Le 27 octobre 2016, Ousseynou Diop avait criblé de balles Ibrahima Samb à la station Shell de Yoff, non loin de l’imprimerie Tandian, à la suite d’une altercation née d’une banale histoire de positionnement d’ordre de passage pour l’achat de carburant.
La prise de bec, nous rappelle « L’As », s’est alors transformée en vive altercation entre le chauffeur Ibrahima Samb et Ousseynou Diop. Ce dernier, par la suite, a pris son arme à feu pour tirer des coups en l’air, avant de viser le pneu de la voiture et la tête d’Ibrahima Samb qui va s’affaisser et mourir aussitôt.
Après avoir commis son forfait, Ousseynou Diop a pris la clé des champs et, est allé se constituer prisonnier auprès des pandores de la Brigade de la Gendarmerie de la Foire. Ce qui avait débouché sur une violente manifestation des chauffeurs de taxis, qui avaient barré la route en y brûlant des pneus.
Par la suite, Ousseynou Diop, a été placé en garde-à-vue après 2 retours de parquet et inculpé pour meurtre avec préméditation, le 3 novembre 2016. Le présumé meurtrier qui doit comparaître à la barre, risque gros avec une peine d’emprisonnement d’au moins 10 ans.
Sauf changement de dernière minute, c’est mardi prochain (2 juin 2020) qu’Ousseynou Diop, présumé meurtrier du chauffeur de taxi Ibrahima Samb, sera jugé.
Pour Modou Ndiaye, responsable du Syndicat Démocratique des Chauffeurs de Taxis du Sénégal (Sdcts), «justice doit être faite dans ce crime odieux perpétré contre notre camarade chauffeur qui n’a eu qu’un seul mérite, le travail digne. Car Ibrahima Samb était l’unique fils de ses parents mais aussi soutien de famille».
« Nous voulons que justice soit faite pour le repos de l’âme de notre frère Ibrahima Samb. Nous avons confiance en notre justice et j’espère qu’elle tranchera en notre faveur. Parce que c’est un crime odieux », a-t-il ajouté.
En marge, il demande aussi aux autorités étatiques de lever l’interdiction du trafic interurbain, pour permettre à leurs pairs coincés dans les régions, de revenir travailler en toute quiétude.
Avec « L’As »
La prise de bec, nous rappelle « L’As », s’est alors transformée en vive altercation entre le chauffeur Ibrahima Samb et Ousseynou Diop. Ce dernier, par la suite, a pris son arme à feu pour tirer des coups en l’air, avant de viser le pneu de la voiture et la tête d’Ibrahima Samb qui va s’affaisser et mourir aussitôt.
Après avoir commis son forfait, Ousseynou Diop a pris la clé des champs et, est allé se constituer prisonnier auprès des pandores de la Brigade de la Gendarmerie de la Foire. Ce qui avait débouché sur une violente manifestation des chauffeurs de taxis, qui avaient barré la route en y brûlant des pneus.
Par la suite, Ousseynou Diop, a été placé en garde-à-vue après 2 retours de parquet et inculpé pour meurtre avec préméditation, le 3 novembre 2016. Le présumé meurtrier qui doit comparaître à la barre, risque gros avec une peine d’emprisonnement d’au moins 10 ans.
Sauf changement de dernière minute, c’est mardi prochain (2 juin 2020) qu’Ousseynou Diop, présumé meurtrier du chauffeur de taxi Ibrahima Samb, sera jugé.
Pour Modou Ndiaye, responsable du Syndicat Démocratique des Chauffeurs de Taxis du Sénégal (Sdcts), «justice doit être faite dans ce crime odieux perpétré contre notre camarade chauffeur qui n’a eu qu’un seul mérite, le travail digne. Car Ibrahima Samb était l’unique fils de ses parents mais aussi soutien de famille».
« Nous voulons que justice soit faite pour le repos de l’âme de notre frère Ibrahima Samb. Nous avons confiance en notre justice et j’espère qu’elle tranchera en notre faveur. Parce que c’est un crime odieux », a-t-il ajouté.
En marge, il demande aussi aux autorités étatiques de lever l’interdiction du trafic interurbain, pour permettre à leurs pairs coincés dans les régions, de revenir travailler en toute quiétude.
Avec « L’As »