Mais, un jour, profitant de l’absence de ma mère, qui était
allée dans un pays de la sous-région pour se ravitailler en marchandises,
parce que commerçante, son mari m’appela près de lui. Il essayait intelligemment
de me caresser. Je m’écartais de lui. N’empêche il me fera des
avances, dont je ne voulais pas écouter la suite. Je dus ce jour me barricader
dans ma chambre, sans manger et dormir toute la nuit. Le lendemain
dès que j’entendis ma mère sonner je courais vers elle, en pleurs. Je lui
racontais tout, son mari étant parti pour le travail. Quand celui-ci revint, je
les entendis se disputer, avant que le calme plat ne revienne dans la maison.
Mais, à ma grande surprise, les jours suivants elle me mettait de plus
en plus en quarantaine. Ils causaient et riaient. Quand je me pointais, ils se
taisaient et ma mère devenait froide à mon égard.
Même si je venais lui apporter une boisson, après
les repas, elle m’ordonnait par la main de le poser
sur la table, et me congédiait séance tenante. Je
compris que j’étais devenue de trop dans cette
maison, où ma mère me poussait vers la porte.
Mais, où donc pouvais-je partir. Je ne connaissais
qu’elle. Que de fois le suicide m’a tenté. Mais ma
foi m’interdisait de supprimer mes jours.
allée dans un pays de la sous-région pour se ravitailler en marchandises,
parce que commerçante, son mari m’appela près de lui. Il essayait intelligemment
de me caresser. Je m’écartais de lui. N’empêche il me fera des
avances, dont je ne voulais pas écouter la suite. Je dus ce jour me barricader
dans ma chambre, sans manger et dormir toute la nuit. Le lendemain
dès que j’entendis ma mère sonner je courais vers elle, en pleurs. Je lui
racontais tout, son mari étant parti pour le travail. Quand celui-ci revint, je
les entendis se disputer, avant que le calme plat ne revienne dans la maison.
Mais, à ma grande surprise, les jours suivants elle me mettait de plus
en plus en quarantaine. Ils causaient et riaient. Quand je me pointais, ils se
taisaient et ma mère devenait froide à mon égard.
Même si je venais lui apporter une boisson, après
les repas, elle m’ordonnait par la main de le poser
sur la table, et me congédiait séance tenante. Je
compris que j’étais devenue de trop dans cette
maison, où ma mère me poussait vers la porte.
Mais, où donc pouvais-je partir. Je ne connaissais
qu’elle. Que de fois le suicide m’a tenté. Mais ma
foi m’interdisait de supprimer mes jours.