Dans sa stratégie de défense, Me Babacar Ndiaye a tenté d’expliquer que la constitution de la partie civile est irrecevable.
«On a du mal à justifier l’infraction dont on accuse mon client. On est en présence d’ordre général. Et seul le parquet est habilité à le faire. Rien ne prouve que les plaignants représentent l’église. Peut-être que ce sont des lobbies ou autres. Dans ce dossier, il y a un manque de courage du parquet pour annuler la procédure. Ainsi, je sollicite qu’on déclare nulle cette procédure», a plaidé Me Ndiaye, nous dit « L’As ».
.
Abondant dans le même sens, Me Demba Ciré Bathily relève un certain nombre d’exigences pour approuver la constitution.
Pour la parquetière Rokhaya Dionne, Me Babacar Ndiaye ferait mieux d’aller apprendre le droit.
«Il ne comprend pas le B-a-ba du droit, raison pour laquelle il fait une plaidoirie sur une chose qu’il ne maîtrise pas. On est soucieux de notre responsabilité. Tout le monde sait ce que signifie actes de poursuite. L’action a été intentée par le parquet et les parties civiles sont entrées dans cette affaire», affirme la représentante du ministère public.
Vert de colère, Me Ndiaye estime que le parquet l’a insulté en le traitant de nullard. Le président Maguette Diop est monté au créneau pour appeler au calme.
«On a du mal à justifier l’infraction dont on accuse mon client. On est en présence d’ordre général. Et seul le parquet est habilité à le faire. Rien ne prouve que les plaignants représentent l’église. Peut-être que ce sont des lobbies ou autres. Dans ce dossier, il y a un manque de courage du parquet pour annuler la procédure. Ainsi, je sollicite qu’on déclare nulle cette procédure», a plaidé Me Ndiaye, nous dit « L’As ».
.
Abondant dans le même sens, Me Demba Ciré Bathily relève un certain nombre d’exigences pour approuver la constitution.
Pour la parquetière Rokhaya Dionne, Me Babacar Ndiaye ferait mieux d’aller apprendre le droit.
«Il ne comprend pas le B-a-ba du droit, raison pour laquelle il fait une plaidoirie sur une chose qu’il ne maîtrise pas. On est soucieux de notre responsabilité. Tout le monde sait ce que signifie actes de poursuite. L’action a été intentée par le parquet et les parties civiles sont entrées dans cette affaire», affirme la représentante du ministère public.
Vert de colère, Me Ndiaye estime que le parquet l’a insulté en le traitant de nullard. Le président Maguette Diop est monté au créneau pour appeler au calme.