Dakar est la capitale du Sénégal, et constitue un levier économique pour le pays. Donc dans de pareilles situations économiques difficiles, on n'a pas du tout besoin de créer une instabilité institutionnelle pour une ville qui a des engagements avec ses partenaires financiers, fustige Babacar Abba Mbaye.
Il ajoute ainsi que cette idée de supprimer la ville de Dakar, a un soubassement purement politique, ne reposant sur aucun argument solide. Pire, poursuit-il, Le Ministre Oumar Gueye, a déclaré que si on se réfère au code général des collectivités locales, la ville de Dakar n'a pas sa raison d'être. Une absurdité car, le code a bel et bien prévu la création de Ville par décret en son article 67, a t-il rectifié.
De la même manière que la population choisit un Président de la République, elle a le droit de choisir librement un Maire qui n'est pas avec le pouvoir. Il faudra que les politiciens aient cette maturité démocratique à l'instar des pays occidentaux comme la France dont la capitale, Paris, est aujourd'hui dirigé par une Maire Socialiste à l'occurrence Mme Anne Hidalgo, fait-il savoir.
Faire de Dakar un département, c'est l'éliminer totalement dans la mesure où, soutient-il, elle n'aura plus de politique fiscale, capable de lui permettre de prendre en charge les problèmes sociaux de bases, en ne recevant pas plus de 100 millions annuellement. Or, selon Monsieur Mbaye, aujourd'hui, avec des recettes avoisinantes les 50 milliards, la ville de Dakar, permet la prise en charge des questions sanitaires, éducatives etc., pour des milliers de dakarois .
Enfin, supprimer cette ville, créerait un déséquilibre énorme entre les communes de Dakar qui n'ont pas toutes les mêmes capacités de recouvrements fiscaux. À titre d'exemples, les communes de Dakar Plateau, Sacrée cœur-Mermoz et Fann-Amitie, peuvent facilement avoir des excédents budgétaires grâce à la présence dans leurs terroirs, de grandes sociétés comme la Sonatel, Expresso, les sièges des banques et sociétés d'assurances; Contrairement aux autres communes qui racontent d'énormes difficultés de recouvrements, a-t-il estimé.
Sur le plan politique, Babacar Abba Mbaye a dénoncé toutes les manœuvres mises au pied pour liquider un adversaire du régime, en la personne de Khalifa Ababacar Sall.
Il considère, insensé qu'on veille faire croire qu'en l'espace de deux ans, la différence de voix à Dakar entre le pouvoir et l'opposition puissent passer de 2000 à 100.000. comment est ce possible ? s'interroge t-il.
Aujourd'hui, le jeu démocratique doit être sain , et que les élections municipales soient organisées avant l'entame de toute réflexion sur les réformes des collectivités territoriales. Et, ces réformes devraient plutôt être orientées vers les communes d'arrondissement qui malgré l'acte 3, continuent de trouver des difficultés énormément pour leurs fonctionnement, s'est-il défendu.
Dire qu'on totalise environ plus 85% de l'électorat, parce qu'on a à ses côtés Monsieur Idrissa Seck, relève tout simplement de la mathématique politicienne, qui n'a rien à avoir avec la réalité, dit-il.
Pour rappel, renchérit Monsieur Mbaye,lors des dernières élections présidentielles, nombreux sont les citoyens prokhalifa, qui ont refusé catégoriquement de voter Idrissa Seck malgré les consignes de votes . Ils ont plutôt préféré voter Ousmane Sonko.
Continuant son argument, Le proche de Khalifa Ababacar Sall, révèle que durant la campagne électorale, au moment où Le Président Macky Sall a passé 3 jours à Dakar, Le candidat Idrissa Seck a préféré venir le dernier jour de la campagne, le vendredi, et est reparti le même jour. Il n'a fait que pas plus de 3h de temps à Dakar, pour une campagne présidentielle, se désole-t-
Il ajoute ainsi que cette idée de supprimer la ville de Dakar, a un soubassement purement politique, ne reposant sur aucun argument solide. Pire, poursuit-il, Le Ministre Oumar Gueye, a déclaré que si on se réfère au code général des collectivités locales, la ville de Dakar n'a pas sa raison d'être. Une absurdité car, le code a bel et bien prévu la création de Ville par décret en son article 67, a t-il rectifié.
De la même manière que la population choisit un Président de la République, elle a le droit de choisir librement un Maire qui n'est pas avec le pouvoir. Il faudra que les politiciens aient cette maturité démocratique à l'instar des pays occidentaux comme la France dont la capitale, Paris, est aujourd'hui dirigé par une Maire Socialiste à l'occurrence Mme Anne Hidalgo, fait-il savoir.
Faire de Dakar un département, c'est l'éliminer totalement dans la mesure où, soutient-il, elle n'aura plus de politique fiscale, capable de lui permettre de prendre en charge les problèmes sociaux de bases, en ne recevant pas plus de 100 millions annuellement. Or, selon Monsieur Mbaye, aujourd'hui, avec des recettes avoisinantes les 50 milliards, la ville de Dakar, permet la prise en charge des questions sanitaires, éducatives etc., pour des milliers de dakarois .
Enfin, supprimer cette ville, créerait un déséquilibre énorme entre les communes de Dakar qui n'ont pas toutes les mêmes capacités de recouvrements fiscaux. À titre d'exemples, les communes de Dakar Plateau, Sacrée cœur-Mermoz et Fann-Amitie, peuvent facilement avoir des excédents budgétaires grâce à la présence dans leurs terroirs, de grandes sociétés comme la Sonatel, Expresso, les sièges des banques et sociétés d'assurances; Contrairement aux autres communes qui racontent d'énormes difficultés de recouvrements, a-t-il estimé.
Sur le plan politique, Babacar Abba Mbaye a dénoncé toutes les manœuvres mises au pied pour liquider un adversaire du régime, en la personne de Khalifa Ababacar Sall.
Il considère, insensé qu'on veille faire croire qu'en l'espace de deux ans, la différence de voix à Dakar entre le pouvoir et l'opposition puissent passer de 2000 à 100.000. comment est ce possible ? s'interroge t-il.
Aujourd'hui, le jeu démocratique doit être sain , et que les élections municipales soient organisées avant l'entame de toute réflexion sur les réformes des collectivités territoriales. Et, ces réformes devraient plutôt être orientées vers les communes d'arrondissement qui malgré l'acte 3, continuent de trouver des difficultés énormément pour leurs fonctionnement, s'est-il défendu.
Dire qu'on totalise environ plus 85% de l'électorat, parce qu'on a à ses côtés Monsieur Idrissa Seck, relève tout simplement de la mathématique politicienne, qui n'a rien à avoir avec la réalité, dit-il.
Pour rappel, renchérit Monsieur Mbaye,lors des dernières élections présidentielles, nombreux sont les citoyens prokhalifa, qui ont refusé catégoriquement de voter Idrissa Seck malgré les consignes de votes . Ils ont plutôt préféré voter Ousmane Sonko.
Continuant son argument, Le proche de Khalifa Ababacar Sall, révèle que durant la campagne électorale, au moment où Le Président Macky Sall a passé 3 jours à Dakar, Le candidat Idrissa Seck a préféré venir le dernier jour de la campagne, le vendredi, et est reparti le même jour. Il n'a fait que pas plus de 3h de temps à Dakar, pour une campagne présidentielle, se désole-t-