Au sommet de la gloire à Dakar, pendant qu’elles explosaient les plateaux de la mode ou du spectacle, les épicuriennes à Dakar évoluaient dans des secteurs d’activité comme la coiffure ou le mannequinat. Nombre d’entre elles ont d’ailleurs acquises une réputation nationale avant de céder aux sirènes de l’exode. Mais que font-elles une fois les pieds à terre dans la capitale mondiale du vice ? Les rares exemples cités et qui font la fierté nationale ont saisi des opportunités pour se reconvertir dans des activités lucratives qui leur permet de vivre heureux. Par contre d’autres, perdues dans la grisaille parisienne évoluent dans des circuits lugubres. En effet, de sources concordantes, comme escort gilr, cover girl ou simplement prostitués, les plus téméraires s’aventurent dans des relations qui vient souvent au drame. Aussi et c’est flagrant, certains profils rendus célèbres par la danse ou n’ayant aucune référence professionnelle se déploient de plus en plus dans les services domestiques ou la restauration. De quoi dire qu’elles trouvent toujours un moyen de se recycler même si certaines offres, peu recommandables, commencent à émerger dans le milieu du travail noir en France.
xibar.net
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