Le fait d’avoir abrité l’une des premières centrales de production de courant électrique à base de résidus agricoles, lui a occasionné, mardi dernier , la visite de Aly Ngouye Ndiaye, ministre de l’Energie et des Mines. Un prétexte pour s’enquérir de la marche de cette unité type d’énergie propre afin de procéder plus tard à d’autres études de faisabilité en direction des villages du pays. Il s’agit d’une centrale qui produit de l’énergie électrique à base de coques d’arachide et autres résidus de tiges de mil sec. Des produits qui, dans le passé étaient sans utilité majeure pour les habitants du village.
Aujourd’hui, ils sont devenus une denrée rare pour les populations et se ramassent par tonnes pour les besoins de la centrale en matières premières. Après usage, ils peuvent aussi servir de fertilisants pour les champs. D’un coût d’investissement de 130 MillionsFCFA, cette centrale est le fruit de la coopération entre le village par le biais de son sénateur, Houla Ndiaye, et une fondation allemande dans le cadre des projets d’électrification rurale à initiative locale.
Sa capacité estimée à 32 KW, permet ainsi à la centrale de prendre en charge les concessions, l’éclairage public et l’ensemble des matériels à usage électrique, surtout les moulins à mil dont se servent régulièrement les femmes à travers leurs activités quotidiennes. Apparemment pour un début, l’exploitation de la centrale ne s’est limitée qu’à 15 % de sa capacité normale. Et face à certaines charges liées au paiement de la facture mensuelle qui varie 50 à 60.000 Frs / mois et aux contraintes pour éviter toute rupture de stocks de matières premières, les populations de Kalom, à travers leur cahier de doléances, sollicitent auprès du ministre de l’Energie une licence d’autorisation de distribution énergétique dans les 18 autres villages qui ceinturent Kalom.
Source:sudonline.sn
Aujourd’hui, ils sont devenus une denrée rare pour les populations et se ramassent par tonnes pour les besoins de la centrale en matières premières. Après usage, ils peuvent aussi servir de fertilisants pour les champs. D’un coût d’investissement de 130 MillionsFCFA, cette centrale est le fruit de la coopération entre le village par le biais de son sénateur, Houla Ndiaye, et une fondation allemande dans le cadre des projets d’électrification rurale à initiative locale.
Sa capacité estimée à 32 KW, permet ainsi à la centrale de prendre en charge les concessions, l’éclairage public et l’ensemble des matériels à usage électrique, surtout les moulins à mil dont se servent régulièrement les femmes à travers leurs activités quotidiennes. Apparemment pour un début, l’exploitation de la centrale ne s’est limitée qu’à 15 % de sa capacité normale. Et face à certaines charges liées au paiement de la facture mensuelle qui varie 50 à 60.000 Frs / mois et aux contraintes pour éviter toute rupture de stocks de matières premières, les populations de Kalom, à travers leur cahier de doléances, sollicitent auprès du ministre de l’Energie une licence d’autorisation de distribution énergétique dans les 18 autres villages qui ceinturent Kalom.
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