
Jean Paul Dias estime que toutes les personnes citées dans cette affaire doivent être mises à l’écart. « Je pense qu’aujourd’hui la situation est telle que le directeur général de la Police nationale, qui est accusé par quelqu’un de la maison, à mon avis, n’a plus à rester à sa place. Si c’était moi qui décidais, il ne serait plus à sa place (…) De même, la manière dont le commissaire Cheikhna Këita a été écarté, je crois que le commissaire Abdoulaye Niang devrait être écarté sans délai », a-t-il dit les colonnes du Populaire.