Après une rude bataille électorale, qui l’a opposé à l’ancienne présidente du Conseil régional de Kaolack, au cours de laquelle il avait bénéficié du soutien des conseillers du Parti démocratique sénégalais (PDS), Abdoulaye Wilane a été élu maire de la ville de Kaffrine, au détriment de sa collègue de "feue" la coalition "Bennoo Siggil Senegaal». Mais, depuis lors aussi, c’est la guerre sans merci entre les deux anciens camarades socialistes, avant la marginalisation de Moustapha Niasse au sein du parti de Senghor, en 1996.
Face au défi des élections législatives, Abdoulaye Wilane n’a pas manqué de prévenir les leaders des trois principaux partis coalisés (APR, AFP, PS), notamment le président Macky Sall, le «futur président de l’Assemblée nationale", Moustapha Niasse, et le «futur retraité politique" -c’est le souhait de Malick Noël Seck- Ousmane Tanor Dieng. «Ils doivent rappeler Mme Mata Sy Diallo à l’ordre», a martelé le maire du "Ndoukoumane" selon qui, la responsable de l’AFP «refuse toute collaboration», même si l’essentiel des dépenses pour le triomphe de la coalition sont effectuées par lui.
... et brocarde les marabouts et le PDS
Quant aux candidats issus de la mouvance religieuse, comme Serigne Modou Kara Mbacké, Mansour Sy Djamil, Abdou Samath Mbacké et autres chefs religieux engagés dans la course pour les législatives, Wilane estime qu’ils ne sont pas à leur place. «Il y a même un d’entre eux que j’airais souhaité voir sur les listes de "Bennoo Bokk Yakaar", il s’agit de Oustaz Alioune Sall» qui, de son point de vue, «est une référence religieuse».
Le Parti démocratique sénégalais (PDS), non plus, n’a pas été épargné. Pour Abdoulaye Wilane, «tous les démembrements du PDS, présentés sous différentes listes», de sont point de vue, ne sont que des hommes-liges d’une certaine Génération du Concret pour laquelle ils travaillent. Les listes "Sopi ak Pds", "Bokk Guis-Guis" et même "Leeral" de Me El Hadji Diouf, selon Wilane, œuvrent à «donner une majorité à Karim Wade» qui, étonnamment, n’est candidat à rien.
SERIGNE MOUR DIOP lesenegalais.net
Face au défi des élections législatives, Abdoulaye Wilane n’a pas manqué de prévenir les leaders des trois principaux partis coalisés (APR, AFP, PS), notamment le président Macky Sall, le «futur président de l’Assemblée nationale", Moustapha Niasse, et le «futur retraité politique" -c’est le souhait de Malick Noël Seck- Ousmane Tanor Dieng. «Ils doivent rappeler Mme Mata Sy Diallo à l’ordre», a martelé le maire du "Ndoukoumane" selon qui, la responsable de l’AFP «refuse toute collaboration», même si l’essentiel des dépenses pour le triomphe de la coalition sont effectuées par lui.
... et brocarde les marabouts et le PDS
Quant aux candidats issus de la mouvance religieuse, comme Serigne Modou Kara Mbacké, Mansour Sy Djamil, Abdou Samath Mbacké et autres chefs religieux engagés dans la course pour les législatives, Wilane estime qu’ils ne sont pas à leur place. «Il y a même un d’entre eux que j’airais souhaité voir sur les listes de "Bennoo Bokk Yakaar", il s’agit de Oustaz Alioune Sall» qui, de son point de vue, «est une référence religieuse».
Le Parti démocratique sénégalais (PDS), non plus, n’a pas été épargné. Pour Abdoulaye Wilane, «tous les démembrements du PDS, présentés sous différentes listes», de sont point de vue, ne sont que des hommes-liges d’une certaine Génération du Concret pour laquelle ils travaillent. Les listes "Sopi ak Pds", "Bokk Guis-Guis" et même "Leeral" de Me El Hadji Diouf, selon Wilane, œuvrent à «donner une majorité à Karim Wade» qui, étonnamment, n’est candidat à rien.
SERIGNE MOUR DIOP lesenegalais.net