Non sans faire noter en wolof : «xamoon naa mbir yi nu muy demee (Je savais comment les choses allaient se passer)». Pour Daniel Seck, les quelques jours passés en prison «c'est des moments qu'on passe et qui vous marquent pour la vie».
«Ce qui était difficile, c'est la famille que j'ai laissé derrière»
Pour la suite de la procédure, M. Seck s'est réfugié dans un silence, préférant s'en remettre à ses conseils. «La suite, c'est entre les mains de mes avocats. Je laisse mes avocats se prononcer sur cette question», dit-il.
Revenant sur les conditions de détention à la prison centrale, Daniel Seck déclare : «Ce que j'ai trouvé à Rebeuss, c'est une famille. Rebeuss, c'est une solidarité très forte entre ses membres qui sont aussi des humains. J'ai trouvé des gens dignes, forts avec des cœurs purs». Ce qui fonde cette solidarité, poursuit M. Seck, «c'est de savoir qu'ils (les prisonniers) sont dans le même espace, vivant les mêmes situations très souvent dures, difficiles, mais qui vous réunissent, qui vous ramènent à l'essentiel, c'est-à-dire à Dieu».
Bachir Fofana
Source Le Populaire
«Ce qui était difficile, c'est la famille que j'ai laissé derrière»
Pour la suite de la procédure, M. Seck s'est réfugié dans un silence, préférant s'en remettre à ses conseils. «La suite, c'est entre les mains de mes avocats. Je laisse mes avocats se prononcer sur cette question», dit-il.
Revenant sur les conditions de détention à la prison centrale, Daniel Seck déclare : «Ce que j'ai trouvé à Rebeuss, c'est une famille. Rebeuss, c'est une solidarité très forte entre ses membres qui sont aussi des humains. J'ai trouvé des gens dignes, forts avec des cœurs purs». Ce qui fonde cette solidarité, poursuit M. Seck, «c'est de savoir qu'ils (les prisonniers) sont dans le même espace, vivant les mêmes situations très souvent dures, difficiles, mais qui vous réunissent, qui vous ramènent à l'essentiel, c'est-à-dire à Dieu».
Bachir Fofana
Source Le Populaire