Au cours de la journée du samedi 26 décembre dernier, ces familles qui bénéficiaient du soutien de l’Amicale des travailleurs, ont convoqué une forte mobilisation sur les périmètres de stockage de l’usine, pour inviter l’Etat à subventionner les huiliers afin qu’ils puissent s’aligner sur les prix des opérateurs du marché extérieur et acheter à 320 francs le kilo. Et ceci, dans le but de sonner la fin de la récréation et relever la barre des ressources au sein des familles.
Au-delà de cette doléance, les employés de la Sonacos et leurs familles sont revenus amplement sur le débat autour de la production obtenue cette année sur la filière arachide. Ils soutiennent en effet, que contrairement aux déclarations ministérielles, cette production est loin de ce qui a été avancé. Autrement dit, elle est encore loin d’atteindre la barre des 1,8 million de tonnes comme précédemment affirmé.
D’ailleurs, c’est aujourd’hui l’une des causes essentielles de la peine des entreprises huilières à pouvoir atteindre leurs objectifs, c’est-à-dire collecter la production souhaitée. Au cours de cette même journée, seuls deux camions ont été réceptionnés et les quatorze (14) saisonniers qui rôdaient sur les lieux, ont crié leur crainte de voir leur usine sombrer comme cela a été le cas pendant la précédente saison de commercialisation.
Ce personnel, selon les témoignages, est largement réduit, car là où l’on contractait chaque saison un effectif temporaire de 75 emplois par section, seules quatorze personnes sont admises cette année pour effectuer le travail de stockage.
Sud Quotidien
Au-delà de cette doléance, les employés de la Sonacos et leurs familles sont revenus amplement sur le débat autour de la production obtenue cette année sur la filière arachide. Ils soutiennent en effet, que contrairement aux déclarations ministérielles, cette production est loin de ce qui a été avancé. Autrement dit, elle est encore loin d’atteindre la barre des 1,8 million de tonnes comme précédemment affirmé.
D’ailleurs, c’est aujourd’hui l’une des causes essentielles de la peine des entreprises huilières à pouvoir atteindre leurs objectifs, c’est-à-dire collecter la production souhaitée. Au cours de cette même journée, seuls deux camions ont été réceptionnés et les quatorze (14) saisonniers qui rôdaient sur les lieux, ont crié leur crainte de voir leur usine sombrer comme cela a été le cas pendant la précédente saison de commercialisation.
Ce personnel, selon les témoignages, est largement réduit, car là où l’on contractait chaque saison un effectif temporaire de 75 emplois par section, seules quatorze personnes sont admises cette année pour effectuer le travail de stockage.
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