Ces derniers jours, l’acteur espagnol Javier Bardem, instrumentalisé par Alger et le polisario dans le but de déjecter sa haine viscérale du Royaume du Maroc, a tout tenté pour porter atteinte à l’excellence des relations franco-marocaines.
Pour ce faire, il a usé de mensonges attribuant des propos insultants contre le Maroc d’abord à l’Ambassadeur de France à Washington puis au Représentant Permanent de Paris à l’ONU à New York lors d’une déclaration faite en marge de la promotion de son documentaire pro-polisarien financé totalement par ses amis algériens.
Ce bide n’a d’ailleurs pas attiré grand monde à Paris et le Ministère français des Affaires Etrangères ainsi que le diplomate français mis en cause ont apporté un démenti cinglant à ses propos diffamatoires.
Face à cet échec retentissant et poursuivant son action malfaisante anti-marocaine télécommanditée par certaines autorités à Alger contre le Maroc, voilà que cet acteur à la solde s’est vu asséner une magistrale correction par son compatriote et Président du prestigieux «Real Instituto Elcano», Monsieur Emilio Lamo de Espinosa.
C’est ainsi, qu’en réponse aux propos humiliants et déplacés sur le Maroc de cet acteur, Monsieur Lamo de Espinosa a affirmé aux micros de l’Agence Europa press, le 24 février 2014, qu’il plaidait pour une autonomie au Sahara sous souveraineté marocaine avec de larges prérogatives de gouvernance locale.
Il a également, rappelé que cette position constitue la priorité des priorités de la Politique Etrangère espagnole et que l’Etat espagnol ne peut cautionner une quelconque tentative d’atteinte à l’intégrité territoriale ou à la souveraineté nationale marocaine.
Une caution qui serait en totale contadiction avec son refus d’accorder à certaines régions l’indépendance ou d’organiser un référendum sur leur indépendance. C’est le cas, entre autres du Pays Basque et la Catalogne.
Dans ce cadre, et face à ce danger d’atomisation des Etat, l’Instituto Real Elcano a publié un rapport dans lequel il est souligné les dangers de la création d'un micro-Etat qui mettrait en péril la sécurité de l'ensemble de la région.
Une situation qui perdure depuis près de quatre décénnies en raison de l’entêtement des autorités algériennes qui ont créé ce conflit artificiel qui constitue, aujourd’hui, une source de préoccupation sécuritaire qui va au-delà de la région maghrébine.
Aussi, ce rapport, appelle le Royaume d’Espagne à adopter une position plus proactive pour envisager une solution d'autonomie, véritable et garantie, mais aussi la communauté internationale à œuvrer pour que le Maroc et l’Algérie parviennent à un accord visant à promouvoir la paix et la croissance économique au Maghreb.
Pour mémoire, ce rapport a été élaboré par un groupe d'experts et de professionnels dans différents domaines notamment des chercheurs, de hauts cadres de l'administration, des représentants des multinationales et des PME, des ONG, des syndicats, ou encore des journalistes spécialisés ainsi que des députés et sénateurs.
En conclusion, le sieur Javier Vardem en a eu pour son grade et le plus dur pour lui reste à venir lorsqu’il sera poursuivi pour diffamation par les autorités françaises.
Pour ce faire, il a usé de mensonges attribuant des propos insultants contre le Maroc d’abord à l’Ambassadeur de France à Washington puis au Représentant Permanent de Paris à l’ONU à New York lors d’une déclaration faite en marge de la promotion de son documentaire pro-polisarien financé totalement par ses amis algériens.
Ce bide n’a d’ailleurs pas attiré grand monde à Paris et le Ministère français des Affaires Etrangères ainsi que le diplomate français mis en cause ont apporté un démenti cinglant à ses propos diffamatoires.
Face à cet échec retentissant et poursuivant son action malfaisante anti-marocaine télécommanditée par certaines autorités à Alger contre le Maroc, voilà que cet acteur à la solde s’est vu asséner une magistrale correction par son compatriote et Président du prestigieux «Real Instituto Elcano», Monsieur Emilio Lamo de Espinosa.
C’est ainsi, qu’en réponse aux propos humiliants et déplacés sur le Maroc de cet acteur, Monsieur Lamo de Espinosa a affirmé aux micros de l’Agence Europa press, le 24 février 2014, qu’il plaidait pour une autonomie au Sahara sous souveraineté marocaine avec de larges prérogatives de gouvernance locale.
Il a également, rappelé que cette position constitue la priorité des priorités de la Politique Etrangère espagnole et que l’Etat espagnol ne peut cautionner une quelconque tentative d’atteinte à l’intégrité territoriale ou à la souveraineté nationale marocaine.
Une caution qui serait en totale contadiction avec son refus d’accorder à certaines régions l’indépendance ou d’organiser un référendum sur leur indépendance. C’est le cas, entre autres du Pays Basque et la Catalogne.
Dans ce cadre, et face à ce danger d’atomisation des Etat, l’Instituto Real Elcano a publié un rapport dans lequel il est souligné les dangers de la création d'un micro-Etat qui mettrait en péril la sécurité de l'ensemble de la région.
Une situation qui perdure depuis près de quatre décénnies en raison de l’entêtement des autorités algériennes qui ont créé ce conflit artificiel qui constitue, aujourd’hui, une source de préoccupation sécuritaire qui va au-delà de la région maghrébine.
Aussi, ce rapport, appelle le Royaume d’Espagne à adopter une position plus proactive pour envisager une solution d'autonomie, véritable et garantie, mais aussi la communauté internationale à œuvrer pour que le Maroc et l’Algérie parviennent à un accord visant à promouvoir la paix et la croissance économique au Maghreb.
Pour mémoire, ce rapport a été élaboré par un groupe d'experts et de professionnels dans différents domaines notamment des chercheurs, de hauts cadres de l'administration, des représentants des multinationales et des PME, des ONG, des syndicats, ou encore des journalistes spécialisés ainsi que des députés et sénateurs.
En conclusion, le sieur Javier Vardem en a eu pour son grade et le plus dur pour lui reste à venir lorsqu’il sera poursuivi pour diffamation par les autorités françaises.