À une dizaine de jours du coup d’envoi de l’Open international de judo de Dakar, le comité d’organisation est de plain-pied dans les préparatifs. Pour la huitième fois, la capitale sénégalaise sera le lieu de rendez-vous des judokas d’Afrique et du monde, du 9 au 12 novembre prochain.
Selon le président dudit comité, ‘’toutes les dispositions sont prises pour que les choses se passent bien et que les hôtes soient accueillis dans de bonnes conditions’’. Pour cela, les sept commissions mises en place sont en train de travailler à tout mettre en œuvre.
‘’Ce qui est important dans ce genre d’organisation, c’est déjà de caler l’accueil, le transport et l’hébergement. Et sur ces trois points, on est prêt à accueillir nos hôtes qui vont venir à partir du 6 novembre. On est train de travailler sur d’autres aspects, notamment médicaux, sécuritaires, etc. On est fin prêt’’, a assuré Me Idrissa Diop.
Cette année, le comité d’organisation attend plus de combattants que d’habitude. ‘’Aujourd’hui, on est à 34 pays et j’ai reçu tout de suite l’accréditation du Maroc. On espère d’ici à la fermeture avoir autour de 250 participants’’, a informé Me Diop. Cette hausse du nombre de participants s’explique par le fait qu’il s’agit de l’avant-dernière compétition, avant les Jeux olympiques 2024, où les athlètes peuvent chercher des points au niveau continental.
‘’Après Dakar, c’est Yaoundé. Les gens aiment bien venir à Dakar, vu le nombre de personnes, où ils ont l’opportunité d’acquérir des points pour améliorer leur ranking au niveau mondial’’, a expliqué Idrissa Diop.
Au-delà du succès organisationnel, le comité vise également ‘’d’excellents résultats sportifs’’. ‘’On souhaite aussi que l’hymne du Sénégal retentisse, comme c’est le cas depuis le début de l’année, 22 fois à travers l’Afrique’’.
Le président du comité d’organisation s’attend à une compétition ‘’assez relevée, avec beaucoup de challengers’’. ‘’C’est un dernier virage. Il y a des gens qui viennent des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de l’Amérique latine’’.
L’autre nouveauté de cette édition, c’est l’intégration dans la compétition des catégories cadette et junior. ‘’Avant, c’était uniquement les séniors. Maintenant, il y a l’open et la coupe pour les cadets et juniors. C’est pour cette raison que ce sera sur quatre jours’’, a fait savoir Me Diop.
Cela, a-t-il dit, pour permettre ‘’aux judokas sénégalais en cadet et en junior, de se frotter à d’autres pays africains pour se préparer aux échéances futures. À l’en croire, tous les autres pays le font pour préparer leurs jeunes combattants ‘’U20, U17…, à être prêts pour les échéances futures, pour nous valoir des médailles mondiales’’.
EnQuête
Selon le président dudit comité, ‘’toutes les dispositions sont prises pour que les choses se passent bien et que les hôtes soient accueillis dans de bonnes conditions’’. Pour cela, les sept commissions mises en place sont en train de travailler à tout mettre en œuvre.
‘’Ce qui est important dans ce genre d’organisation, c’est déjà de caler l’accueil, le transport et l’hébergement. Et sur ces trois points, on est prêt à accueillir nos hôtes qui vont venir à partir du 6 novembre. On est train de travailler sur d’autres aspects, notamment médicaux, sécuritaires, etc. On est fin prêt’’, a assuré Me Idrissa Diop.
Cette année, le comité d’organisation attend plus de combattants que d’habitude. ‘’Aujourd’hui, on est à 34 pays et j’ai reçu tout de suite l’accréditation du Maroc. On espère d’ici à la fermeture avoir autour de 250 participants’’, a informé Me Diop. Cette hausse du nombre de participants s’explique par le fait qu’il s’agit de l’avant-dernière compétition, avant les Jeux olympiques 2024, où les athlètes peuvent chercher des points au niveau continental.
‘’Après Dakar, c’est Yaoundé. Les gens aiment bien venir à Dakar, vu le nombre de personnes, où ils ont l’opportunité d’acquérir des points pour améliorer leur ranking au niveau mondial’’, a expliqué Idrissa Diop.
Au-delà du succès organisationnel, le comité vise également ‘’d’excellents résultats sportifs’’. ‘’On souhaite aussi que l’hymne du Sénégal retentisse, comme c’est le cas depuis le début de l’année, 22 fois à travers l’Afrique’’.
Le président du comité d’organisation s’attend à une compétition ‘’assez relevée, avec beaucoup de challengers’’. ‘’C’est un dernier virage. Il y a des gens qui viennent des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de l’Amérique latine’’.
L’autre nouveauté de cette édition, c’est l’intégration dans la compétition des catégories cadette et junior. ‘’Avant, c’était uniquement les séniors. Maintenant, il y a l’open et la coupe pour les cadets et juniors. C’est pour cette raison que ce sera sur quatre jours’’, a fait savoir Me Diop.
Cela, a-t-il dit, pour permettre ‘’aux judokas sénégalais en cadet et en junior, de se frotter à d’autres pays africains pour se préparer aux échéances futures. À l’en croire, tous les autres pays le font pour préparer leurs jeunes combattants ‘’U20, U17…, à être prêts pour les échéances futures, pour nous valoir des médailles mondiales’’.
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