Ainsi donc, comme le dit le journaliste de la Rts, « après New york, Cincinnati aux Usa, Brescia en Italie et Salou en Espagne, voilà que la France s’ajoute à cette liste non encore exhaustive des capitales occidentales qui se sont appropriées le message universaliste de Cheikh Ahmadou Bamba ». Ils ont répondu nombreux à l’appel du collectif des Mourides de France pour ajouter à la traditionnelle journée culturelle dédiée au fondateur du Mouridisme, qui s’est tenue au Gymnase Ambourget à Aulnay sous-Bois, une marche voulue comme un message de paix et de tolérance.
Une manière de vulgariser les enseignements du Cheikh qui a toujours combattu le racisme et constamment prôné l’amour de son prochain et la solidarité. Au cœur de Paris, du métro Barbès à la place de la République, les passants de la ville cosmopolite ont eu droit aux zikrs et autres khassaïdes, à la gloire de Dieu et du prophète Mouhamed (Psl). Et pour qui connaît l’histoire coloniale, en particulier celle de la déportation de Cheikh Ahmadou Bamba au Gabon où il a vécu durant sept longues années dans les pires conditions de détention, cette première est un événement d’une dimension exceptionnelle. Mais n’avait-il pas pardonné à ses bourreaux, lui le précurseur de la non-violence ?
Le journaliste revient sur l’émerveillement suscité auprès des passants et curieux massés aux feux rouges que cette clameur et cette foule déferlante, juste après la prière du vendredi. Surtout qu’il s’est agi de talibés disciplinés, joyeux et majoritairement habillés de blanc et qui arboraient des banderoles frappées de messages de paix. Si loin de l’image d’un Islam souvent présenté dans certains médiats comme à l’origine du terrorisme mondial. «Du Sénégal, nous marchons pour la paix à travers le monde pour faire connaître davantage le message de Cheikh Ahmadou Bamba». C'est la réponse servie aux interpellations, selon Abibou Mbaye. Les marcheurs ayant atteint leur objectif, Serigne Mame Mor Mbacké a expliqué que : «cette marche n’est pas une contestation, elle n’est pas une provocation, elle n’est pas un refus, mais aussi elle n’est pas une démonstration de force ».
Une manière de vulgariser les enseignements du Cheikh qui a toujours combattu le racisme et constamment prôné l’amour de son prochain et la solidarité. Au cœur de Paris, du métro Barbès à la place de la République, les passants de la ville cosmopolite ont eu droit aux zikrs et autres khassaïdes, à la gloire de Dieu et du prophète Mouhamed (Psl). Et pour qui connaît l’histoire coloniale, en particulier celle de la déportation de Cheikh Ahmadou Bamba au Gabon où il a vécu durant sept longues années dans les pires conditions de détention, cette première est un événement d’une dimension exceptionnelle. Mais n’avait-il pas pardonné à ses bourreaux, lui le précurseur de la non-violence ?
Le journaliste revient sur l’émerveillement suscité auprès des passants et curieux massés aux feux rouges que cette clameur et cette foule déferlante, juste après la prière du vendredi. Surtout qu’il s’est agi de talibés disciplinés, joyeux et majoritairement habillés de blanc et qui arboraient des banderoles frappées de messages de paix. Si loin de l’image d’un Islam souvent présenté dans certains médiats comme à l’origine du terrorisme mondial. «Du Sénégal, nous marchons pour la paix à travers le monde pour faire connaître davantage le message de Cheikh Ahmadou Bamba». C'est la réponse servie aux interpellations, selon Abibou Mbaye. Les marcheurs ayant atteint leur objectif, Serigne Mame Mor Mbacké a expliqué que : «cette marche n’est pas une contestation, elle n’est pas une provocation, elle n’est pas un refus, mais aussi elle n’est pas une démonstration de force ».