La groupe Bin Laden entendait entrer dans le capital de la Société africaine de raffinage, jusqu’à hauteur de 34 %. Ainsi, depuis le 12 janvier dernier, l’État s’attendait à empocher, en conséquence, un acompte de 7 milliards de nos francs Cfa. Mais, le fils du président, Karim Wade, par ailleurs ministre d’État devra lui trouver remplaçant. Car, Bin Laden, tout comme Saudi Aramco estiment qu’il n’est plus prudent d’investir au Sénégal d’ici 2012. Autrement, les opérateurs économiques craignent la faillite du régime libéral, dont le fils du président leur a ouvert les portes. Ils se contenteront désormais du port de Dakar et de l’aéroport de Ndiass, que celui-ci leur a livrés.
D’ailleurs les sociétés arabes présentes dans ces espaces sont entrain d’étudier des plans de retrait de ces deux sites, avant la prochaine élection présidentielle. Car, elles craignent la chute de l’actuel régime, selon nos sources. Elles redoutent que la défaite des Wade ne soit précédée et accompagnée de « troubles » et qu’elle soit l’occasion de leur retirer tous les marchés, au profit de sociétés occidentales plus crédibles. Car, c’est connu, les sociétés arabes sont moins regardantes. Le Sénégal est dans la zone rouge. Car, outre les Arabes, Shell s’apprête à faire ses valises, la Bicis et la Sgbs ruent dans les brancards. Les investisseurs européens et américains regardent d’un mauvais oeil le Sénégal, à cause du sobriquet de « monsieur 10 % » qu’on colle au fils du président Wade, Karim. C’est dire que ce sont, après l’enrichissement, ses ristournes qui sont menacées
La Redaction XIBAR.NET
D’ailleurs les sociétés arabes présentes dans ces espaces sont entrain d’étudier des plans de retrait de ces deux sites, avant la prochaine élection présidentielle. Car, elles craignent la chute de l’actuel régime, selon nos sources. Elles redoutent que la défaite des Wade ne soit précédée et accompagnée de « troubles » et qu’elle soit l’occasion de leur retirer tous les marchés, au profit de sociétés occidentales plus crédibles. Car, c’est connu, les sociétés arabes sont moins regardantes. Le Sénégal est dans la zone rouge. Car, outre les Arabes, Shell s’apprête à faire ses valises, la Bicis et la Sgbs ruent dans les brancards. Les investisseurs européens et américains regardent d’un mauvais oeil le Sénégal, à cause du sobriquet de « monsieur 10 % » qu’on colle au fils du président Wade, Karim. C’est dire que ce sont, après l’enrichissement, ses ristournes qui sont menacées
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