Les émeutes du mardi 23 décembre dernier ont causé beaucoup d’ennuis à toute la population de Kédougou. Mort d’hommes, jeunes emprisonnés à des peines lourdes allant de 5 à 10 ans, institutions de la république incendiées etc. Depuis ce jour plusieurs autorités ont foulé le sol de la terre des hommes intègres. Parmi elles on peut citer les ministres Cheikh Tidiane Sy et Bécaye Diop, Amadou Tidiane Wone entre autres.
Hier jeudi c’était au tour de Viviane Wade de venir à Kédougou pour présenter ses condoléances à la famille Sidibé et de s’enquérir de la situation des jeunes qu’elle a eu à rencontrer tout juste après. Après avoir écouté les différents intervenants qui ont tous apprécié son déplacement, Viviane Wade, très sereine et attentive, s’est adressé à l’assistance en ces termes : « J’étais très touchée quand j’ai appris la mort de Sina Sidibé. mais s’il est mort c’est parce qu’il y a des problèmes » a t–elle dit à l’entame de ses propos. Avant de suggéréer que quand il y a des problèmes on les discute avec les imams, les autorités, elle et pourquoi pas avec le président de la république.
Et d’ajouter « ce qui m’a touchée le plus c’est que vous êtes allés trop loin, ne vous laissez pas manipulés par ceux qui aiment casser et tuer » a-t-elle conseillé. Un discours qui semble être partagé par une assistance qui se reconnaissait peut-être fautive car le regret revenait à chaque fois comme un leitmotiv. Selon la première dame, Kédougou occuper une place importante dans son for intérieur. C’est pourquoi elle a à son actif trois écoles construites dans le Bandafassi et le Salémata, une maternité à Saraya et l’hôpital de Ninéfesha. Toute de même elle a reconnu que dans un état démocratique la communication doit être de mise.
De l’ancien député maire Elhadj Bocar Sidibé à Aissatou Aya Ndiaye en passant l’imam Thierno Alpha Bâ, ils ont tous demandé à la première dame d’intercéder auprès président pour qu’on gracie les dix-huit détenus et que la question de l’emploi tant demandée par les jeunes ne soit qu’un vieux souvenir. C’est ainsi qu’elle est partie dans un hôtel de la place pour écouter les doléances de la frange la plus importante de cette localité.
Là, seize jeunes ont rencontré Viviane Wade pour lui exposer les problèmes auxquels ils sont confrontés. Ces difficultés se résument à l’emploi des jeunes dans les compagnies minières sans cependant oublier la libération des détenus composés d’étudiants et d’enseignants. Mme Wade a eu à rassurer les jeunes à qui elle a donné son numéro de téléfax pour qu’ils lui envoient de façon détaillée toutes leurs doléances. Ce que Maroufou Touré, Badou Sidibé et Ousmane Bâ respectivement président de l’Orcav, de l’Odcav et du conseil départemental de la jeunesse (Cdj) ont apprécié de façon très positive.
source sud quotidien
Hier jeudi c’était au tour de Viviane Wade de venir à Kédougou pour présenter ses condoléances à la famille Sidibé et de s’enquérir de la situation des jeunes qu’elle a eu à rencontrer tout juste après. Après avoir écouté les différents intervenants qui ont tous apprécié son déplacement, Viviane Wade, très sereine et attentive, s’est adressé à l’assistance en ces termes : « J’étais très touchée quand j’ai appris la mort de Sina Sidibé. mais s’il est mort c’est parce qu’il y a des problèmes » a t–elle dit à l’entame de ses propos. Avant de suggéréer que quand il y a des problèmes on les discute avec les imams, les autorités, elle et pourquoi pas avec le président de la république.
Et d’ajouter « ce qui m’a touchée le plus c’est que vous êtes allés trop loin, ne vous laissez pas manipulés par ceux qui aiment casser et tuer » a-t-elle conseillé. Un discours qui semble être partagé par une assistance qui se reconnaissait peut-être fautive car le regret revenait à chaque fois comme un leitmotiv. Selon la première dame, Kédougou occuper une place importante dans son for intérieur. C’est pourquoi elle a à son actif trois écoles construites dans le Bandafassi et le Salémata, une maternité à Saraya et l’hôpital de Ninéfesha. Toute de même elle a reconnu que dans un état démocratique la communication doit être de mise.
De l’ancien député maire Elhadj Bocar Sidibé à Aissatou Aya Ndiaye en passant l’imam Thierno Alpha Bâ, ils ont tous demandé à la première dame d’intercéder auprès président pour qu’on gracie les dix-huit détenus et que la question de l’emploi tant demandée par les jeunes ne soit qu’un vieux souvenir. C’est ainsi qu’elle est partie dans un hôtel de la place pour écouter les doléances de la frange la plus importante de cette localité.
Là, seize jeunes ont rencontré Viviane Wade pour lui exposer les problèmes auxquels ils sont confrontés. Ces difficultés se résument à l’emploi des jeunes dans les compagnies minières sans cependant oublier la libération des détenus composés d’étudiants et d’enseignants. Mme Wade a eu à rassurer les jeunes à qui elle a donné son numéro de téléfax pour qu’ils lui envoient de façon détaillée toutes leurs doléances. Ce que Maroufou Touré, Badou Sidibé et Ousmane Bâ respectivement président de l’Orcav, de l’Odcav et du conseil départemental de la jeunesse (Cdj) ont apprécié de façon très positive.
source sud quotidien