L’information est contenue dans un communiqué daté du 6 octobre dernier. La raison de ce décalage est à trouver dans le souci de permettre, après l’ouverture officielle de l’année scolaire, à tous les enseignantes et enseignants d’y participer. Le parrain de cette journée est Babacar Sané, membre fondateur du Syndicat Unique de l’enseignement Laïc (SUEL), du Syndicat des Enseignants du Sénégal (SES), du Syndicat Unique et Démocratique des Enseignants du Sénégal (SUDES) et de l’UDEN.
Tout en célébrant leur journée, les enseignantes et enseignants sénégalais préparent la rentrée scolaire dans l’inquiétude et la frustration , souligne la même source. « Inquiétude et frustration liées à l’inertie des pouvoirs publics qui ne manifestent aucune volonté de créer les conditions d’une bonne rentrée scolaire. Des écoles sont occupées par des personnes victimes des inondations si elles ne sont pas simplement envahies par les eaux de pluie.
Les corps émergents sont confrontés à des retards inexplicables de salaires », renseigne le communiqué. En plus, note l’Uden, les négociations avec l’Intersyndicale sont bloquées et le gouvernement se complaît dans un silence inacceptable face aux revendications légitimes de l’Intersyndicale. Le Ministère de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle organise des Comités Régionaux de Développement (CRD) consacrés à la rentrée scolaire sans y associer les partenaires sociaux.
L’Uden se préoccupe de la situation des parents d’élèves qui préparent la rentrée dans un contexte marqué par la cherté de la vie, la dictature de la SENELEC et de la SDE. « En effet, les budgets familiaux sont grevés par les prix exorbitants des denrées de consommation courante, les factures d’électricité et d’eau qui augmentent sans cesse à l’insu des consommateurs, l’augmentation des frais parasites à l’école et à l’université. Situation beaucoup plus difficile pour les parents d’élèves victimes d’inondation : maisons abandonnées, enfants dispersés, moyens de survie inhumainement limités… », note la source.
Suffisant alors, pour que l’UDEN « dénonce l’amateurisme des pouvoirs publics face aux multiples menaces qui hypothèquent lourdement la rentrée scolaire ». Tout en « invitant l’Intersyndicale à la mobilisation et à la lutte pour la satisfaction des revendications contenues dans la plate-forme minimale commune ».
Par ailleurs, l’UDEN engage l’UNSAS à poursuivre avec les centrales syndicales le combat contre la vie chère et pour la défense du pouvoir d’achat des populations en général, et des travailleurs en particulier.
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Tout en célébrant leur journée, les enseignantes et enseignants sénégalais préparent la rentrée scolaire dans l’inquiétude et la frustration , souligne la même source. « Inquiétude et frustration liées à l’inertie des pouvoirs publics qui ne manifestent aucune volonté de créer les conditions d’une bonne rentrée scolaire. Des écoles sont occupées par des personnes victimes des inondations si elles ne sont pas simplement envahies par les eaux de pluie.
Les corps émergents sont confrontés à des retards inexplicables de salaires », renseigne le communiqué. En plus, note l’Uden, les négociations avec l’Intersyndicale sont bloquées et le gouvernement se complaît dans un silence inacceptable face aux revendications légitimes de l’Intersyndicale. Le Ministère de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle organise des Comités Régionaux de Développement (CRD) consacrés à la rentrée scolaire sans y associer les partenaires sociaux.
L’Uden se préoccupe de la situation des parents d’élèves qui préparent la rentrée dans un contexte marqué par la cherté de la vie, la dictature de la SENELEC et de la SDE. « En effet, les budgets familiaux sont grevés par les prix exorbitants des denrées de consommation courante, les factures d’électricité et d’eau qui augmentent sans cesse à l’insu des consommateurs, l’augmentation des frais parasites à l’école et à l’université. Situation beaucoup plus difficile pour les parents d’élèves victimes d’inondation : maisons abandonnées, enfants dispersés, moyens de survie inhumainement limités… », note la source.
Suffisant alors, pour que l’UDEN « dénonce l’amateurisme des pouvoirs publics face aux multiples menaces qui hypothèquent lourdement la rentrée scolaire ». Tout en « invitant l’Intersyndicale à la mobilisation et à la lutte pour la satisfaction des revendications contenues dans la plate-forme minimale commune ».
Par ailleurs, l’UDEN engage l’UNSAS à poursuivre avec les centrales syndicales le combat contre la vie chère et pour la défense du pouvoir d’achat des populations en général, et des travailleurs en particulier.
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