La maladie de Parkinson touche plus de dix millions de personnes dans le monde : tremblements, rigidité des membres, difficulté à se mouvoir... Ses symptômes sont très handicapants, car la maladie frappe des neurones bien spécifiques du cerveau.
Cette équipe japonaise est donc allée mener le combat dans le cerveau. Puisque les neurones sont atteints, il faut donc en fabriquer des nouveaux. Pour y parvenir, les chercheurs se sont appuyés sur des cellules souches pluripotentes induites (IPS, pour induced pluripotent stem cells). Il s'agit de cellules adultes, mais rajeunies, comme si elles faisaient partie d'un embryon. Elles retrouvent alors la faculté de produire n'importe quel autre type de cellules en fonction de l'endroit du corps où elles sont transplantées.
Cette équipe de l'université de Kyoto en a donc implanté 2,5 millions dans l'hémisphère gauche du cerveau d'un patient atteint de la maladie de Parkinson, avec l'espoir que de nouveaux neurones se développent.
Il est malheureusement encore trop tôt pour savoir si l'expérience est concluante, mais l'opération s'est en tout cas bien passée. Les chercheurs se donnent désormais six mois, pour vérifier qu'aucun problème n'est apparu. C'est ensuite l'hémisphère droit du cerveau du patient qui recevra ses nouvelles cellules.
rfi.fr
Cette équipe japonaise est donc allée mener le combat dans le cerveau. Puisque les neurones sont atteints, il faut donc en fabriquer des nouveaux. Pour y parvenir, les chercheurs se sont appuyés sur des cellules souches pluripotentes induites (IPS, pour induced pluripotent stem cells). Il s'agit de cellules adultes, mais rajeunies, comme si elles faisaient partie d'un embryon. Elles retrouvent alors la faculté de produire n'importe quel autre type de cellules en fonction de l'endroit du corps où elles sont transplantées.
Cette équipe de l'université de Kyoto en a donc implanté 2,5 millions dans l'hémisphère gauche du cerveau d'un patient atteint de la maladie de Parkinson, avec l'espoir que de nouveaux neurones se développent.
Il est malheureusement encore trop tôt pour savoir si l'expérience est concluante, mais l'opération s'est en tout cas bien passée. Les chercheurs se donnent désormais six mois, pour vérifier qu'aucun problème n'est apparu. C'est ensuite l'hémisphère droit du cerveau du patient qui recevra ses nouvelles cellules.
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