Au village de Keur Daouda Sarr, situé près de l’autoroute à péage et à 3 km de la ville de Rufisque, un adolescent de 16 ans, candidat au BFEM (brevet de fin d’études moyennes) n’a hélas pas eu la chance de passer son examen.
Pape Saliou Faye s’est noyé dans un bassin de rétention qui est en fait un chantier que la société française, Eiffage, avait laissé sans aucune protection.
Les eaux de pluie ont fini par remplir ce vaste trou, le transformant en étang dans lequel les enfants de la localité, en cette période de forte canicule et d’interdiction des plages, viennent se baigner. en dépit de l’interpellation des populations, la société Eiffage n’avait pas jugé utile de fermer l’excavation où s’est produit le drame.
La famille Faye accuse la société française d’avoir ôté la vie à son jeune garçon de 16 ans, le lundi 17 aoüt 2020 passé.
Dans cette vague, la période hivernale s’annonce très difficile pour les habitants de la commune de Diamaguène et environs. Déjà, certains ménages ont été impactés par les dernières pluies enregistrées dans la banlieue puisque leurs maisons ont été envahies par les eaux pluviales.
A cette forte inquiétude s’ajoute l’insalubrité grandissante dans cette populeuse commune. en effet, des habitants profitent de la pluie pour vider leurs fosses septiques sur la voie publique. Ce que condamnent les riverains qui exigent la présence des agents du Service national d’Hygiène pour dissuader ceux qui participent à la détérioration d’un cadre de vie déjà pas trop salubre !
Les pluies ont causé d’énormes dégâts à Diamaguène, rendant inaccessibles certaines zones de la commune éponyme comme Wakhinane, Sam-Sam entre autres. La hantise des inondations fait que ici, paradoxalement, les chefs de famille prient pour que l’hivernage… ne soit pas pluvieux !
« Nos maison sont inondées, les routes n’en parlons pas. L’Etat ne fait rien pour nous venir en aide. Il ne nous reste qu’à prier. Sinon ça risque d’être beaucoup plus compliqué pour nous » convie un vieillard qui habite au quartier Dioubo. Le phénomène est récurrent !
Avec Le Témoin
Pape Saliou Faye s’est noyé dans un bassin de rétention qui est en fait un chantier que la société française, Eiffage, avait laissé sans aucune protection.
Les eaux de pluie ont fini par remplir ce vaste trou, le transformant en étang dans lequel les enfants de la localité, en cette période de forte canicule et d’interdiction des plages, viennent se baigner. en dépit de l’interpellation des populations, la société Eiffage n’avait pas jugé utile de fermer l’excavation où s’est produit le drame.
La famille Faye accuse la société française d’avoir ôté la vie à son jeune garçon de 16 ans, le lundi 17 aoüt 2020 passé.
Dans cette vague, la période hivernale s’annonce très difficile pour les habitants de la commune de Diamaguène et environs. Déjà, certains ménages ont été impactés par les dernières pluies enregistrées dans la banlieue puisque leurs maisons ont été envahies par les eaux pluviales.
A cette forte inquiétude s’ajoute l’insalubrité grandissante dans cette populeuse commune. en effet, des habitants profitent de la pluie pour vider leurs fosses septiques sur la voie publique. Ce que condamnent les riverains qui exigent la présence des agents du Service national d’Hygiène pour dissuader ceux qui participent à la détérioration d’un cadre de vie déjà pas trop salubre !
Les pluies ont causé d’énormes dégâts à Diamaguène, rendant inaccessibles certaines zones de la commune éponyme comme Wakhinane, Sam-Sam entre autres. La hantise des inondations fait que ici, paradoxalement, les chefs de famille prient pour que l’hivernage… ne soit pas pluvieux !
« Nos maison sont inondées, les routes n’en parlons pas. L’Etat ne fait rien pour nous venir en aide. Il ne nous reste qu’à prier. Sinon ça risque d’être beaucoup plus compliqué pour nous » convie un vieillard qui habite au quartier Dioubo. Le phénomène est récurrent !
Avec Le Témoin