Un de ces mouvements, «Y en a marre » dont le nom résume toute la philosophie, a enrégimenté des jeunes désœuvrés, déboussolés, désemparés, devenus des jouets entre leurs mains expertes, qu’ils fomentent dans la violence délibérée. Pour être « ce nouveau type » de Sénégalais qu’ils ont défini, il fallait se dépouiller de son nom de baptême, s’habiller indécemment, parler insolemment, pour entrer dans le cercle des initiés sous l’œil scrutateur de gourous, souvent sous s’emprise de l’éther.
Ce sont ces jeunes aujourd’hui, qui ont grandi et qui s’adonnent régulièrement à leurs jeux favoris, qui consistent à jeter des pierres, à affronter les forces de l’ordre, à piller, à dévaliser, à tuer, à se droguer…
Les apôtres de ce processus de la violence, pour expier leurs déboires, leurs forfaits extra politiques, conséquences de leurs penchants libidineux et de leurs frustrations, cherchent vaille que vaille à noyer l’éléphant dans des bains de sang versé par ces innocents. Ces hommes irresponsables se sont arrogé « une mission divine « pour « sauver » le Sénégal, en jetant leurs démons à notre jeunesse. En complicité avec des politiciens en mal de publicité, des rancuniers de tous bords, des repris de justice, des violeurs, des pilleurs de deniers publics, des assassins…ont vendu des rêves à notre jeunesse. Foulant aux pieds notre éducation de base, nos traditions, ils entraînent nos enfants dans le refus et la révolte contre les principes élémentaires établis depuis des millénaires.
La sagesse africaine, notre credo admiré par le monde entier, s’est étiolé. Le référentiel familial est foulé aux pieds et nos valeurs génétiques ont disparu. La haine et la jalousie ont fini par prendre le dessus sur l’amour et le respect. Cette mutation négative, à tous les niveaux, a relégué aux calendes grecques la philosophie de la hiérarchie, fondement sociétal de l’Afrique. Les bibliothèques humaines, le respect des parents, leurs legs sont devenus caducs. Les enfants ne répondent plus à l’appel du grand-père, du frère aîné… Ils sont devenus matérialistes, mercantilistes, mus par la recherche de l’argent facile, de matériels sophistiqués, de sexe, d’alcool et de drogue. Ils deviennent sourds à l’appel de l’honneur, de la dignité et du mérite. Le portable est devenu leur interlocuteur assidu à la place du père, de l’instituteur ou du professeur. Ils sont ainsi à la merci des réseaux sociaux, des activistes, des manipulateurs et politiciens véreux, qui s’en pourlèchent les babines.
Des politiciens, prétendant agir « au nom du peuple », clament haut et fort leur mépris pour le pouvoir temporel absolu et toute absence d’appétits de puissance. La plupart d’entre eux ne connaît pas ce peuple et, est indifférent à ses complaintes. Ce postulat politicien a développé un caractère suspicieux dans nos populations, qui ne croient plus aux hommes politiques quasiment dans leur totalité. Ceux qui filtrent à travers ce tamis très fin, sont si rares qu’ils sont exceptionnels.
Pour bâtir un Etat, la force brutale est infime. Il faut l’union et l’esprit de sacrifice, un niveau de responsabilité élevé, de l’humilité et une capacité d’écoute très forte ; un chef qui s’impose par sa maturité, son charisme et un programme politique, économique et social accepté par tous à l’instar du Président Macky Sall et du Yonne Yokouté.
L’exercice du pouvoir est une science. Il requiert une bonne éducation, un cœur noble, un courage à toute épreuve, une expérience et un parcours avérés, un esprit d’ouverture et de renoncement, un respect absolu pour nos pouvoirs cultuels, nos chefs coutumiers, nos traditions qui nous différencient du reste du monde. Il faut en outre et c’est fondamental, un respect de nos institutions, particulièrement de la justice, tout acte aux antipodes de Sonko.
Des hommes et des femmes encagoulés se sont introduits dans ces failles conjoncturelles, avec l’intention de détruire la société, de déstabiliser l’Etat, jusque dans ses fondements. Profitant de la crédulité de ces jeunes, de leur inexpérience, de leur soif inextinguible d’argent facile, ils les entraînent dans des pillages, des vols, des incendies et des saccages souvent mortels, au grand dam de leurs parents impuissants.
Nous devons ainsi nous inquiéter du futur de notre société actuelle. Seuls les violeurs, les agresseurs, les voleurs, les menteurs, les manipulateurs et les assassins ont pignon dans la rue. Ils gagnent en popularité.
Des intellectuels, des professeurs, des journalistes, ignominieux, entraînant sournoisement des jeunes dans le nihilisme, dans la paresse intellectuelle, pour représenter l’Etat à leurs yeux comme un monstre insatiable, jamais repu, qui annihile et handicape leur avenir. Des moins que rien, devant l’évidence, arrivent à faire douter des personnes dignes de foi. Kounkandé, Kilifeu, Ousmane Sonko, Yen a marre, Clédor Sène… se nourrissent de la crédulité de nos enfants et surfent sur leur intelligence.
La haine viscérale à l’endroit de Macky Sall, constitue un handicap majeur dans la démarche politique de Ousmane Sonko. Son portrait est celui d’un homme immature, envieux, sans vision politique et économique. Son ambition démesurée, comme Icare, finira par brûler ses ailes. Sa chute sera alors rocambolesque et son avenir politique hypothéqué à jamais par sa légèreté et sa prédisposition libidineuse. Son machiavélisme politique et son art dans la manipulation, ont leurré des hommes et des femmes politiciens, de la société dite « civile » et des jeunes inexpérimentés. Se servant à merveille des réseaux sociaux comme vecteur, il a su transmettre aux jeunes son propre ADN, son âme terroriste incarné, les rendant plus vulnérables dans son entreprise inavouée de déstabilisation de notre pays.
En effet, le lutin envieux, que seule la vengeance obnubilait, entama sa croisade par des dénonciations tous azimuts, par vilipender et vouer aux gémonies tous les dirigeants depuis les indépendances. Il suggéra même de les fusiller et de les brûler. Il n’a jamais eu de preuves de ses allégations, pourvu que la masse silencieuse, innocente et inexpérimentée y croie et adhère à son appel. Cette « attitude guerrière », prisée par nos jeunes, sans prise aucune avec nos réalités sociales et traditionnelles, avec des connaissances artificielles, suspendus aux lèvres de gourous maléfiques, les transformait en victimes désignées sur l’autel du sacrifice. Sa funeste mission se dessinait pour baliser une crise sociale insurrectionnelle, insurmontable pour le régime de Macky Sall.
Au fil des jours, grisé par son impact dans ce milieu artificiel, le Monsieur se radicalisa, se prit pour un génie et se mit à rêver. La folie le gagna quand des intellectuels de tous bords, des politiciens en mal de publicité et une « société civile » qui ne dit pas son nom, le rejoignirent dans ce combat voué à l’échec. Il a du sourire et même rire aux éclats, seul, dans sa chambre, face à son miroir, se pinçant jusqu’ au sang pour se persuader qu’il en était un.
J’accuse Ousmane SONKO d’avoir menti à l’Assemblée Nationale sur les Impôts et les dessous de table. Ce sont ses propres camarades, membres de sa coalition qui le ramenèrent à l’ordre avant que la majorité présidentielle ne lui assène le coup de grâce.
J’accuse Ousmane Sonko d’avoir menti au peuple sur l’affaire des 94 milliards
A l’entame de ce dossier, Monsieur clamait à cor et à cris qu’il ne connaissait pas la famille propriétaire du terrain. Il accuse vertement Mamour Diallo d’être à l’origine du détournement de cette somme colossale, allant même jusqu’à dire péremptoirement connaître la banque, le numéro du compte et les trois personnes qui ont pu retirer près de 46 milliards FCfa.
Pris en flagrant délit de mensonges sur ses rapports avec la famille, le pot aux roses éclata en mille morceaux pour mettre à nu le plan machiavélique du lutin qui lorgnait les 12 milliards FCfa de la famille. Se sachant démasqué, il s’enfonça dans les ténèbres du diable cornu en empruntant le labyrinthe des mensonges. Dieu punit toujours les véreux. Sa boulimie financière finit par le trahir ; alors il accusa délibérément Mamour Diallo.
Son seul objectif était de salir un homme qui lui a opposé un niet définitif à l’acquisition frauduleuse d’un terrain à Dakar.
1
J’accuse Ousmane Sonko d’avoir menti sur l’affaire Adji Sarr, en criant au complot étatique. C’est une citoyenne de surcroît d’à peine vingt ans, qui a porté plainte contre un citoyen de plus de quarante ans, député de son Etat. Ce n’est pas Macky qui lui a demandé de tromper ses deux épouses, de leurrer son chauffeur et son garde du corps, de se camoufler en plein couvre –feu, en prédateur sexuel, à la recherche de sa proie ligotée, pour assouvir sa bestialité et ses pulsions libidineuses. Sa complice, proxénète professionnelle, lui avait balisé la voie nuptiale. Sa rencontre avec sa victime fut rocambolesque. Cette dernière clama son innocence et sa virginité en vain. Le prédateur était à son paroxysme et s’en excita davantage. D’une voix rauque, il pesta : « Ton état m’excite davantage. Je ne vais pas t’abandonner entre les mains de vulgaires individus pour te dépuceler. Je dois assouvir mon instinct. Je suis un homme craint et respecté. Personne ne te croira en rapportant notre relation. Par ailleurs, je te retrouverai et te tuerai. » (propos de Adji Sarr)
Là-dessus, comme une bête féroce, la raison de plus fort comme décret, il la coucha à même les carreaux, pour condamner à jamais une innocente vie, à la fleur de l’âge. Obsédé qu’il est, il oublie que « l’œil de Caïn « le poursuivra toute sa vie et que Dieu, assiste, obscur et muet témoin, à sa forfaiture et son indélébile pêché. La profondeur des liens sacrés entre Sérère et Diola, comme une épée de Damoclès, planera sur sa tête et lui fracassera le crâne un jour, inéluctablement.
Rassasié, son bagout finit par le trahir en racontant à la pauvre fille ses déboires avec ses épouses, en l’occurrence sa deuxième femme qui, pour le retenir, avait porté une jolie robe rouge pour la circonstance, augurant une belle soirée sous la couette.
Adji, au bord de la syncope, tiraillée par des douleurs insupportables, toute honte bue, se retira dans son village, vouant aux gémonies « sa protectrice » proxénète, qui l’avait trahie. Avec un courage inouï, digne des ancêtres sérères, elle jura de répondre à l’offense de Ousmane Sonko. Elle se confia à Dame Justice pour réparer le préjudice, défiant ainsi les menaces de Ousmane Sonko. Sa bravoure restera à jamais gravée en lettres d’or dans le Guiness des violées et servira de leçon aux jeunes filles, victimes innocentes des hommes sans scrupule.
Ousmane Sonko, abasourdi, affolé, ébaubi, comme un naufragé s’agrippant à un fétu de paille pour échapper à la noyade, invoqua un complot politique contre sa personne, ourdi par le président de la République Macky Sall. Toutes les personnes sensées, intelligentes, expérimentées, honnêtes, comprirent l’énormité du mensonge. Pour les démagogues, les activités, les terroristes, les désœuvrés, les haineux, les envieux rusés, c’était l’occasion d’en découdre avec Macky Sall, auteur de leurs échecs politiques et sociaux. Ce dernier était devenu leur souffre-douleur, l’empêcheur de tourner en rond, de transformer en réalité leurs rêves fous. Toute douleur, tout bobo et toute chute (même d’un lit ou dans les escaliers), étaient l’œuvre de Macky Sall.
Ce jour-là, on lisait très facilement le mensonge sur le visage de Ousmane Sonko et dans ses propos incohérents. Cependant, il ne pouvait plus reculer, se sentant lui-même pris dans son propre piège : plus le mensonge était gros, plus il se sentait en sécurité artificielle. En comédien avéré, sorti de la plus haute école de la comédie, expert dans ses propos et gestes, amplifiant son mensonge comme un ballon de baudruche, il entraîna nos enfants dans des affrontements mortels qui firent 14 morts et brûlèrent des milliards, en pillant des magasins et des stations, en cassant des voitures et saccageant des maisons. La prison était le seul lieu qui lui restait et la condamnation, son dernier vaccin.
L’intrépide Adji Sarr a permis aux Sénégalais de découvrir le véritable visage de Ousmane Sonko. Me El Hadji Diouf, Hélène Françoise Gaye, Maty 3 Pommes, Khadim Guèye, Bah Diakhaté (Jack Bauer), combattants de la vérité, méritent des médailles d’honneur pour avoir débarrassé le pays des poubelles de mensonges.
Un an n’a pas suffi pour panser les plaies béantes de notre pays, soulager les familles endeuillées, atténuer le mal fait à cette brave pionnière Adji Raby Sarr. Chaque jour qui passe est un fardeau supplémentaire sur la tête de Ousmane Sonko. La solidarité organisée autour de Ousmane Sonko par certains journalistes et des activistes de bas étage, renforce la thèse de Adji Sarr. A chaque fois qu’elle s’exprime, les « Sonkolait » tremblent à l’instar de leur leader et perdent les pédales.
Aujourd’hui, on n’accuse plus Macky Sall, ni le Ministre de l’Intérieur, encore moins le Procureur de la République ; mais plutôt Mamour Diallo. Il est indéniable que l’impact de son mensonge aurait moins de prise sur les jeunes, si Ousmane Sonko s’était limité à ce dernier. On aurait alors fait l’économie de tous ces morts, de ce sang versé et de ces milliards partis en fumée. A présent, il s’enfonce de plus en plus dans les ténèbres d’IBLIS, en se singularisant par des menaces tous azimuts, des appels à l’insurrection et des attaques délibérées contre nos institutions. Il s’est allié à des politiciens sans avenir, des assassins, des pilleurs de deniers publics, avec lesquels, il forme un conglomérat d’irresponsables et d’aventuriers sans boussole et sans permis de conduire.
La coalition YAW est si hétérogène, si immature, que seuls les intérêts personnels et les ambitions démesurées affleurent dans leurs propos et leurs attitudes. Aucun socle véritablement programmatique n’est proposé aux Sénégalais. Ousmane Sonko et sa bande déroulent un programme de violence qui constitue un fléau à l’instar du COVID-19. Il faut les arrêter avant que l’irréparable se produise. Chaque sortie de Ousmane Sonko est un pas supplémentaire vers la violence absolue. Chaque écart, erreur ou bourde de sa part, est un prétexte pour appeler à l’insurrection : « j’ai tort, commis une erreur et risque la prison. Venez-vous faire tuer pour mes beaux yeux, » en s’adressant aux jeunes.
Quel filou ! Quel démon ! Quel Satan !
Dieu, pour éprouver notre foi, nous a envoyé Iblis personnifié Ousmane Sonko. L’Etat doit rester fort pour sévir contre les ennemis de la stabilité, de la paix sociale et de la Nation. Le Sénégal est un pays respecté à travers le monde, par la valeur de ses hommes aux plans religieux, intellectuel, militaire et politique. Notre pays est loin d’être une République bananière, une jungle.
En injuriant toute nos institutions, en appelant à l’insurrection, à marcher sur le Palais, Ousmane Sonko cherche à s’attirer les foudres de la Justice, pour noyer son procès phare tant attendu, face à Adji Sarr, qui peut handicaper son avenir politique. Dame Justice devra prendre plus de hauteur pour éviter ce piège, en activant son face-à-face avec la courageuse dame.
Appeler les jeunes à se faire tuer, à affronter les forces de l’ordre, à basculer dans la violence inutile, est une forme de lâcheté, de couardise, une absence d’arguments. Nos jeunes qu’on appelle à chaque fois à faire face aux balles et aux grenades lacrymogènes au prix de leurs vies, doivent apprendre à bien juger ces hommes qui sont tous sous une chape judiciaire. Leur seul souci est de noyer leurs déboires dans le désordre et l’anarchie, seuls moyens de parvenir au pouvoir. Ils sont tous »mariés » à Dame Justice qui détient les clés de leur liberté ; leur union »sacrée » est circonstancielle donc sans avenir.
Face à ce magma de mensonges, de cacophonies, le Président Macky Sall a fait appel à la Dame de fer de l’APR, Aminata Touré, toujours prompte à apporter à Ousmane Sonko, des répliques pertinentes qui le laissent pantois. Cette dernière pleine de compétence et d’expérience, armée d’un courage à toute épreuve, tels les rois MANSA ou les Amazones, formera avec son équipe, un mur de vérités infranchissable.
Avec Macky Sall notre démocratie revit. Des populations jusque-là snobées par ses prédécesseurs, s’activent pour prendre en main leur destin. Matam, à l’instar des régions de Ziguinchor, de Kolda, de Sédhiou, de Tambacounda, de Louga…retrouvent leur pôle économique. L’hôpital de Touba constitue une illustration parfaite du développement de la santé. L’augmentation des salaires des enseignants, l’essor de notre tissu économique, la mécanisation progressive de notre agriculture et la croissance exponentielle de nos infrastructures, sont autant de preuves qui mettent en évidence l’efficience du programme de Yonu Yokouté et du PSE.
Macky est comme un ange descendu du ciel pour mener à bon port le bateau Sénégal, contre vents et marées et ses actes des lampions qui balisent la voie royale pour y parvenir. Heureusement que le Président est déterminé, sourd aux critiques politiciennes des envieux qui ont raté le tournant de leur histoire.
Puisse les anges de la paix et les colombes, à tire-d’ailes, se poser sur notre cher pays, pour enterrer à jamais Iblis personnifié. Ce sont donc des épreuves que les vrais démocrates et les vrais patriotes doivent surmonter face à ces iconoclastes qui ternissent les beaux rapports, le bon vivre ensemble des Sénégalais.
Ce sont ces jeunes aujourd’hui, qui ont grandi et qui s’adonnent régulièrement à leurs jeux favoris, qui consistent à jeter des pierres, à affronter les forces de l’ordre, à piller, à dévaliser, à tuer, à se droguer…
Les apôtres de ce processus de la violence, pour expier leurs déboires, leurs forfaits extra politiques, conséquences de leurs penchants libidineux et de leurs frustrations, cherchent vaille que vaille à noyer l’éléphant dans des bains de sang versé par ces innocents. Ces hommes irresponsables se sont arrogé « une mission divine « pour « sauver » le Sénégal, en jetant leurs démons à notre jeunesse. En complicité avec des politiciens en mal de publicité, des rancuniers de tous bords, des repris de justice, des violeurs, des pilleurs de deniers publics, des assassins…ont vendu des rêves à notre jeunesse. Foulant aux pieds notre éducation de base, nos traditions, ils entraînent nos enfants dans le refus et la révolte contre les principes élémentaires établis depuis des millénaires.
La sagesse africaine, notre credo admiré par le monde entier, s’est étiolé. Le référentiel familial est foulé aux pieds et nos valeurs génétiques ont disparu. La haine et la jalousie ont fini par prendre le dessus sur l’amour et le respect. Cette mutation négative, à tous les niveaux, a relégué aux calendes grecques la philosophie de la hiérarchie, fondement sociétal de l’Afrique. Les bibliothèques humaines, le respect des parents, leurs legs sont devenus caducs. Les enfants ne répondent plus à l’appel du grand-père, du frère aîné… Ils sont devenus matérialistes, mercantilistes, mus par la recherche de l’argent facile, de matériels sophistiqués, de sexe, d’alcool et de drogue. Ils deviennent sourds à l’appel de l’honneur, de la dignité et du mérite. Le portable est devenu leur interlocuteur assidu à la place du père, de l’instituteur ou du professeur. Ils sont ainsi à la merci des réseaux sociaux, des activistes, des manipulateurs et politiciens véreux, qui s’en pourlèchent les babines.
Des politiciens, prétendant agir « au nom du peuple », clament haut et fort leur mépris pour le pouvoir temporel absolu et toute absence d’appétits de puissance. La plupart d’entre eux ne connaît pas ce peuple et, est indifférent à ses complaintes. Ce postulat politicien a développé un caractère suspicieux dans nos populations, qui ne croient plus aux hommes politiques quasiment dans leur totalité. Ceux qui filtrent à travers ce tamis très fin, sont si rares qu’ils sont exceptionnels.
Pour bâtir un Etat, la force brutale est infime. Il faut l’union et l’esprit de sacrifice, un niveau de responsabilité élevé, de l’humilité et une capacité d’écoute très forte ; un chef qui s’impose par sa maturité, son charisme et un programme politique, économique et social accepté par tous à l’instar du Président Macky Sall et du Yonne Yokouté.
L’exercice du pouvoir est une science. Il requiert une bonne éducation, un cœur noble, un courage à toute épreuve, une expérience et un parcours avérés, un esprit d’ouverture et de renoncement, un respect absolu pour nos pouvoirs cultuels, nos chefs coutumiers, nos traditions qui nous différencient du reste du monde. Il faut en outre et c’est fondamental, un respect de nos institutions, particulièrement de la justice, tout acte aux antipodes de Sonko.
Des hommes et des femmes encagoulés se sont introduits dans ces failles conjoncturelles, avec l’intention de détruire la société, de déstabiliser l’Etat, jusque dans ses fondements. Profitant de la crédulité de ces jeunes, de leur inexpérience, de leur soif inextinguible d’argent facile, ils les entraînent dans des pillages, des vols, des incendies et des saccages souvent mortels, au grand dam de leurs parents impuissants.
Nous devons ainsi nous inquiéter du futur de notre société actuelle. Seuls les violeurs, les agresseurs, les voleurs, les menteurs, les manipulateurs et les assassins ont pignon dans la rue. Ils gagnent en popularité.
Des intellectuels, des professeurs, des journalistes, ignominieux, entraînant sournoisement des jeunes dans le nihilisme, dans la paresse intellectuelle, pour représenter l’Etat à leurs yeux comme un monstre insatiable, jamais repu, qui annihile et handicape leur avenir. Des moins que rien, devant l’évidence, arrivent à faire douter des personnes dignes de foi. Kounkandé, Kilifeu, Ousmane Sonko, Yen a marre, Clédor Sène… se nourrissent de la crédulité de nos enfants et surfent sur leur intelligence.
La haine viscérale à l’endroit de Macky Sall, constitue un handicap majeur dans la démarche politique de Ousmane Sonko. Son portrait est celui d’un homme immature, envieux, sans vision politique et économique. Son ambition démesurée, comme Icare, finira par brûler ses ailes. Sa chute sera alors rocambolesque et son avenir politique hypothéqué à jamais par sa légèreté et sa prédisposition libidineuse. Son machiavélisme politique et son art dans la manipulation, ont leurré des hommes et des femmes politiciens, de la société dite « civile » et des jeunes inexpérimentés. Se servant à merveille des réseaux sociaux comme vecteur, il a su transmettre aux jeunes son propre ADN, son âme terroriste incarné, les rendant plus vulnérables dans son entreprise inavouée de déstabilisation de notre pays.
En effet, le lutin envieux, que seule la vengeance obnubilait, entama sa croisade par des dénonciations tous azimuts, par vilipender et vouer aux gémonies tous les dirigeants depuis les indépendances. Il suggéra même de les fusiller et de les brûler. Il n’a jamais eu de preuves de ses allégations, pourvu que la masse silencieuse, innocente et inexpérimentée y croie et adhère à son appel. Cette « attitude guerrière », prisée par nos jeunes, sans prise aucune avec nos réalités sociales et traditionnelles, avec des connaissances artificielles, suspendus aux lèvres de gourous maléfiques, les transformait en victimes désignées sur l’autel du sacrifice. Sa funeste mission se dessinait pour baliser une crise sociale insurrectionnelle, insurmontable pour le régime de Macky Sall.
Au fil des jours, grisé par son impact dans ce milieu artificiel, le Monsieur se radicalisa, se prit pour un génie et se mit à rêver. La folie le gagna quand des intellectuels de tous bords, des politiciens en mal de publicité et une « société civile » qui ne dit pas son nom, le rejoignirent dans ce combat voué à l’échec. Il a du sourire et même rire aux éclats, seul, dans sa chambre, face à son miroir, se pinçant jusqu’ au sang pour se persuader qu’il en était un.
J’accuse Ousmane SONKO d’avoir menti à l’Assemblée Nationale sur les Impôts et les dessous de table. Ce sont ses propres camarades, membres de sa coalition qui le ramenèrent à l’ordre avant que la majorité présidentielle ne lui assène le coup de grâce.
J’accuse Ousmane Sonko d’avoir menti au peuple sur l’affaire des 94 milliards
A l’entame de ce dossier, Monsieur clamait à cor et à cris qu’il ne connaissait pas la famille propriétaire du terrain. Il accuse vertement Mamour Diallo d’être à l’origine du détournement de cette somme colossale, allant même jusqu’à dire péremptoirement connaître la banque, le numéro du compte et les trois personnes qui ont pu retirer près de 46 milliards FCfa.
Pris en flagrant délit de mensonges sur ses rapports avec la famille, le pot aux roses éclata en mille morceaux pour mettre à nu le plan machiavélique du lutin qui lorgnait les 12 milliards FCfa de la famille. Se sachant démasqué, il s’enfonça dans les ténèbres du diable cornu en empruntant le labyrinthe des mensonges. Dieu punit toujours les véreux. Sa boulimie financière finit par le trahir ; alors il accusa délibérément Mamour Diallo.
Son seul objectif était de salir un homme qui lui a opposé un niet définitif à l’acquisition frauduleuse d’un terrain à Dakar.
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J’accuse Ousmane Sonko d’avoir menti sur l’affaire Adji Sarr, en criant au complot étatique. C’est une citoyenne de surcroît d’à peine vingt ans, qui a porté plainte contre un citoyen de plus de quarante ans, député de son Etat. Ce n’est pas Macky qui lui a demandé de tromper ses deux épouses, de leurrer son chauffeur et son garde du corps, de se camoufler en plein couvre –feu, en prédateur sexuel, à la recherche de sa proie ligotée, pour assouvir sa bestialité et ses pulsions libidineuses. Sa complice, proxénète professionnelle, lui avait balisé la voie nuptiale. Sa rencontre avec sa victime fut rocambolesque. Cette dernière clama son innocence et sa virginité en vain. Le prédateur était à son paroxysme et s’en excita davantage. D’une voix rauque, il pesta : « Ton état m’excite davantage. Je ne vais pas t’abandonner entre les mains de vulgaires individus pour te dépuceler. Je dois assouvir mon instinct. Je suis un homme craint et respecté. Personne ne te croira en rapportant notre relation. Par ailleurs, je te retrouverai et te tuerai. » (propos de Adji Sarr)
Là-dessus, comme une bête féroce, la raison de plus fort comme décret, il la coucha à même les carreaux, pour condamner à jamais une innocente vie, à la fleur de l’âge. Obsédé qu’il est, il oublie que « l’œil de Caïn « le poursuivra toute sa vie et que Dieu, assiste, obscur et muet témoin, à sa forfaiture et son indélébile pêché. La profondeur des liens sacrés entre Sérère et Diola, comme une épée de Damoclès, planera sur sa tête et lui fracassera le crâne un jour, inéluctablement.
Rassasié, son bagout finit par le trahir en racontant à la pauvre fille ses déboires avec ses épouses, en l’occurrence sa deuxième femme qui, pour le retenir, avait porté une jolie robe rouge pour la circonstance, augurant une belle soirée sous la couette.
Adji, au bord de la syncope, tiraillée par des douleurs insupportables, toute honte bue, se retira dans son village, vouant aux gémonies « sa protectrice » proxénète, qui l’avait trahie. Avec un courage inouï, digne des ancêtres sérères, elle jura de répondre à l’offense de Ousmane Sonko. Elle se confia à Dame Justice pour réparer le préjudice, défiant ainsi les menaces de Ousmane Sonko. Sa bravoure restera à jamais gravée en lettres d’or dans le Guiness des violées et servira de leçon aux jeunes filles, victimes innocentes des hommes sans scrupule.
Ousmane Sonko, abasourdi, affolé, ébaubi, comme un naufragé s’agrippant à un fétu de paille pour échapper à la noyade, invoqua un complot politique contre sa personne, ourdi par le président de la République Macky Sall. Toutes les personnes sensées, intelligentes, expérimentées, honnêtes, comprirent l’énormité du mensonge. Pour les démagogues, les activités, les terroristes, les désœuvrés, les haineux, les envieux rusés, c’était l’occasion d’en découdre avec Macky Sall, auteur de leurs échecs politiques et sociaux. Ce dernier était devenu leur souffre-douleur, l’empêcheur de tourner en rond, de transformer en réalité leurs rêves fous. Toute douleur, tout bobo et toute chute (même d’un lit ou dans les escaliers), étaient l’œuvre de Macky Sall.
Ce jour-là, on lisait très facilement le mensonge sur le visage de Ousmane Sonko et dans ses propos incohérents. Cependant, il ne pouvait plus reculer, se sentant lui-même pris dans son propre piège : plus le mensonge était gros, plus il se sentait en sécurité artificielle. En comédien avéré, sorti de la plus haute école de la comédie, expert dans ses propos et gestes, amplifiant son mensonge comme un ballon de baudruche, il entraîna nos enfants dans des affrontements mortels qui firent 14 morts et brûlèrent des milliards, en pillant des magasins et des stations, en cassant des voitures et saccageant des maisons. La prison était le seul lieu qui lui restait et la condamnation, son dernier vaccin.
L’intrépide Adji Sarr a permis aux Sénégalais de découvrir le véritable visage de Ousmane Sonko. Me El Hadji Diouf, Hélène Françoise Gaye, Maty 3 Pommes, Khadim Guèye, Bah Diakhaté (Jack Bauer), combattants de la vérité, méritent des médailles d’honneur pour avoir débarrassé le pays des poubelles de mensonges.
Un an n’a pas suffi pour panser les plaies béantes de notre pays, soulager les familles endeuillées, atténuer le mal fait à cette brave pionnière Adji Raby Sarr. Chaque jour qui passe est un fardeau supplémentaire sur la tête de Ousmane Sonko. La solidarité organisée autour de Ousmane Sonko par certains journalistes et des activistes de bas étage, renforce la thèse de Adji Sarr. A chaque fois qu’elle s’exprime, les « Sonkolait » tremblent à l’instar de leur leader et perdent les pédales.
Aujourd’hui, on n’accuse plus Macky Sall, ni le Ministre de l’Intérieur, encore moins le Procureur de la République ; mais plutôt Mamour Diallo. Il est indéniable que l’impact de son mensonge aurait moins de prise sur les jeunes, si Ousmane Sonko s’était limité à ce dernier. On aurait alors fait l’économie de tous ces morts, de ce sang versé et de ces milliards partis en fumée. A présent, il s’enfonce de plus en plus dans les ténèbres d’IBLIS, en se singularisant par des menaces tous azimuts, des appels à l’insurrection et des attaques délibérées contre nos institutions. Il s’est allié à des politiciens sans avenir, des assassins, des pilleurs de deniers publics, avec lesquels, il forme un conglomérat d’irresponsables et d’aventuriers sans boussole et sans permis de conduire.
La coalition YAW est si hétérogène, si immature, que seuls les intérêts personnels et les ambitions démesurées affleurent dans leurs propos et leurs attitudes. Aucun socle véritablement programmatique n’est proposé aux Sénégalais. Ousmane Sonko et sa bande déroulent un programme de violence qui constitue un fléau à l’instar du COVID-19. Il faut les arrêter avant que l’irréparable se produise. Chaque sortie de Ousmane Sonko est un pas supplémentaire vers la violence absolue. Chaque écart, erreur ou bourde de sa part, est un prétexte pour appeler à l’insurrection : « j’ai tort, commis une erreur et risque la prison. Venez-vous faire tuer pour mes beaux yeux, » en s’adressant aux jeunes.
Quel filou ! Quel démon ! Quel Satan !
Dieu, pour éprouver notre foi, nous a envoyé Iblis personnifié Ousmane Sonko. L’Etat doit rester fort pour sévir contre les ennemis de la stabilité, de la paix sociale et de la Nation. Le Sénégal est un pays respecté à travers le monde, par la valeur de ses hommes aux plans religieux, intellectuel, militaire et politique. Notre pays est loin d’être une République bananière, une jungle.
En injuriant toute nos institutions, en appelant à l’insurrection, à marcher sur le Palais, Ousmane Sonko cherche à s’attirer les foudres de la Justice, pour noyer son procès phare tant attendu, face à Adji Sarr, qui peut handicaper son avenir politique. Dame Justice devra prendre plus de hauteur pour éviter ce piège, en activant son face-à-face avec la courageuse dame.
Appeler les jeunes à se faire tuer, à affronter les forces de l’ordre, à basculer dans la violence inutile, est une forme de lâcheté, de couardise, une absence d’arguments. Nos jeunes qu’on appelle à chaque fois à faire face aux balles et aux grenades lacrymogènes au prix de leurs vies, doivent apprendre à bien juger ces hommes qui sont tous sous une chape judiciaire. Leur seul souci est de noyer leurs déboires dans le désordre et l’anarchie, seuls moyens de parvenir au pouvoir. Ils sont tous »mariés » à Dame Justice qui détient les clés de leur liberté ; leur union »sacrée » est circonstancielle donc sans avenir.
Face à ce magma de mensonges, de cacophonies, le Président Macky Sall a fait appel à la Dame de fer de l’APR, Aminata Touré, toujours prompte à apporter à Ousmane Sonko, des répliques pertinentes qui le laissent pantois. Cette dernière pleine de compétence et d’expérience, armée d’un courage à toute épreuve, tels les rois MANSA ou les Amazones, formera avec son équipe, un mur de vérités infranchissable.
Avec Macky Sall notre démocratie revit. Des populations jusque-là snobées par ses prédécesseurs, s’activent pour prendre en main leur destin. Matam, à l’instar des régions de Ziguinchor, de Kolda, de Sédhiou, de Tambacounda, de Louga…retrouvent leur pôle économique. L’hôpital de Touba constitue une illustration parfaite du développement de la santé. L’augmentation des salaires des enseignants, l’essor de notre tissu économique, la mécanisation progressive de notre agriculture et la croissance exponentielle de nos infrastructures, sont autant de preuves qui mettent en évidence l’efficience du programme de Yonu Yokouté et du PSE.
Macky est comme un ange descendu du ciel pour mener à bon port le bateau Sénégal, contre vents et marées et ses actes des lampions qui balisent la voie royale pour y parvenir. Heureusement que le Président est déterminé, sourd aux critiques politiciennes des envieux qui ont raté le tournant de leur histoire.
Puisse les anges de la paix et les colombes, à tire-d’ailes, se poser sur notre cher pays, pour enterrer à jamais Iblis personnifié. Ce sont donc des épreuves que les vrais démocrates et les vrais patriotes doivent surmonter face à ces iconoclastes qui ternissent les beaux rapports, le bon vivre ensemble des Sénégalais.