L’Olympique Lyonnais a lancé une grande braderie. Tous les joueurs ou presque sont à vendre. Les noms de Michel Bastos, Cris, Hugo Lloris, Kim Källström, Aly Cissokho ou encore Bafetimbi Gomis sont annoncés sur le départ. En revanche, on n’a encore quasiment rien entendu au sujet de Jimmy Briand (26 ans). Les Gones semblent donc compter sur lui pour prendre toujours plus d’importance dans le groupe rhodanien. Et ça tombe bien, il est prêt à assumer, comme il l’a déclaré dans les colonnes du Progrès.
« J’ai déjà un rôle de relais. Je m’entends très bien avec les jeunes, et très bien avec les plus âgés. Après, je suis réservé, j’aime mieux me montrer sur le terrain, me défoncer, je suis respecté pour ça je pense. Maintenant si j’ai quelque chose à dire à quelqu’un, je ne me gêne pas… J’ai la confiance du coach, du président. Je me sens très bien dans le projet de l’OL. J’espère découvrir le Grand Stade de l’OL. Ma famille se plaît à Lyon », a-t-il lâché. Pas toujours brillant, l’ancien Rennais reste un modèle d’implication et de dévouement, valeurs chères à Rémi Garde pour la reconstruction du groupe.
« Quand on mouille le maillot, on fait déjà une partie du chemin pour trouver la réussite. Depuis tout petit, je me dis que j’ai le droit d’être moins bon, mais je n’ai pas le droit d’affaiblir l’équipe en n’étant pas à 100 %. On ne peut pas lâcher les coéquipiers. Cette année si on se met minable, on sera aussi dangereux que les autres équipes », a-t-il confié, avant de prendre son cas personnel pour exemple. « La saison dernière, j’ai été un peu chahuté par les supporters. Je me suis réfugié dans le travail. Le fait de ne pas être décisif faisait que l’on ne voyait pas mon travail. Mais j’ai toujours fait passer l’équipe avant moi. Après, ces buts contre l’ASSE ont été un déclic », a-t-il expliqué.
D’ailleurs, il nourrit de très hautes ambitions à titre collectif bien sûr, mais aussi personnel. « Il faudra bien démarrer, allons chercher ce trophée des champions. On est moins attendus, mais on ne sera pas moins ambitieux. On n’est pas inférieurs aux autres. (...) C’est ma troisième année à l’OL. Je veux progresser, être décisif. J’ai bientôt dix ans de carrière dans les jambes, et je prends ça très au sérieux.Quatorze buts, c’est bien, mais il faut aller plus haut... », a-t-il conclu. Qu’on se le dise, Jimmy Briand se pose comme l’un des patrons de l’OL version 2012/13, un leader par l’exemple. Pour les autres...
Alexis Pereira
« J’ai déjà un rôle de relais. Je m’entends très bien avec les jeunes, et très bien avec les plus âgés. Après, je suis réservé, j’aime mieux me montrer sur le terrain, me défoncer, je suis respecté pour ça je pense. Maintenant si j’ai quelque chose à dire à quelqu’un, je ne me gêne pas… J’ai la confiance du coach, du président. Je me sens très bien dans le projet de l’OL. J’espère découvrir le Grand Stade de l’OL. Ma famille se plaît à Lyon », a-t-il lâché. Pas toujours brillant, l’ancien Rennais reste un modèle d’implication et de dévouement, valeurs chères à Rémi Garde pour la reconstruction du groupe.
« Quand on mouille le maillot, on fait déjà une partie du chemin pour trouver la réussite. Depuis tout petit, je me dis que j’ai le droit d’être moins bon, mais je n’ai pas le droit d’affaiblir l’équipe en n’étant pas à 100 %. On ne peut pas lâcher les coéquipiers. Cette année si on se met minable, on sera aussi dangereux que les autres équipes », a-t-il confié, avant de prendre son cas personnel pour exemple. « La saison dernière, j’ai été un peu chahuté par les supporters. Je me suis réfugié dans le travail. Le fait de ne pas être décisif faisait que l’on ne voyait pas mon travail. Mais j’ai toujours fait passer l’équipe avant moi. Après, ces buts contre l’ASSE ont été un déclic », a-t-il expliqué.
D’ailleurs, il nourrit de très hautes ambitions à titre collectif bien sûr, mais aussi personnel. « Il faudra bien démarrer, allons chercher ce trophée des champions. On est moins attendus, mais on ne sera pas moins ambitieux. On n’est pas inférieurs aux autres. (...) C’est ma troisième année à l’OL. Je veux progresser, être décisif. J’ai bientôt dix ans de carrière dans les jambes, et je prends ça très au sérieux.Quatorze buts, c’est bien, mais il faut aller plus haut... », a-t-il conclu. Qu’on se le dise, Jimmy Briand se pose comme l’un des patrons de l’OL version 2012/13, un leader par l’exemple. Pour les autres...
Alexis Pereira