Le Maroc s'estime lésé
"La VAR c'est de la merde" ou "la VAR c'est pour les grandes équipes". Après la rencontre entre l'Espagne et le Maroc (2-2), Nordin Amrabat et Younes Belhanda n'ont pas mâché leurs mots au sujet de l'arbitrage vidéo. Les Marocains s'estiment lésés sur l'égalisation de Iago Aspas dans les arrêts de jeu. Car si la vidéo a permis à l'arbitre de voir que l'attaquant espagnol n'était pas hors-jeu, elle n'a pas été utilisée pour vérifier de quel côté le corner qui a amené ce but, devait être tiré. Le ballon est pourtant sorti à gauche quand on regarde le but marocain mais a été tiré à droite, ce qui est contraire au règlement. Une erreur qui a peut-être "offert" à l'Espagne la première place du groupe B.
Ronaldo échappe au rouge
Cristiano Ronaldo a échappé de peu au carton rouge. On joue la 81e minute d'Iran-Portugal lorsque l'arbitre demande l'aide de la vidéo pour juger une faute de "CR7" sur Morteza Pouraliganji. Sur les images, on voit le quintuple Ballon d'Or donner un coup de coude à l'Iranien. Un geste qui vaut un carton rouge, selon Willy Sagnol, mais qui ne sera sanctionné que d'un jaune. "Un coup de coude, c'est carton rouge dans les règles. Dans les règles, il n'est pas précisé si c'est Messi ou Ronaldo...", a lâché le sélectionneur portugais de l'Iran, Carlos Queiroz.
Un penalty justifié pour l'Iran?
L'Iran n'a pas eu qu'à se plaindre de la VAR, puisqu'elle lui a permis d'obtenir un penalty. Au duel avec un joueur iranien, Cedric Soares voit le ballon lui revenir sur la main. La VAR est demandée et l'arbitre désigne le point de penalty. Logique? La main est claire, mais le geste n'est pas "délibéré", comme le précise pourtant le règlement de la Fifa. L'Iran a profité de cette décision pour égaliser et aurait même pu l'emporter. Mais la décision peut quand même prêter à débat. "J'aime la VAR, déclare Gary Lineker, consultant pour la BBC. Cela rend le plus banal d'un match plus dramatique. Cela améliore les décisions arbitrales (bien qu'une erreur humaine puisse toujours se produire)." Tout le monde n'est pas de son avis, surtout après les deux matchs de lundi.
Rmc
"La VAR c'est de la merde" ou "la VAR c'est pour les grandes équipes". Après la rencontre entre l'Espagne et le Maroc (2-2), Nordin Amrabat et Younes Belhanda n'ont pas mâché leurs mots au sujet de l'arbitrage vidéo. Les Marocains s'estiment lésés sur l'égalisation de Iago Aspas dans les arrêts de jeu. Car si la vidéo a permis à l'arbitre de voir que l'attaquant espagnol n'était pas hors-jeu, elle n'a pas été utilisée pour vérifier de quel côté le corner qui a amené ce but, devait être tiré. Le ballon est pourtant sorti à gauche quand on regarde le but marocain mais a été tiré à droite, ce qui est contraire au règlement. Une erreur qui a peut-être "offert" à l'Espagne la première place du groupe B.
Ronaldo échappe au rouge
Cristiano Ronaldo a échappé de peu au carton rouge. On joue la 81e minute d'Iran-Portugal lorsque l'arbitre demande l'aide de la vidéo pour juger une faute de "CR7" sur Morteza Pouraliganji. Sur les images, on voit le quintuple Ballon d'Or donner un coup de coude à l'Iranien. Un geste qui vaut un carton rouge, selon Willy Sagnol, mais qui ne sera sanctionné que d'un jaune. "Un coup de coude, c'est carton rouge dans les règles. Dans les règles, il n'est pas précisé si c'est Messi ou Ronaldo...", a lâché le sélectionneur portugais de l'Iran, Carlos Queiroz.
Un penalty justifié pour l'Iran?
L'Iran n'a pas eu qu'à se plaindre de la VAR, puisqu'elle lui a permis d'obtenir un penalty. Au duel avec un joueur iranien, Cedric Soares voit le ballon lui revenir sur la main. La VAR est demandée et l'arbitre désigne le point de penalty. Logique? La main est claire, mais le geste n'est pas "délibéré", comme le précise pourtant le règlement de la Fifa. L'Iran a profité de cette décision pour égaliser et aurait même pu l'emporter. Mais la décision peut quand même prêter à débat. "J'aime la VAR, déclare Gary Lineker, consultant pour la BBC. Cela rend le plus banal d'un match plus dramatique. Cela améliore les décisions arbitrales (bien qu'une erreur humaine puisse toujours se produire)." Tout le monde n'est pas de son avis, surtout après les deux matchs de lundi.
Rmc