École à la maison, retour échelonné dans les classes à partir du 11 mai, décrochage scolaire, mais également la question des augmentations de salaire des enseignants, sont autant de thèmes abordés par le ministre de l'Éducation dans cet entretien accordé à RFI et France24, ce vendredi 24 avril.
Voici les principales déclarations du ministre de l'Education lors de cet entretien.
« Le retour à l’école sur la base du volontariat n’est pas un accroc à la loi de Jules Ferry de 1882, c’est l’instruction qui est obligatoire pas l’école. »
« Les professeurs ont envie de retrouver leurs élèves, j’en ai de nombreux témoignages. »
« Il se joue sous nos yeux une catastrophe éducative mondiale qui est le décrochage de millions d’élèves à l’échelle du monde dont les conséquences peuvent être graves. »
« Il n’y a pas que le Covid qui tue, le décrochage scolaire à des conséquences sociales potentiellement graves... c’est pour cela qu’on ne choisi pas de fermer les écoles ad vitam aeternam jusqu’à ce qu’il y ait un vaccin. »
Des augmentations de salaire était programmées pour les enseignants au cours des prochaines années avec l’explosion de la dépense publique et donc de la dette...les engagements pourront-ils être tenus ?
Réponse du ministre : « C’est un sujet que nous allons regarder attentivement... c’est ce que je vais porter dans le nouveau contexte économique qui sera le nôtre après le confinement... je ferai le maximum pour ne pas dévier de la route que nous avions commencer à prendre. »
Voici les principales déclarations du ministre de l'Education lors de cet entretien.
« Le retour à l’école sur la base du volontariat n’est pas un accroc à la loi de Jules Ferry de 1882, c’est l’instruction qui est obligatoire pas l’école. »
« Les professeurs ont envie de retrouver leurs élèves, j’en ai de nombreux témoignages. »
« Il se joue sous nos yeux une catastrophe éducative mondiale qui est le décrochage de millions d’élèves à l’échelle du monde dont les conséquences peuvent être graves. »
« Il n’y a pas que le Covid qui tue, le décrochage scolaire à des conséquences sociales potentiellement graves... c’est pour cela qu’on ne choisi pas de fermer les écoles ad vitam aeternam jusqu’à ce qu’il y ait un vaccin. »
Des augmentations de salaire était programmées pour les enseignants au cours des prochaines années avec l’explosion de la dépense publique et donc de la dette...les engagements pourront-ils être tenus ?
Réponse du ministre : « C’est un sujet que nous allons regarder attentivement... c’est ce que je vais porter dans le nouveau contexte économique qui sera le nôtre après le confinement... je ferai le maximum pour ne pas dévier de la route que nous avions commencer à prendre. »