D’après les informations recueillies par Reporters sans frontières, au moins sept autres médias privés sont proches de mettre la clé sous la porte. Rsf appelle les autorités sénégalaises à veiller à ce que cette crise ne prive pas les Sénégalais d’une presse bouillonnante. Les médias sont les canaux de transmission du droit à l’information et les autorités en sont des garants.
« A ce stade, il est important que l’Etat et les acteurs des médias se concertent pour trouver des solutions bénéfiques pour le secteur et pour la démocratie.»
De son coté, la section sénégalaise de l’Union internationale de la presse francophone (Upf Sénégal) marque sa solidarité au Conseil des éditeurs et patrons de presse (Cdeps), à l’occasion de la Journée sans presse, mardi 13 août 2024. UPF Section Sénégal, conformément à ses statuts, est pour la protection de la presse.
Depuis les années Covid 2020 et 2021, le constat est général, la presse vit des moments difficiles avec des pertes d’emplois et des pressions de tout bord. Depuis quelques mois, une pression fiscale asphyxie les sociétés de presse avec les blocages des comptes pour redressement fiscal.
Les suspensions récentes de certaines conventions avec des sociétés d’Etat ont accéléré les difficultés des entreprises de presse. Face à ces difficultés économiques, l’UPF Sénégal invite l’Etat à ouvrir des discussions avec toutes les parties prenantes pour trouver des plages de convergence. Une concertation sereine doit être engagée pour trouver les solutions idoines face à cette crise pour la survie des entreprises de presse et la sauvegarde des emplois.»
« A ce stade, il est important que l’Etat et les acteurs des médias se concertent pour trouver des solutions bénéfiques pour le secteur et pour la démocratie.»
De son coté, la section sénégalaise de l’Union internationale de la presse francophone (Upf Sénégal) marque sa solidarité au Conseil des éditeurs et patrons de presse (Cdeps), à l’occasion de la Journée sans presse, mardi 13 août 2024. UPF Section Sénégal, conformément à ses statuts, est pour la protection de la presse.
Depuis les années Covid 2020 et 2021, le constat est général, la presse vit des moments difficiles avec des pertes d’emplois et des pressions de tout bord. Depuis quelques mois, une pression fiscale asphyxie les sociétés de presse avec les blocages des comptes pour redressement fiscal.
Les suspensions récentes de certaines conventions avec des sociétés d’Etat ont accéléré les difficultés des entreprises de presse. Face à ces difficultés économiques, l’UPF Sénégal invite l’Etat à ouvrir des discussions avec toutes les parties prenantes pour trouver des plages de convergence. Une concertation sereine doit être engagée pour trouver les solutions idoines face à cette crise pour la survie des entreprises de presse et la sauvegarde des emplois.»