Allusion faite aux récentes remontrances du président Wade contre Marcia Bernicat, suite à la lettre du Département d’Etat américain dénonçant la corruption au Sénégal. Mais, ce n’est pas tout, Rufin rappelle encore que les tentatives de le faire partir remontent également aux Assisses nationales, « périodes de tension extrême ».
Le diplomate-écrivain révèle cependant que son successeur, Nicolas Armand, « était déjà pressenti » depuis le 6 avril 2010, depuis la visite qu’avait rendue Karim Wade à l’Elysée ». Rufin insinue ainsi que le fils du chef de l’Etat y est pour quelque chose. Diplomatiquement. Le désormais ex-ambassadeur de France à Dakar « ne préfère » même « pas s’exprimer » sur ses relations avec Karim Wade, mais a une « admiration » pour le père, Abdoulaye Wade.
La Gazette
Le diplomate-écrivain révèle cependant que son successeur, Nicolas Armand, « était déjà pressenti » depuis le 6 avril 2010, depuis la visite qu’avait rendue Karim Wade à l’Elysée ». Rufin insinue ainsi que le fils du chef de l’Etat y est pour quelque chose. Diplomatiquement. Le désormais ex-ambassadeur de France à Dakar « ne préfère » même « pas s’exprimer » sur ses relations avec Karim Wade, mais a une « admiration » pour le père, Abdoulaye Wade.
La Gazette