Sa tentation à toujours faire et dire ce qu’il veut, va t-il continuer à lui réussir ? En tout cas de retour du Sénégal-oriental où il s’était retiré depuis la défaite de son mentor et au moment une traque est organisée contre les “biens volés” de l’Etat est lancée depuis la semaine dernière par la Présidence de la République, Farba Senghor a estimé n’avoir rien à reprocher, encore moins de compte à rendre à qui que ce soit. Une information relayée par le quotidien EnQuête.
Et le journal ne manque d’ailleurs pas de se demander si Farba Senghor ne s’était pas terré dans ce coin reculé du pays pour espérer échapper à une certaine vindicte populaire ? Ou S’il s’y était rendu pour préparer sa “défense mystique” étant entendu que, aux yeux d’une bonne partie de l’opinion, il est un symbole vivant du wadisme et de ses dérives ? Ou encore s’’il y faisait de la “chasse”, comme le disent des mauvaises langues, pour décompresser après le pénible tournant du 25 mars, au milieu d’une nature locale plus clémente que l’ambiance délétère qui prévaut chez les libéraux ?
A toutes ces questions, cet “élément hors du commun” n’a point voulu répondre à EnQuête à qui il a reproché de lui avoir systématiquement refusé une interview...
“La saison de chasse est close depuis longtemps”, rappelle un responsable politique libéral à celui qui n’a pas été tout blanc dans le saccage des quotidiens L’AS et 24H Chrono. Pour des habitants de Koumpentoum, Farba Senghor a quand même pris le temps de s’occuper de son cheptel, une masse importante de vaches biens grasses ravitaillées en eau au détriment des populations avec l’aide d’un responsable local du Pds. En l’occurence le maire de Koumpentoum, Sidy Traoré, que nous n’avons pu joindre au téléphone.
Farba Senghor va-t-il répondre à des questions de police ou de gendarmerie dans le cadre de la traque des “biens volés” à la communauté nationale ? De toutes façons, il lui était impossible de “se cacher” à Koumpentoum. Parole d’un citoyen de là-bas : “s’il restait ici, nous étions décidés à le menotter et à le rendre au gouvernement.”
Aujourd’hui, ce wadiste (éternel ?) est déterminé à se défendre contre tout. Avec ces précisions : “je me suis rendu au-delà même de Koumpentoum pour des affaires personnelles. Je ne me prononcerai pas sur ce voyage privé. Que les gens racontent ce qu’ils veulent, je m’en passe. D’ailleurs, je n’ai rien à vous dire.” Puis : “je parlerai au moment opportun, mais ce n’est pas à vous que je m’adresserai en premier.” Avant de clore le débat sur un fulgurant : “d’ailleurs, je n’ai de comptes à rendre à personne.”
SOURCE:NETTALI.NET
Et le journal ne manque d’ailleurs pas de se demander si Farba Senghor ne s’était pas terré dans ce coin reculé du pays pour espérer échapper à une certaine vindicte populaire ? Ou S’il s’y était rendu pour préparer sa “défense mystique” étant entendu que, aux yeux d’une bonne partie de l’opinion, il est un symbole vivant du wadisme et de ses dérives ? Ou encore s’’il y faisait de la “chasse”, comme le disent des mauvaises langues, pour décompresser après le pénible tournant du 25 mars, au milieu d’une nature locale plus clémente que l’ambiance délétère qui prévaut chez les libéraux ?
A toutes ces questions, cet “élément hors du commun” n’a point voulu répondre à EnQuête à qui il a reproché de lui avoir systématiquement refusé une interview...
“La saison de chasse est close depuis longtemps”, rappelle un responsable politique libéral à celui qui n’a pas été tout blanc dans le saccage des quotidiens L’AS et 24H Chrono. Pour des habitants de Koumpentoum, Farba Senghor a quand même pris le temps de s’occuper de son cheptel, une masse importante de vaches biens grasses ravitaillées en eau au détriment des populations avec l’aide d’un responsable local du Pds. En l’occurence le maire de Koumpentoum, Sidy Traoré, que nous n’avons pu joindre au téléphone.
Farba Senghor va-t-il répondre à des questions de police ou de gendarmerie dans le cadre de la traque des “biens volés” à la communauté nationale ? De toutes façons, il lui était impossible de “se cacher” à Koumpentoum. Parole d’un citoyen de là-bas : “s’il restait ici, nous étions décidés à le menotter et à le rendre au gouvernement.”
Aujourd’hui, ce wadiste (éternel ?) est déterminé à se défendre contre tout. Avec ces précisions : “je me suis rendu au-delà même de Koumpentoum pour des affaires personnelles. Je ne me prononcerai pas sur ce voyage privé. Que les gens racontent ce qu’ils veulent, je m’en passe. D’ailleurs, je n’ai rien à vous dire.” Puis : “je parlerai au moment opportun, mais ce n’est pas à vous que je m’adresserai en premier.” Avant de clore le débat sur un fulgurant : “d’ailleurs, je n’ai de comptes à rendre à personne.”
SOURCE:NETTALI.NET