Pour pas mal de Camerounais, cette nomination est plus qu’une curiosité. Une véritable forfaiture. On est tenté de les croire si on s’en tient à la peinture du nouveau mincom faite par ceux qui prétendent le connaître très bien. Peinture faite en 5 tableaux. Cinq tableaux qui tirent la sonnette d’alarme pour prévenir qu’il ya un loup dans la bergerie. Tchiroma, un pête gras…
1/ L’homme
Un sage grec a prétendu que le physique est le reflet de l’âme. On pourrait dire à sa suite qu’on reconnaît le moine à sa bure. Ceci n’explique peut-être pas cela mais le look du ministre de la communication n’est pas sans rappeler celui des talibans. A preuve...
De sources concordantes, il apparaît que notre communicateur national a des racines dans les vieilles familles des soufis du Sénégal. Certains corrigent en arguant qu’il aurait plutôt des proches parents chez les griots de ce pays ami. Le Ministre de la Communication serait donc un transfuge sénégalais ayant trouvé gîte et pitance chez nous. Et pourtant, l’homme se veut de Garoua. Mais personne ne se rappelle de quel village de la zone il est réellement.
Son père de très regretté mémoire nous aurait sans doute éclairé là-dessus. Hélas... En tout cas, ce confident de Fru Ndi à une époque pas très lointaine a agrandi à Garoua. On nous signale qu’il y a fait des études primaires en pointillés comme il l’a précisé lui-même à une émission TV. Au secondaire, il n’a pas laissé un souvenir impérissable. On attend son démenti mais pour l’heure, le seul diplôme valable qu’on lui reconnaît est le CAP en quelque chose de pas très académique. Pour les hypothétiques études d’ingénieur en chemin de fer en France, vos fins limiers ont interrogé en vain l’almanach des grandes écoles en France. Le ministre va nous préciser quels étaient ses camarades de classe et surtout où se situe cette école dans l’hexagone (les gens racontent...). Du coup, le CV du nouveau Mincom tient sur l’ongle de l’auriculaire. D’ailleurs, a-t-on besoin d’être agrégé pour changer d’opinion comme une femme sur sa coépouse ? Même s’il faut avoir lu un certain nombre de livres pour savoir que parmi les animaux domestiques, seul le porc consomme ses propres excréments…
Certains zélateurs ont quelque fois comparé le ministre Kontchou Kouomegni Augustin à Issa Tchiroma Bakary. Ils vont un peu vite. L’un est agrégé et l’autre est un affabulateur dont le livre de chevet serait le syllabaire. Le premier est un concepteur et un politique et le second est juste un laudateur dont les menteurs (des jaloux sans doute) pensent qu’il puise ses compliments dans les fosses sceptiques. Or, ce département ministériel est celui des intellectuels et autres grands historiens du présent et du futur. On s’excuse très platement auprès de son excellence notre ministre un peu sénégalais si tout ce qui a précédé est faux. On attend son droit de réponse ; et on lui précise que ce n’est pas le ministre de la communication qui interdit les journaux mais bel et bien le Minatd (achouka !).
Ton camarade de classe Malam Garba
1/ L’homme
Un sage grec a prétendu que le physique est le reflet de l’âme. On pourrait dire à sa suite qu’on reconnaît le moine à sa bure. Ceci n’explique peut-être pas cela mais le look du ministre de la communication n’est pas sans rappeler celui des talibans. A preuve...
De sources concordantes, il apparaît que notre communicateur national a des racines dans les vieilles familles des soufis du Sénégal. Certains corrigent en arguant qu’il aurait plutôt des proches parents chez les griots de ce pays ami. Le Ministre de la Communication serait donc un transfuge sénégalais ayant trouvé gîte et pitance chez nous. Et pourtant, l’homme se veut de Garoua. Mais personne ne se rappelle de quel village de la zone il est réellement.
Son père de très regretté mémoire nous aurait sans doute éclairé là-dessus. Hélas... En tout cas, ce confident de Fru Ndi à une époque pas très lointaine a agrandi à Garoua. On nous signale qu’il y a fait des études primaires en pointillés comme il l’a précisé lui-même à une émission TV. Au secondaire, il n’a pas laissé un souvenir impérissable. On attend son démenti mais pour l’heure, le seul diplôme valable qu’on lui reconnaît est le CAP en quelque chose de pas très académique. Pour les hypothétiques études d’ingénieur en chemin de fer en France, vos fins limiers ont interrogé en vain l’almanach des grandes écoles en France. Le ministre va nous préciser quels étaient ses camarades de classe et surtout où se situe cette école dans l’hexagone (les gens racontent...). Du coup, le CV du nouveau Mincom tient sur l’ongle de l’auriculaire. D’ailleurs, a-t-on besoin d’être agrégé pour changer d’opinion comme une femme sur sa coépouse ? Même s’il faut avoir lu un certain nombre de livres pour savoir que parmi les animaux domestiques, seul le porc consomme ses propres excréments…
Certains zélateurs ont quelque fois comparé le ministre Kontchou Kouomegni Augustin à Issa Tchiroma Bakary. Ils vont un peu vite. L’un est agrégé et l’autre est un affabulateur dont le livre de chevet serait le syllabaire. Le premier est un concepteur et un politique et le second est juste un laudateur dont les menteurs (des jaloux sans doute) pensent qu’il puise ses compliments dans les fosses sceptiques. Or, ce département ministériel est celui des intellectuels et autres grands historiens du présent et du futur. On s’excuse très platement auprès de son excellence notre ministre un peu sénégalais si tout ce qui a précédé est faux. On attend son droit de réponse ; et on lui précise que ce n’est pas le ministre de la communication qui interdit les journaux mais bel et bien le Minatd (achouka !).
Ton camarade de classe Malam Garba