Sur le terrain, les habitants ont exprimé leur détresse face à l’isolement. « Nous souffrons énormément », déclare Boubacar Kounta, président du mouvement Tous pour la réhabilitation du barrage Cheikh Aliou Souané.
« Mercredi dernier, nous avons failli perdre deux mères en traversant l’eau. Il n’y a plus de riz, car il nous provient de Kolda et Sédhiou, et nous ne pouvons plus l’acheminer. La plus grande inquiétude concerne les femmes enceintes à terme qui doivent traverser pour accéder aux hôpitaux. Il est urgent de nous venir en aide. »
Face à ces doléances, le ministre Cheikh Tidiane Dièye a promis la réhabilitation du barrage d’ici la fin octobre. Il a précisé que cette initiative se ferait en collaboration avec son collègue en charge des Infrastructures, Malick Ndiaye, et l’Ageroute, sous instruction du président de la République.
« Tout sera fait pour garantir le passage et la circulation des personnes et des biens. En plus de faciliter les transports, ce barrage, érigé par Alioune Souané, pourrait être un levier pour développer des activités agricoles. »
En attendant la réhabilitation, les habitants n’ont d’autre choix que d’utiliser des pirogues pour traverser, au péril de leur sécurité.
« Mercredi dernier, nous avons failli perdre deux mères en traversant l’eau. Il n’y a plus de riz, car il nous provient de Kolda et Sédhiou, et nous ne pouvons plus l’acheminer. La plus grande inquiétude concerne les femmes enceintes à terme qui doivent traverser pour accéder aux hôpitaux. Il est urgent de nous venir en aide. »
Face à ces doléances, le ministre Cheikh Tidiane Dièye a promis la réhabilitation du barrage d’ici la fin octobre. Il a précisé que cette initiative se ferait en collaboration avec son collègue en charge des Infrastructures, Malick Ndiaye, et l’Ageroute, sous instruction du président de la République.
« Tout sera fait pour garantir le passage et la circulation des personnes et des biens. En plus de faciliter les transports, ce barrage, érigé par Alioune Souané, pourrait être un levier pour développer des activités agricoles. »
En attendant la réhabilitation, les habitants n’ont d’autre choix que d’utiliser des pirogues pour traverser, au péril de leur sécurité.