Plus de 50 cas signalés entre mars et septembre selon la présidente de la Synergie des Organisations de la Société civile (Sysc), Penda Seck Diouf.En ce jour de 25 novembre est célébré la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. Ceci est une occasion pour fustiger ces violences qui ne cessent de perdurer.
La même source renseigne sur l’effet de la pandémie de la Covid-19 qui n’a pas seulement causé des dégâts économiques et sanitaires. Elle a également eu un impact réel sur les violences basées sur le genre, à savoir la violence conjugale, la violence sexuelle, le mariage d’enfants et les mutilations génitales féminines. Au moins une cinquantaine de cas ont été signalés entre mars et septembre par le Comité de Lutte contre les Violences faites aux Femmes et aux Enfants (CLVF).Sans compter, ajoute la source, les cas enregistrés par les organisations de la société civile.
La présidente de la Sysc, souligne en effet que le confinement a permis de noter une nouvelle forme de violence liée entre autres à la marginalisation, la stigmatisation, la distanciation intime ainsi que l’abandon de familles chez les femmes et les filles.
Source : https://letemoin.sn/journee-internationale-de-lutt...