Qu’est-ce qui a motivé Ndiogou Mbengue et Boubacar Diallo à exercer des violences sur un jeune garçon de moins de 15 ans ? C’est la question qui taraude les esprits. Ils ont fait montre d’une brutalité gratuite à l’encontre de la victime, en la déshabillant et en la ligotant.
D’après « L’As » qui nous livre l’info, la cinquantaine révolue et vigile de son état, Ndiogou Mbengue a reconnu avoir déshabillé C T Bâ. Seulement, il prétend que c’est son acolyte qui a exercé des violences sur le jeune garçon avant de le ligoter.
Interpellé sur la détention d’arme sans autorisation, il argue que c’est son patron qui lui a remis l’arme en question pour surveiller les singes. Son coprévenu, Boubacar Diallo, âgé de 26 ans, a contesté les faits qui lui sont reprochés.
Et chose grave, le cultivateur aurait proposé des ébats sexuels à des femmes en échange de la liberté de Cheikh Bâ. Mais à la question du juge de savoir s’il a proposé aux femmes de coucher avec elles en échange de la liberté de C. T. Bâ, Boubacar Diallo indique que les femmes n’ont pas mis les pieds dans le champ.
Après l’interrogatoire d’audience, le maître des poursuites a requis l’application de la loi, mais pour les conseils de la défense, cette affaire est simple. « Il y a deux déclarations contradictoires. Raison pour laquelle je demande la relaxe en faveur de mon client Boubacar Diallo ».
N’empêche, leurs clients ont été condamnés à un an dont un mois ferme.
D’après « L’As » qui nous livre l’info, la cinquantaine révolue et vigile de son état, Ndiogou Mbengue a reconnu avoir déshabillé C T Bâ. Seulement, il prétend que c’est son acolyte qui a exercé des violences sur le jeune garçon avant de le ligoter.
Interpellé sur la détention d’arme sans autorisation, il argue que c’est son patron qui lui a remis l’arme en question pour surveiller les singes. Son coprévenu, Boubacar Diallo, âgé de 26 ans, a contesté les faits qui lui sont reprochés.
Et chose grave, le cultivateur aurait proposé des ébats sexuels à des femmes en échange de la liberté de Cheikh Bâ. Mais à la question du juge de savoir s’il a proposé aux femmes de coucher avec elles en échange de la liberté de C. T. Bâ, Boubacar Diallo indique que les femmes n’ont pas mis les pieds dans le champ.
Après l’interrogatoire d’audience, le maître des poursuites a requis l’application de la loi, mais pour les conseils de la défense, cette affaire est simple. « Il y a deux déclarations contradictoires. Raison pour laquelle je demande la relaxe en faveur de mon client Boubacar Diallo ».
N’empêche, leurs clients ont été condamnés à un an dont un mois ferme.