C’est le cas de la communauté rurale de Ndorna qui fait deux fois la région de Thiès et située vers la frontière gambienne. Ici selon Omar Ndiaye le président de la CEDA du département de Médina Yoro Foulah « Nous avons rencontré beaucoup de problèmes dans la zone de Ndorna à cause de l’arrivée tardive du matériel électoral. Dans ces bureaux de vote le matériel est arrivé en pleine nuit le jour même des consultations électorales. »
Le Président de la CEDA poursuit « C’est pourquoi ces bureaux n’ont pu fonctionner et des milliers de citoyens ont été ainsi privés de leur droit et devoir civiques. » Le président de la République a pris hier, mardi 24 mars un décret portant convocation du corps électoral le 28 mars prochain au niveau de ces collectivités locales pour rétablir l’équilibre et la démocratie.
Ce n’est pas tout puisqu’à ce problème dit de Ndorna s’ajoute le fait que beaucoup d’électeurs n’ont pu également accomplir le vote dans le centre Joseph Baldé de la commune de Kolda. Un des plus importants de la région. Là aussi ces citoyens la mort dans l’âme se plaignent de n’avoir pu voter. Il faut dire que cette situation qui suscite déjà beaucoup de polémiques n’est pas du goût et de la coalition Sopi et des coalitions de l’opposition. Puisque chaque camp se défend d’avoir perdu des milliers de voix.
C’est pourquoi, tous sont unanimes à déplorer le dispositif organisationnel. Pour les opposants comme Abdoulaye Cissé de la Coalition Baamtaré Fouladou « Le ministre de l’Intérieur doit être démis de ses fonctions du fait de son incapacité à organiser correctement les élections. Le Président de la République doit en tirer toutes les conséquences et lui demander de s’en aller. »
Pendant ce temps la coalition Sopi elle jubile et fête son avance dans les lourdes tendances qui tombent au fur et à mesure que l’instance judiciaire les passe au peigne fin. Quelle sera la conséquence immédiate de cette reprise des élections à Ndorna ? Quel comportement observeront les scrutateurs dans ce cas particulier pendant que tout le pays a fini de voter ? Quelle attitude auront les acteurs locaux du jeu politique face à cette nouvelle donne pour conquérir les électeurs et enfin quelle influence particulière surgira de ce cas dit de Ndorna ?
Voilà autant d’interrogations que se posent aussi bien les responsables politiques, les électeurs tout comme les observateurs.
Les prochains jours nous édifieront et apporteront certainement des réponses à ces questions.
source sud quotidien
Le Président de la CEDA poursuit « C’est pourquoi ces bureaux n’ont pu fonctionner et des milliers de citoyens ont été ainsi privés de leur droit et devoir civiques. » Le président de la République a pris hier, mardi 24 mars un décret portant convocation du corps électoral le 28 mars prochain au niveau de ces collectivités locales pour rétablir l’équilibre et la démocratie.
Ce n’est pas tout puisqu’à ce problème dit de Ndorna s’ajoute le fait que beaucoup d’électeurs n’ont pu également accomplir le vote dans le centre Joseph Baldé de la commune de Kolda. Un des plus importants de la région. Là aussi ces citoyens la mort dans l’âme se plaignent de n’avoir pu voter. Il faut dire que cette situation qui suscite déjà beaucoup de polémiques n’est pas du goût et de la coalition Sopi et des coalitions de l’opposition. Puisque chaque camp se défend d’avoir perdu des milliers de voix.
C’est pourquoi, tous sont unanimes à déplorer le dispositif organisationnel. Pour les opposants comme Abdoulaye Cissé de la Coalition Baamtaré Fouladou « Le ministre de l’Intérieur doit être démis de ses fonctions du fait de son incapacité à organiser correctement les élections. Le Président de la République doit en tirer toutes les conséquences et lui demander de s’en aller. »
Pendant ce temps la coalition Sopi elle jubile et fête son avance dans les lourdes tendances qui tombent au fur et à mesure que l’instance judiciaire les passe au peigne fin. Quelle sera la conséquence immédiate de cette reprise des élections à Ndorna ? Quel comportement observeront les scrutateurs dans ce cas particulier pendant que tout le pays a fini de voter ? Quelle attitude auront les acteurs locaux du jeu politique face à cette nouvelle donne pour conquérir les électeurs et enfin quelle influence particulière surgira de ce cas dit de Ndorna ?
Voilà autant d’interrogations que se posent aussi bien les responsables politiques, les électeurs tout comme les observateurs.
Les prochains jours nous édifieront et apporteront certainement des réponses à ces questions.
source sud quotidien