Prendre dans la bouche les parties intimes de son mari avant de les mordre. Voilà jusqu’où la jalousie morbide chez la femme peut parfois mener. Comme en atteste cette querelle de ménage qui a failli tourner au drame avant-hier au quartier Abdou Sané sis à Boune Village.
Auparavant, on nous signale que l’épouse était très amis à la nommé Nd.A.B qui passait souvent chez elle avant d’aller vendre ses feuilles de menthe appelées naana dans le quartier.
Un jour F.B.D, mariée à un des jardinier, profite de la visite de son amie de vendeuse de feuilles de menthe chez elle et lé présente à son mari, Ch.T.G. Elle demande à celui-ci de l’aider à se procurer dès fois desdites feuilles de menthe pour aller les vendre et avoir de quoi préparer le repas pour sa famille. Ce que l’époux a accepté de faire. Nd.A.B, la vendeuse de naana, passe alors de temps en temps au jardin de l’époux de son amie pour se procurer de la marchandise. Le jardinier lui vend tantôt à bas prix les produits, tantôt il les lui offre. Et profite de l’occasion pour prodiguer des conseils de persévérance et de courage à l’amie de son épouse veuve.
Seulement, outre cela, le jardinier nourrissait un béguin pour la jeune femme, mais il n’osait pas le lui dire. Il se contente juste d’appeler cette dernière « chérie », faisant ainsi référence certainement aux rapports d’amitié entre sa femme et la vendeuse de naana.
Cependant le jeune homme se plait parfois au détour d’une séance de thé chez lui à envisager de prendre comme deuxième femme l’amie de son épouse. Ceci, en présence même de sa légitime et de ses amis. Maie cela la dame mariée ne s’en offusquait pas pour tant pas. Elle préférait en rire et suggérait même à son mari de passer l’acte. Histoire de la décharger tant au moins du fardeau quotidien des travaux domestiques dans la maison.
Quelque temps après, le mari jardinier se jette à l’eau et convole en secondes noces avec la confidente de son épouse de vendeuse de feuilles de menthe qui rejoint aussitôt après le domicile conjugal. Une ambiance sereine prévaut dans la maison entre les deux amies devenues par la force du destin coépouse.
Toutefois, ce climat de paix a fini par voler en éclats lorsque la première épouse (l’aawo) a voulu aménager des espaces de liberté et dicter à la deuxième sa loi. Mieux, elle bombe le torse et sa targue d’avoir été celle qui a autorisé son mari de prendre son amie comme deuxième épouse (niarel). Mais, celle-ci s’en défend avec véhémence et affirme n’être en aucun cas redevable de la première.
Cet échange de propos a mis le feu aux poudres dans la relations entre les deux coépouses. Pour des brouilles et roupie de chansonnette, elles se disputent et se querellent. Elles se balancent des piques et se livrent à des emballages de caniveau. Quand le mari intervient, l’aawo (première épouse) tourne en dérision celui-ci et le traite de tous les noms devant les voisins. Lesquels s’interposent pour séparer les conjoints.
Dimanche dernier, F.B.D la première épouse s’affaire autour du petit déjeuner lorsque sa coépouse, ND.A.B, l’interpelle et lui demande de se hâter pour servir le repas. Car ses enfants pleurent de faim. Mais l’aawo fait la sourde oreille et continue à vaquer à ses taches ménagères. Comme pour narguer Nd.A.B, elle cesse d’attiser le feu du fourneau et se rend à la boutique du coin.
Du fait que sa coépouse tarde à revenir, la jeune femme rentre dans la cuisine et prend des tasses pour servir du quinquéliba à sa progéniture en pleurs. A cet instant, sa coépouse revient de la boutique et l’interpelle. D’un geste vif, elle lui arrache les tasses de café et lui demande de sortir de la cuisine. Mais, face eu refus de la deuxième, elle l’empoigne et la bouscule hors des lieux. Ainsi, éclate une bagarre entre elles.
Alerté par les vociférations, nous informe notre source, le mari dormait dans la chambre, déboule et accourt pour séparer ses deux épouses. Mais entre temps la première plus forte, a soulevé la deuxième, et l’envoyée au sol avant de s’asseoir sur elle. Et pendant qu’elle la roue de coups de poing, le chef de famille intervient, saisit sa main et tente de soulever. « C’est quand le mari a voulu sauver la deuxième en tentant de soulever la première sur sa coépouse que l’aawo s’est retournée contre lui. Elle lui a pris ensuite les parties intimes dans la bouche avant de les mordre à belles dents. Ce qui a arraché au mari en question des cris d’orfraie qui ont alertés les voisins. Lesquels ont accouru et tiré le maitre de céans des griffes de son épouse », dixit notre informateur.
En attendant les deux familles respectives des conjoints finissent leurs conciliables pour réconcilier ceux-ci et éventuellement faire table rase de l’incident, les commentaires vont bon train au quartier Aliou Sané de Boune Village.
Walf Grand-Place
Auparavant, on nous signale que l’épouse était très amis à la nommé Nd.A.B qui passait souvent chez elle avant d’aller vendre ses feuilles de menthe appelées naana dans le quartier.
Un jour F.B.D, mariée à un des jardinier, profite de la visite de son amie de vendeuse de feuilles de menthe chez elle et lé présente à son mari, Ch.T.G. Elle demande à celui-ci de l’aider à se procurer dès fois desdites feuilles de menthe pour aller les vendre et avoir de quoi préparer le repas pour sa famille. Ce que l’époux a accepté de faire. Nd.A.B, la vendeuse de naana, passe alors de temps en temps au jardin de l’époux de son amie pour se procurer de la marchandise. Le jardinier lui vend tantôt à bas prix les produits, tantôt il les lui offre. Et profite de l’occasion pour prodiguer des conseils de persévérance et de courage à l’amie de son épouse veuve.
Seulement, outre cela, le jardinier nourrissait un béguin pour la jeune femme, mais il n’osait pas le lui dire. Il se contente juste d’appeler cette dernière « chérie », faisant ainsi référence certainement aux rapports d’amitié entre sa femme et la vendeuse de naana.
Cependant le jeune homme se plait parfois au détour d’une séance de thé chez lui à envisager de prendre comme deuxième femme l’amie de son épouse. Ceci, en présence même de sa légitime et de ses amis. Maie cela la dame mariée ne s’en offusquait pas pour tant pas. Elle préférait en rire et suggérait même à son mari de passer l’acte. Histoire de la décharger tant au moins du fardeau quotidien des travaux domestiques dans la maison.
Quelque temps après, le mari jardinier se jette à l’eau et convole en secondes noces avec la confidente de son épouse de vendeuse de feuilles de menthe qui rejoint aussitôt après le domicile conjugal. Une ambiance sereine prévaut dans la maison entre les deux amies devenues par la force du destin coépouse.
Toutefois, ce climat de paix a fini par voler en éclats lorsque la première épouse (l’aawo) a voulu aménager des espaces de liberté et dicter à la deuxième sa loi. Mieux, elle bombe le torse et sa targue d’avoir été celle qui a autorisé son mari de prendre son amie comme deuxième épouse (niarel). Mais, celle-ci s’en défend avec véhémence et affirme n’être en aucun cas redevable de la première.
Cet échange de propos a mis le feu aux poudres dans la relations entre les deux coépouses. Pour des brouilles et roupie de chansonnette, elles se disputent et se querellent. Elles se balancent des piques et se livrent à des emballages de caniveau. Quand le mari intervient, l’aawo (première épouse) tourne en dérision celui-ci et le traite de tous les noms devant les voisins. Lesquels s’interposent pour séparer les conjoints.
Dimanche dernier, F.B.D la première épouse s’affaire autour du petit déjeuner lorsque sa coépouse, ND.A.B, l’interpelle et lui demande de se hâter pour servir le repas. Car ses enfants pleurent de faim. Mais l’aawo fait la sourde oreille et continue à vaquer à ses taches ménagères. Comme pour narguer Nd.A.B, elle cesse d’attiser le feu du fourneau et se rend à la boutique du coin.
Du fait que sa coépouse tarde à revenir, la jeune femme rentre dans la cuisine et prend des tasses pour servir du quinquéliba à sa progéniture en pleurs. A cet instant, sa coépouse revient de la boutique et l’interpelle. D’un geste vif, elle lui arrache les tasses de café et lui demande de sortir de la cuisine. Mais, face eu refus de la deuxième, elle l’empoigne et la bouscule hors des lieux. Ainsi, éclate une bagarre entre elles.
Alerté par les vociférations, nous informe notre source, le mari dormait dans la chambre, déboule et accourt pour séparer ses deux épouses. Mais entre temps la première plus forte, a soulevé la deuxième, et l’envoyée au sol avant de s’asseoir sur elle. Et pendant qu’elle la roue de coups de poing, le chef de famille intervient, saisit sa main et tente de soulever. « C’est quand le mari a voulu sauver la deuxième en tentant de soulever la première sur sa coépouse que l’aawo s’est retournée contre lui. Elle lui a pris ensuite les parties intimes dans la bouche avant de les mordre à belles dents. Ce qui a arraché au mari en question des cris d’orfraie qui ont alertés les voisins. Lesquels ont accouru et tiré le maitre de céans des griffes de son épouse », dixit notre informateur.
En attendant les deux familles respectives des conjoints finissent leurs conciliables pour réconcilier ceux-ci et éventuellement faire table rase de l’incident, les commentaires vont bon train au quartier Aliou Sané de Boune Village.
Walf Grand-Place