLURIELLE, POSITION DU PARTI
La configuration actuelle du Sénégal est extrêmement complexe. En politique, il faut être prudent et avoir une lecture sereine des donnes. Il ya une réalité, que heureusement tout le monde a su décrypter, actuellement aucun parti ne peut a lui tout seul gagner les élections qui viendront quelles soient anticipées ou à date échue. Pour notre part, nous allons choisir la bonne formule, qui est de former une grande coalition autour d’un homme, le conduire au second tour et mener des tractations comme ce qui s’est passé en 2000. Je le répète encore seule une coalition fore et unie pourrait battre Monsieur Abdoulaye WADE. Pour en revenir à la candidature, la ligue des masses et moi avons sa préférence parceque il faut regrouper les voix pour maximiser nos chances, et, d’ailleurs le 22 mars a prouvé clairement que Benno en tant que cadre unitaire est la seule issue pouvant déboulonner le régime de Monsieur Abdoulaye WADE. Maintenant au cas où il ne peut pas y avoir un consensus, nous nous proposons des primaires au sein de Benno, des primaires que les leaders politiques ne trancheront pas mais les militants de Benno évidemment. Ce qui serait plus équitable et juste, les militants choisiront leur candidat. Je rappelle aussi que le contexte actuel est différent de celui de 2000 où il fallait des candidatures plurielles pour battre Abdou DIOUF, tels ont été l’apport de Moustapha NIASSE et de Djibo KA, réduisant les chances d’un Parti Socialiste disloqué. Mais en 2012 la candidature unique est plus efficiente parce que c’est la seule issue certaine. C’est pour cela je pense aussi qu’il serait plus stratégique pour nous d’encourager Macky SALL à se présenter pour achever l’implosion du PDS et puiser sur les voix de Monsieur Abdoulaye WADE. Ces voix se reporteront au candidat unique de Benno qui gagnera Monsieur Abdoulaye WADE au second tour. C’est çà la politique, c’est une réflexion fine, c’est un fait majoritaire…
LES ASSISES NATIONALES
La ligue des Masses était partie prenante et a participé massivement et activement aux assises nationales. Moi-même j’ai fait le tour de la France et de l’Europe avec le Président Amadou Mahtar MBOW que je rends hommage au passage. Sinon j’ai animé deux ateliers et faisais partie de deux commissions thématiques. Pour en revenir aux assises nationales qui sont un haut lieu d’échange et de réflexion à la grave crise multiforme et multidimensionnelle que traverse le pays. Elles ont été largement inclusives parce qu’associant pour la première fois toutes les organisations sociales et politiques du pays, tous les segments et secteurs de la nation, tous les citoyens épris de paix, d'esprit de fraternité et de concorde nationale ainsi que tous les amis sincères de notre pays. Ces assises contrairement aux concertations nationales qui se passaient en Afrique dans les années 90 où la plus part de ses pays n’avaient plus d’Etat et d’institutions, sont réussies et bonnes parce qu’elles ont été un cadre idéal de réflexion, de concertation, de pourparler mais également de propositions pertinentes. Les experts chacun dans son champ de compétence est venu livrer un diagnostic sans complaisance de tous les aspects de la vie nationale et ont aussi formulé diverses recommandations rigoureuses contenues dans les rapports globaux et sectoriels. Sur cette base, des mesures réalistes ont été offertes pour relancer l’économie nationale, améliorer l’emploi, consolider le dialogue politique et social, développer les infrastructures de base afin de réduire la pauvreté en induisant un développement humain durable. A titre personnel je regrette amèrement l’attitude irresponsable de Monsieur Abdoulaye WADE, qui au lieu d’incarner le premier citoyen du Sénégal parce que symbolisant le Père de la nation, et de venir participer à ces assises nationales a préféré jouer au Ping pong politique en variant constamment sur ses propos. Elles sont bonnes, donnez moi les conclusions, vous ne m’avez pas invité etc. Il n’a pas été d’ailleurs le seul, des leaders politiques qui avaient condamnés ses assises se sont rétractés ou ont fait participer massivement les militants de leur parti politique à titre individuel. Même des ministres, des acteurs de la mouvance présidentielle ont fait participer leurs enfants, leurs femmes etc.
DIALOGUE POLITIQUE
Un dialogue est très important pour un pays parce qu’il permet de garantir l’unité nationale, l’intégrité territoriale, la sécurité publique, la sureté de l’Etat, la défense nationale et surtout la stabilité politique. Au Sénégal, c’est une tradition républicaine qui ne date pas d’aujourd’hui. En conséquence, l’attitude d’un Président responsable aurait été de se départir de sa volonté de transformer absolument la république en monarchie, et, d’engager pour l’intérêt supérieur de na nation un dialogue sincère en y associant tous les acteurs de la vie politique et les forces vives du pays. Malheureusement, l’appel au dialogue national lancé par Monsieur Abdoulaye Wade, n’est rien d’autre qu’une pure vocifération inopportune, contre sensée et ambivalente. Cet appel est inopportun parce que les retardataires ont toujours tords, et, pour notre Sénégal, l’heure n’est plus au dialogue mais à l’action, déjà enclenchée, et, qui est de déboulonner définitivement le régime de Monsieur Abdoulaye WADE. Depuis 2000, l’opinion nationale et internationale n’ont cessé de l’interpeller sur la situation implosive du Sénégal où sont menacées la cohésion sociale, l’intégrité territoriale, la sécurité publique, la sureté de l’Etat et la défense nationale.
DEVOLUTION MONARCHIQUE ?
Le monde entier a noté la volonté manifeste de Monsieur Abdoulaye WADE de passer la main à son fils. Or, au Sénégal, la république est une tradition bien ancrée dans nos valeurs. Le Sénégal n’est ni une entreprise familiale ni une monarchie, mais une république. Malheureusement il ne cesse de s’entêter dans ce dessein monarchique mort né et qui n’aboutira pas. Surtout que Monsieur KARIM WADE a prouvé plus de milles fois qu’il est le plus incapable de sa génération en commettant matin, midi, soir des bourdes, boutades et bourderies. Et pourtant son père lui a donné des moyens colossaux tels que les leviers de l’Etat, la réquisition pour lui seul de toute la crème fraiche de notre administration. Vous avez vu comment son fameux sommet a capoté, comment les travaux le l’anoci dites de quatrième génération ont été maquillés, sans oublier toute la coalition qu’il a fait perdre lors des locales. A titre personnel, je me désole qu’il mette constamment son père qui est une véritable bête politique dans cette position embarrassante. Mais comme le disait ce l’adage populaire, le fils d’un savant n’est pas un savant.
Un dialogue est très important pour un pays parce qu’il permet de garantir l’unité nationale, l’intégrité territoriale, la sécurité publique, la sureté de l’Etat, la défense nationale et surtout la stabilité politique. Au Sénégal, c’est une tradition républicaine qui ne date pas d’aujourd’hui. En conséquence, l’attitude d’un Président responsable aurait été de se départir de sa volonté de transformer absolument la république en monarchie, et, d’engager pour l’intérêt supérieur de na nation un dialogue sincère en y associant tous les acteurs de la vie politique et les forces vives du pays. Malheureusement, l’appel au dialogue national lancé par Monsieur Abdoulaye Wade, n’est rien d’autre qu’une pure vocifération inopportune, contre sensée et ambivalente. Cet appel est inopportun parce que les retardataires ont toujours tords, et, pour notre Sénégal, l’heure n’est plus au dialogue mais à l’action, déjà enclenchée, et, qui est de déboulonner définitivement le régime de Monsieur Abdoulaye WADE. Depuis 2000, l’opinion nationale et internationale n’ont cessé de l’interpeller sur la situation implosive du Sénégal où sont menacées la cohésion sociale, l’intégrité territoriale, la sécurité publique, la sureté de l’Etat et la défense nationale.
DEVOLUTION MONARCHIQUE ?
Le monde entier a noté la volonté manifeste de Monsieur Abdoulaye WADE de passer la main à son fils. Or, au Sénégal, la république est une tradition bien ancrée dans nos valeurs. Le Sénégal n’est ni une entreprise familiale ni une monarchie, mais une république. Malheureusement il ne cesse de s’entêter dans ce dessein monarchique mort né et qui n’aboutira pas. Surtout que Monsieur KARIM WADE a prouvé plus de milles fois qu’il est le plus incapable de sa génération en commettant matin, midi, soir des bourdes, boutades et bourderies. Et pourtant son père lui a donné des moyens colossaux tels que les leviers de l’Etat, la réquisition pour lui seul de toute la crème fraiche de notre administration. Vous avez vu comment son fameux sommet a capoté, comment les travaux le l’anoci dites de quatrième génération ont été maquillés, sans oublier toute la coalition qu’il a fait perdre lors des locales. A titre personnel, je me désole qu’il mette constamment son père qui est une véritable bête politique dans cette position embarrassante. Mais comme le disait ce l’adage populaire, le fils d’un savant n’est pas un savant.