Le livre, qui sera dans les librairies fin septembre, est préfacé par l’ancien directeur général de l’Unesco, Amadou Makhtar Mbow, avec un avant-propos de Robert Badinter, ex-président du Conseil constitutionnel français, ex-ministre de la Justice de François Mitterrand, et maître d’œuvre de l’abolition de la peine de mort en France.
Titré provisoirement "Kéba Mbaye, juge et faiseur de lois", l’ouvrage revient sur le parcours exceptionnel de celui qui fut vice-président de la Cour internationale de justice (CIJ) de La Haye, maître d’œuvre du traité de l’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (Ohada), concepteur du Tribunal arbitral du sport, rédacteur de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, modernisateur des règles d’éthique du Comité international olympique (CIO).
Jeune Afrique nous apprend que l’auteur revient - avec des révélations inédites - sur le discours historique du juge Mbaye à l’occasion de la prestation de serment d’Abdou Diouf en 1981, et sur l’épisode de sa démission du Conseil constitutionnel en 1993, en plein chaos électoral au Sénégal.
Cheikh Yérim Seck revisite également les rapports du juge mondialement connu avec des leaders comme Nelson Mandela, Sam Nujoma, Fidel Castro, Juan Carlos... mais également avec les trois présidents successifs du Sénégal.
www.sen24heures.com
Titré provisoirement "Kéba Mbaye, juge et faiseur de lois", l’ouvrage revient sur le parcours exceptionnel de celui qui fut vice-président de la Cour internationale de justice (CIJ) de La Haye, maître d’œuvre du traité de l’Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (Ohada), concepteur du Tribunal arbitral du sport, rédacteur de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, modernisateur des règles d’éthique du Comité international olympique (CIO).
Jeune Afrique nous apprend que l’auteur revient - avec des révélations inédites - sur le discours historique du juge Mbaye à l’occasion de la prestation de serment d’Abdou Diouf en 1981, et sur l’épisode de sa démission du Conseil constitutionnel en 1993, en plein chaos électoral au Sénégal.
Cheikh Yérim Seck revisite également les rapports du juge mondialement connu avec des leaders comme Nelson Mandela, Sam Nujoma, Fidel Castro, Juan Carlos... mais également avec les trois présidents successifs du Sénégal.
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